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 FOURONS, commune contestée à la frontière de la francité

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MessageSujet: FOURONS, commune contestée à la frontière de la francité   FOURONS, commune contestée à la frontière de la francité EmptyVen 07 Avr 2006, 6:47 am

FOURONS, commune contestée à la frontière de la francité.

[quote]Fourons : commune belge de 4.312 habitants et d'une superficie de 5.000 hectares.

Jusque là la définition est neutre, dès les mots suivants, l'auteur révélera sa couleur.

Fourons : commune située au Nord Est de la province de Liège, faisant partie de la province du Limbourg, mais n'ayant aucune frontière commune avec celle-ci.

Définition incontestable, mais seuls les Francophones insistent sur cet aspect. Les Flamands insistent sur la proximité de la province hollandaise du Limbourg et sur la parenté du dialecte local avec la langue flamande.

Fourons : commune rattachée à la province du Limbourg à la suite de la fixation définitive de la frontière linguistique en Belgique.
Les Francophones diront ici " commune annexée ". Chacun a donc sa vérité, mais ce papier s'adresse à des lecteurs francophones du monde entier qui connaissent sans doute un peu les joyeusetés de la politique communautaire belge.

La frontière linguistique.

Pour rappel, la Belgique est en effet un petit pays de 30.000 km2 où vivent des Francophones (wallons en Wallonie, bruxellois à Bruxelles), des Flamands (en Flandre et aussi à Bruxelles) et des Germanophones (dans la région des Cantons de l'Est). Tout cela serait simple si le pays était étendu et si des frontières naturelles infranchissables séparaient ces populations. Ce serait plus simple aussi si la Belgique n'avait pas vu le jour en réaction contre le Roi de Hollande (et sa langue néerlandaise) et si la langue flamande n'avait pas été dominée par la langue française pendant de nombreuses années.
Ce contexte historique a amené les deux principaux groupes linguistiques à conclure des compromis tout au long des 165 ans de l'histoire du petit royaume. Le compromis appliqué jusque 1930 faisait que la frontière linguistique évoluait en fonction d'une question posée aux habitants sur leur pratique linguistique lors des recensements décennaux. Cette solution ne convenait plus aux Flamands puisqu'elle permettait aux Francophones d'agrandir leur territoire de quelques kilomètres tous les dix ans. De là est venue la revendication du traçage d'une frontière linguistique définitive.

Après 30 ans de discussions (et aussi la guerre 40-45), le Parlement belge a enfin voté, en 1961, cette frontière : 4 provinces seraient flamandes, 4 provinces seraient wallonnes et le Brabant resterait la seule province bilingue avec la capitale Bruxelles ; tout cela, dans le cadre d'une Belgique encore unitaire.

Depuis lors, la Belgique est devenue un état fédéral ; la fameuse frontière linguistique est devenue la frontière entre les régions que la Belgique comprend. Même le Brabant a été scindé en 2 provinces, l'une flamande, l'autre wallonne, plus la région bilingue de Bruxelles-Capitale.


Après ce rappel, revenons aux Fourons.
En 1961, la région des Fourons se composait de 6 petites communes dont 2 se trouvaient dans l'arrondissement de Liège et 4 dans l'arrondissement de Verviers. Il en était ainsi depuis l'occupation française (1795) qui, pour rompre avec les divisions territoriales de l'ancien régime, a entrepris d'organiser les territoires occupés en départements. Les 6 communes visées faisaient ainsi partie du département de l'Ourthe dont Liège était le chef-lieu. Lors de la constitution du Royaume des Pays-Bas en 1815, les limites départementales sont maintenues, mais les dénominations changent : le département de l'Ourthe devient la province de Liège. La région des Fourons faisait donc partie de la province de Liège, mais son régime linguistique faisait la part belle au flamand, sur base de la pratique déclarée de la population locale.

Vers 1930, la population s'émeut de ce fait et aspire à plus de français, mais les chiffres ne basculent que lors de recensement de 1947 (qui n'a donc lieu que 17 ans après le précédent à cause de la guerre). Mais comme ce recensement est catastrophique ailleurs aussi pour la Flandre (à cause de la connotation : Flandre = collaboration), les résultats ne sont pas pris en considération pour modifier les pratiques linguistiques administratives.

La Flandre impose alors la discussion sur la frontière linguistique qui est ainsi finalement votée le 31 octobre 1962. Ce vote a été acquis par une majorité de parlementaires flamands contre une majorité de parlementaires wallons. A l'époque, la Chambre comptait 212députés répartis comme suit : 76 Wallons, 29 Bruxellois et 107 Flamands. Le projet a été approuvé par 130 députés (dont 93 Flamands) contre 56 (dont 45 Wallons), en tenant compte de 12 abstentions et 14 absences.

Actuellement, l'article 4 de la Constitution de la Belgique prévoit que "les limites des quatre régions linguistiques ne peuvent être changées ou rectifiées que par une loi adoptée à la majorité des suffrages dans chaque groupe linguistique de chacune des Chambres, à la condition que la majorité des membres de chaque groupe se trouve réunie et pour autant que le total des votes positifs émis dans les deux groupes linguistiques atteigne les deux tiers des suffrages exprimés ". L'annexion des Fourons au Limbourg ne serait donc plus possible aujourd'hui, mais la solution du problème n'est pas facile non plus.

La solution: Retour à Liège.

Sur le terrain, Fourons s'est fait connaître dans l'actualité internationale à la fin des années 70 (78 à 81) à cause des troubles qu'y provoquaient régulièrement des " marcheurs " flamingants. Depuis lors la bagarre s'est plutôt déplacée sur le plan administratif. Malgré une action permanente et de nombreuses tracasseries, les Flamands sont toujours minoritaires au conseil communal des Fourons.
Alors que 4 bourgmestres sur 6 avaient plus ou moins soutenu le transfert en 1961-62, les 6 bourgmestres mis en place en 1965 (après les élections communales d'octobre 1964) l'étaient sous l'appellation " Retour à Liège ". Ce score fut confirmé en 1970 et, en 1976, pour la fusion des communes, les choses devinrent encore plus claires puisque les électeurs avaient à se départager entre une liste " Retour à Liège " et une liste " Voerbelangen ". Alors que tout avait l'air calme sur le front communautaire fouronnais en janvier 1977, l'installation des conseillers communaux francophones fut annulée parce que le Conseil d'État avait décidé que la prestation de serment devait se faire en néerlandais uniquement.

Depuis la fusion des communes, il y a eu 5 élections communales et " Retour à Liège " a perdu sa majorité absolue de justesse en octobre 2000, après avoir remporté toutes les élections précédentes. Mais la Flandre n'a pas cessé de modifier les règles du jeu pour imposer son influence et diminuer celle des Francophones. A une certaine période que j'ai rappelée plus haut, de 1977 à 1981, les mouvements flamingants ont tenté d'imposer leurs vues par la violence. Ils ont dû constater l'échec de cette manoeuvre. Mais vous verrez dans un instant que ce déploiement de violence n'a peut-être pas été totalement inutile dans leur stratégie.

Lorsque la population fouronnaise plébiscite José Happart en 1982 pour devenir bourgmestre des Fourons, la Flandre lui impose la connaissance du néerlandais. Cette connaissance du néerlandais ne se trouvait dans aucune loi, mais le Conseil d'État a néanmoins annulé la nomination de José Happart qui ne s'est engagé à apprendre le néerlandais que lorsque la Flandre aurait rendu les Fourons à la Wallonie. Depuis, les juristes flamands ont également déduit des lois linguistiques (pourtant inchangées depuis 1962) que les conseillers communaux ne peuvent s'exprimer qu'en néerlandais.

En octobre 1998, José Happart a décidé de quitter la politique communale fouronnaise et de s'installer à Liège pour continuer le combat depuis un poste important en Wallonie. En juillet 1999, il est nommé Ministre de l'Agriculture et de la Ruralité. [quote]


Dernière édition par le Ven 07 Avr 2006, 6:51 am, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: FOURONS, commune contestée à la frontière de la francité   FOURONS, commune contestée à la frontière de la francité EmptyVen 07 Avr 2006, 6:50 am

Citation :
Avez-vous déjà pensé à ce que représente comme mutilation de l'expression démocratique le fait de devoir s'exprimer exclusivement dans la langue de la minorité de la population, dans la langue imposée par une annexion ?

Aux élections communales suivantes de 1988, les règles avaient encore un peu changé: Fourons et 7 autres communes belges (sur 589) auraient désormais droit à un collège des bourgmestre et échevins formé à la proportionnelle où se trouverait donc dorénavant un échevin de l'opposition disposant d'un droit de veto exorbitant.
La liste " Retour à Liège " a encore remporté les élections communales d'octobre 1994. Elle a obtenu 8 sièges sur 15 et elle conserve une avance de 269 voix . Le 9 janvier 1995, après une nuit mémorable, le Roi a nommé José Smeets comme bourgmestre des Fourons, José Happart ayant accepté de s'effacer en faveur de celui que la population avait désigné pour être son second. José Smeets étant polyglotte, la Flandre n'a pu l'écarter, mais ses convictions wallonnes en font un ennemi à abattre.

Et c'est ainsi que nous assistons maintenant à une phase nouvelle de ce que d'aucuns appellent une épuration. D'autres appellent cela de la discrimination positive en faveur des Flamands des Fourons et cela leur permet d'agir avec des armes financières plutôt que des armes de guerre comme en Bosnie. Les Fouronnais francophones ont déjà dénoncé antérieurement des investissements institutionnels qui n'avaient d'autres buts que d'amener de la population flamande.

Ce fut notamment le cas pour la construction des bâtiments de la douane sur l'autoroute Liège-Maestricht, douane condamnée à disparaître pour raison d'union économique européenne, dès le lendemain de son inauguration. C'est encore le cas pour l'école provinciale flamande qui ne doit son existence que grâce aux élèves qu'elle va chercher très loin ou en Hollande. Mais le corps professoral de l'école provinciale est, pour la promotion de la culture flamande, une formidable réserve d'animateurs militants et bénévoles. Dans une perspective de développement d'activités sociales et culturelles, une telle présence est importante et payante, principalement lorsqu'on trouve dans le camp adverse, francophone, des gens ordinaires, occupés tout simplement à gagner leur vie.

L'épuration linguistique
Les manifestations violentes des années 77 à 81 ont aussi permis de développer une brigade de gendarmerie, surdimensionnée par rapport aux besoins d'une population locale de 4.312 habitants.
Pour occuper ces gendarmes flamands actuellement et pour les maintenir aux Fourons, on les utilise pour des services de nuit et de week-end dans l'arrondissement de Tongres, mais entre-temps ils habitent aux Fourons. 14 gendarmes, c'est 14 ménages. 14 ménages, c'est donc 28 électeurs (flamands) au moins et c'est aussi un certain nombre d'enfants pour l'enseignement flamand.

Ajoutez-y les douaniers, les professeurs, les employés des centres culturels et des autres implantations... Maintenant, cette épuration va se faire de façon plus systématique encore. La méthode consiste à déposséder les francophones autochtones et à les remplacer. La poussée hollandaise, et même allemande, sur les propriétés immobilières est énorme. Les prix montent. Plus aucun fouronnais, qu'il soit flamand ou wallon, ne peut encore acheter une maison ou un terrain. Et voici où intervient la discrimination: la Flandre va construire des habitations sociales qu'elle attribuera en discriminant positivement les Flamands. Les Wallons seront partis (les poches pleines), mais les flamands resteront parce que la Flandre mettra des immeubles à leur disposition. C'est ainsi que l'Action fouronnaise, le mouvement pour le retour des Fourons à la Wallonie, affirme que l'arme financière permettra à la Flandre d'espérer de faire en sorte que suffisamment de Wallons "débarrasseront le plancher fouronnais ", conformément à leur slogan " Waalse ratten, rolt uw matten ".

Le 11 juillet 1995, à l'occasion de la fête nationale flamande, l'échevin flamand a annoncé l'ouverture d'un bureau appelé INFO 2000, véritable machine de propagande. Il y dispose de personnel et de moyens. A l'avenir, il sera difficile, espère-t-il, d'obtenir le moindre service sans passer par lui.

Quelques semaines plus tard, la presse annonçait que le Gouverneur du Limbourg suspendait une décision du conseil communal fouronnais parce que l'opposition en a trouvé un projet rédigé en français sur le bureau du bourgmestre où se trouvaient d'autres dossiers préparés pour le conseil communal. Qu'en est-il ? Comme il s'agissait pour les conseillers " Retour à Liège " d'une décision importante en matière d'aménagement du territoire, ils y avaient consacré plusieurs réunions de groupe et leur chef avait en effet résumé leur position en une note de 3 pages télécopiée au bourgmestre. C'est cette télécopie qui a justifié la suspension du gouverneur. Comme il s'agit d'une intervention de la tutelle pour une soi-disant infraction à la législation linguistique, le seul recours se trouve à l'Exécutif flamand. Ainsi, un document privé ne pourrait donc même plus être rédigé en français.

Le 11 juillet 1996, Luc Van den Brande, le Ministre-Président du Gouvernement flamand, a inauguré officiellement le centre VOEREN 2000. La Flandre confirme ainsi sa volonté d'appliquer aux Fourons une politique de discrimination. Les acquisitions de terrains par les autorités flamandes, sous toutes sortes de prétextes, deviennent monnaie courante. Dès le 1er janvier 1999, elles s'attribuent un droit de préemption sur toutes les transactions immobilières. Qui a parlé d'épuration douce???

La Région wallonne et la Communauté française de Belgique apportent de leur côté un soutien actif aux Francophones fouronnais. Elles ont notamment permis la construction du Centre sportif et culturel des Fourons à Fouron-Saint-Martin. Le sénateur Jean-Marie Happart préside cette association qui est aussi le pouvoir organisateur de l'enseignement francophone aux Fourons. Bien qu'important, ce soutien wallon et francophone n'a aucune commune mesure avec les moyens mis en oeuvre par la Flandre et la Province du Limbourg.

Il fut pourtant un temps où Fourons avait une autre connotation: cette enluminure conservée à la Bibliothèque nationale de France rappelle le traité de Fouron, signé les 1er et 2 novembre 878, entre Louis le Bègue, roi de France, et Louis le Jeune, roi de Germanie. C'était un traité de ... paix !

Depuis de nombreuses années, les Fouronnais francophones entretiennent des relations suivies avec des amis Francophones du Val d'Aoste, du Jura (le Mouvement autonomiste jurassien et le Groupe Bélier) et du Québec, au sein de la conférence de peuples de langue française, présidée actuellement par la Québecoise Monique Vézina et précédemment par Sylvain Simard. C'est ainsi que nous avons répondu le 24 octobre 1996 à une provocation de l'ambassadeur (flamand) de Belgique à Berne en replaçant à l'entrée de Vellerat (commune jurassienne jumelée avec Fourons) un panneau indiquant que Fourons est une commune wallonne, occupée par la Flandre.

Depuis plusieurs mois, nous nous opposons à la volonté des ministres flamands Van den Brande, Peeters et Martens qui veulent donner une interprétation restrictive des facilités qui ont été bétonnées dans la Constitution belge pour nous, comme ils disaient. L'auditeur du Conseil d'État a conforté nos thèses, mais le gouvernement flamand persiste à dire que les facilités ne seront jamais éternelles. La lutte continue!

Les élections communales du 8 octobre 2000 ont donné la majorité communale à la liste flamande "Voerbelangen", mais "Retour à Liège" a conservé la majorité au Conseil de l'Aide sociale. A cette occasion, il y a de nouveau eu un peu d'intérêt pour les Fourons. La revue Toudi a publié des réflexions (avec mon interview) dans son numéro 30.

Ce renversement de la majorité n'a été possible que grâce à la participation massive des électeurs hollandais. Sans cela, comme le montrent les résultats pour le C.P.A.S. et même pour les élections provinciales, "Retour à Liège" améliorait encore son score.
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MessageSujet: Re: FOURONS, commune contestée à la frontière de la francité   FOURONS, commune contestée à la frontière de la francité EmptySam 08 Avr 2006, 7:34 pm

Pour ce qui est Des Fourons, il faut avoir à l'esprit que les habitants n'y parlais ni le Francais ni le néerlandais, mais bien un patois spécifique à leur village.

Les Fouronais commettais le sacrilège de voter catholique, dans une province dominée par le rouge.

Le rattachement des Fourons au Limbourg, c'est fait en échange du rattachement de Comines-Warneton et de Mouscron à la Province du Hainaut.

Politiquement, les liégeois étais contend de se débarrasser d'une tache catho, et le hainaut gagneai un siège grace à Mouscron et Comines Warneton.
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MessageSujet: Re: FOURONS, commune contestée à la frontière de la francité   FOURONS, commune contestée à la frontière de la francité EmptyDim 09 Avr 2006, 4:15 pm

C'est en effet celà la raison du lâchage des Fourons par les socialistes wallons et c'est d'autant plus hypocrite que ce sont ensuite les mêmes socialistes qui ont ensuite prônés le "Retour à Liège" en manipulant José HAPPART avant de l'acheter pour un poste d'excellence wallonne ! Les socialistes trahirent donc plusieurs fois les Fouronnais et José HAPPART empocha les Deniers de Judas !
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MessageSujet: Re: FOURONS, commune contestée à la frontière de la francité   FOURONS, commune contestée à la frontière de la francité EmptyMar 11 Avr 2006, 6:19 pm

Stans a écrit:
C'est en effet celà la raison du lâchage des Fourons par les socialistes wallons et c'est d'autant plus hypocrite que ce sont ensuite les mêmes socialistes qui ont ensuite prônés le "Retour à Liège" en manipulant José HAPPART avant de l'acheter pour un poste d'excellence wallonne ! Les socialistes trahirent donc plusieurs fois les Fouronnais et José HAPPART empocha les Deniers de Judas !

Tout a fait d'accord.
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MessageSujet: Re: FOURONS, commune contestée à la frontière de la francité   FOURONS, commune contestée à la frontière de la francité Empty

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