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 Le choc de 2 religions monothéistes

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aigle gouvernant
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MessageSujet: Le choc de 2 religions monothéistes   Le choc de 2 religions monothéistes EmptyLun 07 Déc 2020, 6:41 am

L’immigration à nos jours (2020)
L’immigration a débuté dans les années 50, avec un premier flux arrivé dans les pays occidentaux pour la reconstruction de l’après seconde guerre mondiale ,
En accord avec les gouvernements européens de l’époque , cette immigration venait largement en grande partie du maghreb (algérie , Maroc , Tunisie) et turquie,Italie et Espagne , le manque de main d’œuvre européen était criant , en effet beaucoup d’ouvriers de nos contrées étaient partis à la guerre et avaient laissé , un énorme vide .
La Belgique a accueilli depuis le xixe siècle plusieurs vagues d'immigration.
En fonction des différentes périodes de l'histoire du pays, les motifs de ces déplacements volontaires seront différents. Dans les années 1920, la politique belge en matière d'immigration est fondée sur un principe majeur : « l'immigration n'est admise que dans la mesure où elle joue un rôle économique c'est-à-dire un rôle d'apport de main-d'œuvre indispensable au développement de l'industrie belge ». La Belgique passera ensuite d'une immigration de travail à une immigration de peuplement dans les années 1940-50 après la Seconde Guerre mondiale. Par la suite, c'est une immigration clandestine que connaitra le pays dans les années 1960. En 1974, la Belgique renforce sa politique migratoire7 et décide de passer à l'immigration zéro en fermant ses frontières à l'immigration. De nombreuses dispositions législatives verront le jour suite à ces changements en matière d'immigration.
Jusqu'à la fin du xixe siècle, les migrants venaient principalement des pays limitrophes. Aujourd’hui, l'immigration en Belgique, « se caractérise par une très grande diversification des nationalités ». Les nationalités qu'on retrouve le plus régulièrement parmi ces immigrés sont les Marocains (600 000), les Turcs (200 000-220 000), les Italiens (190 000), les Français (110 000), les Néerlandais (92 000) et les Espagnols (44 000). Rien qu'en reprenant ces six nationalités, on atteint plus de 70 % des étrangers en Belgique.
L’immigration a pris tellement d’ampleur que par exemple en Allemagne , le taux de natalité est en baisse et de ce fait l’importance encore plus pour l’économie de ce pays d’augmenter le taux de naissance via cette immigration et en faire des citoyens allemans à part entière.
Les problèmes et effets secondaires arrivent très vite , problèmes d’intégration ,  choc des civilisations , refus de s’européaniser , et rejet d’une partie de la population des pays hébergeants avec la montée du nationalisme et de l’extrème droite , considérés comme rempart face à l’invasion massive de cette immigration .En Belgique , le vlaamse belang et la Nva qui suit ont fait une nette percée lors des dernières élections en Flandre , en Allemagne , l’extrème droite nationaliste également , suivie en Italie par le parti La Ligue du Nord (en italien Lega Nord, en abrégé LN), officiellement la Ligue du Nord pour l'indépendance de la Padanie (Lega Nord per l'Indipendenza della Padania) et officieusement nommé simplement la Ligue (Lega) à partir de 2018, est un parti politique italien initialement régionaliste et fédéraliste, souvent décrit comme populiste, d'extrême droiteeurosceptique, voire xénophobe. Fondée par Umberto Bossi, la Ligue est dirigée depuis 2013 par Matteo Salvini. À partir de 2017, afin de viser l'électorat de l'ensemble du pays, le parti a utilisé l'appellation abrégée Ligue, sans l'adjectif Nord. Lors des élections de 2018, il s'est présenté sous l'étiquette Lega - Salvini Premier (Ligue - Salvini Premier ministre).
Car il faut aussi différencier l’immigration économique et aussi clandestine ,
La Belgique par exemple , comme d’autres pays ne peut pas porter toute la misère du monde seule , mais d’où vient cette misère et surtout pourquoi ?
 La crise migratoire en Europe est l'augmentation, dans les années 2010, du nombre de migrants arrivant dans l'Union européenne via la mer Méditerranée et les Balkans, depuis l'Afrique, le Moyen-Orient et l'Asie du Sud et qui en fait l'une des plus importantes crises migratoires de son histoire contemporaine1.
Les réfugiés de la guerre civile syrienne amplifient le phénomène, avec un pic en 2015 de plus d'un million de personnes arrivant dans l'espace Schengen, avant de retomber les années suivantes pour arriver à 122 000 migrants en 2018. Le parcours des migrants est dangereux et fait de nombreux morts, principalement en mer Méditerranée (au moins 17 000 personnes mortes ou portées disparues) et sur les routes africaines (plus de 6 000 morts).
Cette crise migratoire cause d'importantes divisions et tensions diplomatiques entre les pays d'Europe, qui peinent à se mettre d'accord sur l'attitude à adopter : alors que la Commission européenne cherche à imposer des quotas à chaque pays de l'Union, et qu'Angela Merkel et François Hollande poussent dans cette direction3, des pays d'Europe de l'Est s'opposent fermement aux flux migratoires. Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, considère ainsi que l'afflux d'immigrés musulmans constitue une menace pour l'identité chrétienne de l'Europe. En septembre 2016, Angela Merkel est finalement contrainte de reconnaître l'échec et l'abandon du mécanisme de répartition obligatoire. Cette révision de la politique européenne d'accueil des réfugiés est renforcée par l'accord conclu entre l'UE et la Turquie en mars 2016.
Les termes employés pour qualifier les migrants sont multiples et dépendent des situations. Dans certains cas, il s'agit de demandeurs d'asile ou de réfugiés, dans d'autres de personnes qui cherchent de meilleures perspectives économiques. Comme les mots employés peuvent avoir des conséquences juridiques non négligeables, l'utilisation des termes « migrants » et « réfugiés » fait l'objet d'un débat sémantique doublé d'un débat politique.
Et pourquoi ?
Les tentatives d'immigration en Europe ont augmenté à la suite des guerres civiles (notamment la guerre civile syrienne), des problèmes en Turquie, l'aggravation du conflit en Libye qui a contribué à l'augmentation des départs depuis ce pays, des troubles, des persécutions ou pour des raisons économiques. Elles concernent des personnes venues d'AfghanistanAlgérieBangladeshTchadÉgypteÉrythréeÉthiopieGambieGhanaGuinéeIndeIrakCôte d'IvoireLibyeMaliMauritanieMarocNigeriaPakistanSénégalSomalieSoudanSyrieTunisie, et Zambie.
Les ambassades n'offrant pas directement le statut de demandeur d'asile, certains migrants décident de rémunérer des passeurs pour se rendre sur le territoire de l'Union européenne, en prenant des risques. Le nombre de demandeurs d'asile est ainsi passé de 435 000 en 2013 à 626 000 en 2014. Début septembre 2015, les Syriens ayant fui leur pays (environ 4,282 millions) se trouvent essentiellement au Liban (27 %) et en Turquie (42,1 %). Le principal flux de migrants vers l'Europe provient de la Syrie, pays qui connaît des d'importants troubles et qui se trouve « quasiment en état de guerre » à la suite de fortes tensions avec les Kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK).
Au cours de la période 2011-2015, la proportion de migrants originaires de pays en conflit a fortement augmenté. Pour ceux dont l'arrivée a été enregistrée en Grèce ou en Italie, le taux d'acceptation des demandes d'asile est passé de 33,5 % en 2011 à 75,7 % en 2015. Cela signifie que, sur cette période, le flux de migrants est majoritairement composé de réfugiés19.
Entre 2007 et 2011, un grand nombre de migrants sans papiers du Moyen-Orient, d'Afrique et d'Asie du Sud ont franchi la frontière entre la Grèce et la Turquie, menant la Grèce et l'Agence européenne de gestion des frontières extérieures (Frontex) à renforcer les contrôles aux frontières20. En 2012, l'afflux de migrants arrivant en Grèce par voie terrestre a baissé de 95 % à la suite de la construction d'une barrière sur une partie de la frontière gréco-turque ne suivant pas le cours du fleuve Maritsa. En 2015, la Bulgarie a poursuivi en renforçant une barrière pour limiter l'arrivée de migrants depuis la Turquie22.
D'après l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), environ 3 072 personnes sont mortes ou ont disparu en mer Méditerranée en 2014 en tentant d'immigrer en Europe. Fin 2014, selon le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, l'Union européenne accueille 6 % des réfugiés du monde.
Et il y a-t-il un lien entre l’immigration et le terrorisme ?
Migration et terrorisme, un lien dangereux
Le lien entre migration et terrorisme est ouvertement devenu objet d’attention, même si la réflexion est restée limitée d’un point de vue conceptuel. Cette attention s’est en effet concentrée sur des constats empiriques, autour des interrogations suivantes : les personnes impliquées sont-elles migrantes ? Ont-elles infiltré les réseaux migratoires pour les utiliser ? Proviennent-elles de milieux immigrés ? Mis à part les idéologues extrémistes qui ont sommairement fusionné les deux phénomènes, ces questionnements ont généré deux types de réaction : des constats embarrassés dans la presse à propos de possibles recoupements ou, de la part de certains académiques, des démonstrations de la négative – réponses certes humanistes, mais quelque peu naïves ou courtes.
De fait, les terroristes islamistes en France et en Belgique ne sont généralement pas des migrants. C’est un fait très vite établi, une fois connue leur identité. Ils sont essentiellement de nationalité française ou belge. Le seul migrant intervenant dans les attentats de janvier 2015, par exemple, est au contraire un héros : c’est l’employé qui a sauvé des clients enfermés dans l’Hyper Cacher rappelle Philippe Fargues. Plus tard, des individus venus de Syrie se sont glissés parmi les réfugiés – propres victimes de leurs violences en amont – transitant par la Grèce et l’Europe centrale, mais avec des passeports trafiqués. Par ailleurs, une étude statistique est mobilisée, avec toute la rigueur nécessaire. Elle souligne une corrélation entre les pays receveurs de migrants provenant de zones sensibles et les occurrences de terrorisme chez leurs hôtes. Mais la migration s’avère aussi, de la même façon, être un facteur de réduction proportionnelle de telles violences, par sa propagation d’effets bénéfiques, naturellement pacificateurs.
Dans une vision moins irénique, l’approche statistique est aussi mobilisée pour souligner combien les chiffres interdisent des assimilations rapides. Sur près de 5 millions de Français de religion musulmane, à peine un millième, soit environ 5 000, est répertorié comme djihadiste potentiel ou avéré. Et encore, parmi ces derniers, y en a-t-il un certain nombre, probablement plus du quart, qui sont français « de souche ».
Les différentes démonstrations rapportées invoquent les chiffres pour prouver qu’un lien entre les migrations et les actes terroristes perpétrés est insignifiant. Pourtant, l’argument statistique peut se retourner. Car, au-delà d’une représentativité par la loi des grands nombres, il existe des possibilités de mesurer la probabilité que des variables soient associées en produisant des conditions expérimentales contrôlées. En biologie médicale, par exemple, c’est toute la différence entre les études épidémiologiques sur de vastes populations et les essais cliniques sur des petits groupes. En sciences sociales, les observations du premier type sont courantes mais les expérimentations du second sont exceptionnelles.
Or les attentats ont produit ces conditions exceptionnelles. Ils ont isolé des acteurs et rendu possible une analyse particulière. Ils montrent sans équivoque que, s’il y a peu de migrants parmi les terroristes, ils sont tous en revanche issus de l’immigration. Leur origine géographique ou celle de leurs parents se situe au Maghreb, dans des pays dont ils peuvent avoir gardé la nationalité. Ils revendiquent tous l’islam, d’une façon ou d’une autre. Leur mobilité spatiale est notoire avec des séjours en Europe mais aussi, bien souvent, en Syrie, en Afghanistan, au Pakistan, en Turquie et au Yémen. Les recoupements systématiques de ces quelques variables entre tous ces profils ne sont guère le fruit du hasard. Ils marquent bien des caractéristiques partagées dont il convient de saisir l’incidence sur leurs actes.
 
 
En résumé , c’est dans les pays d’où vient cette immigration qu’il faut agir , résoudre les problèmes récurrents de pauvretés , de famines et aussi d’environnement (pollution généralisée) particulièrement chez les pays émergeants (Inde par exemple) dû à la mondialisation , permettront de stopper sauf erreur cet exode massif vers l’Europe.
 Erwin (musicienroux@gmail.com)
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