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 La chronique du lundi 22 mars 2021 : Comment le plan de relance Bidden va impacter l’économie européenne déjà en lambeau .

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aigle gouvernant
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aigle gouvernant


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La chronique du lundi 22 mars 2021 : Comment le plan de relance Bidden va impacter l’économie européenne déjà en lambeau . Empty
MessageSujet: La chronique du lundi 22 mars 2021 : Comment le plan de relance Bidden va impacter l’économie européenne déjà en lambeau .   La chronique du lundi 22 mars 2021 : Comment le plan de relance Bidden va impacter l’économie européenne déjà en lambeau . EmptySam 20 Mar 2021, 7:46 am

117.985 LECTEURS MERCI !
La chronique du lundi 22 mars 2021 : Comment le plan de relance Bidden va impacter l’économie européenne déjà en lambeau .


Bonjour à toutes et tous ,


En ce lundi matin de fin mars ,alors que les prémices du printemps ouvrent leurs portes à la nature ,
nous sommes toujours dans cette pandémie qui perdure , tous plongés dans une désorganisation chaotique , de trop de pouvoirs et d’échelons et trop de Ministres responsables de ce chaos !


Revenons à notre économie , mais comment parler d’elle sans directement se plonger sur la base de celle-ci , Wall street et le Fmi , Joe Bidden nouveau Président des États-Unis d\'Amérique , a présenté un plan de relance ambitieux certes , mais surtout audacieux , pourquoi ?


Un montant de 1900 milliards de dollars , et qui va surtout d’une part , augmenter la dette des États-Unis d\'Amérique , en effet tout le monde économique sait , que ce pays vit à crédit , mais plus grave , ce montant exorbitant , sera très lourd à digérer pour l’économie américaine , et donc va entraîner en cascade une surchauffe inflationniste et une hausse générale des taux d’intérêts .


Certes progressiste dans sa manœuvre (parti démocrate) mais extrêmement dangereux pour l’économie mondiale , et pourquoi me direz-vous ? Tout simplement pour les non initiés , par les prêts que par exemple des pays comme la Belgique,la france et autres européens utilisent pour reporter systématiquement leurs déficits publics , car qui dit hausse des intérêts dit hausse du coût des prêts , et de cette manière , ce sont des pans entiers de l’économie mondiale qui vont être impactés ,sans parler des échanges commerciaux , chine,europe,États-Unis d\'Amérique,ceta,mercosur !


1900 milliards de dollars représenteraient 13 % du pib américain !
Une comparaison des années 60 aux États-Unis d\'Amérique , pourrait montrer le passage d’une inflation de 1,5 en 1960 à 6 % en 1969 , donc une montée de l’inflation x 4 , époque de l’investissement massif des États-Unis d\'Amérique ,dans la guerre du Vietnam . Alors que la Bce (banque de crédit européen) n’arrive pas à approcher les 2 % ! L’europe actuelle est en mode déflation qui est le contraire de l’inflation , mais avec des coûts d’intérêts à la hausse , celle-ci pourrait bien connaître une crise économique pire que celle prévue d’après pandémie , en effet ,matières premières , et agro-alimentaire dont nous sommes très tributaires ,risquent d’exploser dans les prix suite aux hausses d’intérêts !


Mais pas que ces domaines , la pression de la concurrence des autres pays et continents sur leurs productions , sur les salaires , les nouvelles technologies et une nouvelle révolution industrielle et de vie , tout cela va impacter et changer radicalement le monde de fonctionnement de notre vie actuelle , l’austérité que l’on vous cache (ces souriants politiciens) est à nos portes et c’est les indépendants et commerces qui vont devoir se réinventer , tout comme nos modes de vies qui vont devenir de plus en plus sédentaires , télé-travail , hausse des coûts de la vie , diminution de notre qualité de vie , et in fine chômage de masse , avec cette règle absurde , vous êtes jeunes et diplômés vous devez être expérimenté ,vous êtes vieux (à partir de 45 ans) , vous coûtez trop cher !


La commission européenne a gelé jusqu’en 2022 , le gel des règles dbudgétaires de Maastricht (pacte budgétaire) , mais après ? Par quoi va-t-elle être remplacée ?
L’objectif selon les économistes serait de purement et simplement annuler la dette européenne tout pays confondus qui est de 60 % du pib européen , mais ,mais , utopie , illusion , prenons l’exemple de la france : la charge des intérêts du déficit public reprèsente 1,5 % du pib , si on prend en compte une hausse d’inflation de 1 % supplémentaire sur une dette à 120 % du pib , le coût réel est quasi nul mais seulement de 0,3 % du pib , donc de qu’il faut tenir à l’oeil à l’échelle belge ,européenne et États-Unis d\'Amérique , c’est donc ce coût qu’il faut surveiller et non le quantum de la dette générale , si vous me suivez bien !
Entre l’euphorie de Bidden et la prudence européenne , il y a moyen de trouver un juste compromis !


________________________________________________________________________________


[size=32][size=32]Ce que le plan Biden révèle de l’Europe[/size][/size]


Mieux vaut en faire trop que pas assez. C’est forte de ce principe que l’administration Biden a annoncé un plan de relance de 1.900 milliards de dollars afin d’effacer les stigmates de la pire récession de l’après-guerre. Une fois n’est pas coutume, le « quoi qu’il en coûte » à la mode américaine déclenche depuis un mois de vifs débats dans le clan même des héritiers de l’école keynésienne. Les critiques, tel Larry Summers, soutiennent le principe d’une ambitieuse relance budgétaire, mais craignent que le bazooka ne finisse par gâcher la reprise en raison d’un feu inflationniste trop nourri.
Si les performances passées ne préjugent pas de l’avenir, l’histoire récente accorde à la Maison-Blanche le bénéfice du doute. La décennie écoulée a montré qu’il ne suffit pas de laisser les banques centrales seules aux commandes pour redresser les économies et réduire les inégalités, sujet ô combien sensible dans des sociétés aujourd’hui à vif. Qu’ils jugent le plan Biden trop dispendieux ou juste assez, les économistes s’accordent au moins sur un point : Barack Obama, porté à la présidence au paroxysme de la grande crise financière, aurait eu intérêt à frapper plus vite et plus fort, comme son vice-président d’alors entend le faire désormais.
Ce débat n’est pas strictement américain, et l’Europe doit s’y intéresser pour deux raisons. Les querelles de chiffres soulignent d’abord l’écart qui risque de se creuser entre les deux rives de l’Atlantique en sortie de crise sanitaire. Ici, les Etats laissent en place les mesures de soutien aux secteurs les plus frappés par les confinements, mais il n’est plus question en 2021 d’une véritable relance qui serait susceptible de remettre rapidement les économies à leur potentiel de croissance. Le plan dont l’Union européenne avait accouché l’été dernier au terme d’un sommet historique s’enlise dans les méandres bruxellois. Bien inférieur en montant à celui des Etats-Unis, Next Generation EU ne sera déployé que d’ici cinq ans. Déjà freinée par la lenteur des campagnes de vaccination, la zone euro pourrait ainsi être la dernière à espérer un retour à la normale sur le front de la production.
Entre-temps, le plan Biden a un impact sur les marchés avant même d’être voté. Anticipant un regain de croissance et d’inflation, les taux américains remontent en flèche depuis le début de l’année, en particulier sur les échéances longues, à partir, il est vrai, de niveaux très bas. Or les rendements obligataires européens ne sont pas insensibles à ce qui se passe aux Etats-Unis, et se tendent eux aussi dans une moindre mesure, par effet de contagion. Il serait paradoxal que la zone euro paie les anticipations de reprise et de reflation par un renchérissement de ses conditions de financement, tout en restant à la traîne des autres grandes régions. Voilà un sujet de vigilance supplémentaire pour la Banque centrale européenne, qui n’en manque pourtant pas. 



Bonne semaine à toutes et tous !


Erwin
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