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| La Légion Etrangère | |
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Stans Fondateur
Nombre de messages : 16069 Age : 72 Localisation : Bruxelles - Département de la Dyle Langue : français Emploi/loisirs : histoire, politique Date d'inscription : 10/03/2006
| Sujet: La Légion Etrangère Mar 25 Juil 2006, 11:22 am | |
| Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9gion_%C3%A9trang%C3%A8re - Citation :
- La Légion étrangère est un corps d'élite de l'armée de terre française.
Histoire
Création La Légion étrangère a été créé le 10 mars 1831 par le roi Louis-Philippe, roi des Français, à l'instigation du maréchal Soult, ministre de la guerre. Elle rassemble à cette date les différents corps étrangers de l'armée française, dont les gardes suisses, issus de la Paix perpétuelle signée après la bataille de Marignan et le régiment Hohenlohe.
La Légion commence à se former, ses cantonnements sont à Langres, Bar-le-Duc, Agen et Auxerre. Les anciens des gardes suisses et du régiment Hohenlohe sont placés dans le 1er bataillon. Les 2e et 3e reçoivent les Suisses et les Allemands, le 4e est réservé aux Espagnols et Portugais, le 5e aux Sardes et Italiens, le 6e aux Belges et Hollandais et le 7e aux Polonais.
La Légion Etrangère française a été créée pour soutenir la guerre en Algérie. Des légions successives ont été également levées pour augmenter les forces françaises dans la guerre de Crimée, dans la guerre franco-autrichienne et au Mexique.
Au commencement, la Légion s'avère être un moyen très efficace pour retirer les éléments les plus « indésirables » de la société française du 19ème siècle. Ses rangs ont été remplis de meurtriers, d'évadés, de mendiants, de criminels de droit commun et d'immigrés non désirés.
Au début, le légionnaire était très mal formé, peu ou pas payé, et ne recevait que le plus sommaire des équipements : vêtements et nourriture.
L'unité avait tendance à ne pas être motivée, car ses raisons de rejoindre la Légion étaient le plus souvent le désespoir et l'instinct de survie plutôt que le patriotisme. Certains légionnaires essayaient très probablement d'échapper à de graves problèmes.
Les conditions de vie et de travail étaient terribles, et leurs premières campagnes étaient des affaires pour la plupart sanglantes.
En conséquence, la désertion était traditionnellement un problème important pour la Légion. Forger une force de combat efficace, à partir d'un ramassis de soldats peu motivés, s'est avéré une entreprise des plus difficiles.
Dans ce but, la Légion a rapidement développé une discipline incroyablement stricte, dépassant de loin celle de l'armée française régulière.
Campagnes
Algérie
Créée pour combattre "hors du territoire continental du royaume", la Légion étrangère est stationnée en Algérie, où elle participe à la conquête et à la mise en valeur du territoire.
Le 4e bataillon est le premier à recevoir le baptême du feu le 11 novembre 1832, au combat de Sidi-Chabal, près d’Oran contre les troupes d’Abd El-Kader.
En 1834, les Espagnols du 4e bataillon sont démobilisés et autorisés à rentrer dans leur pays, en proie à la guerre civile. Le 7e bataillon est ramené à Oran et prend alors le numéro 4.
Guerres carlistes
La guerre civile déchire l’Espagne. Afin d'aider Isabelle II, Adolphe Thiers, alors ministre de l'intérieur, réussit à convaincre le gouvernement d'envoyer la Légion étrangère en Espagne. Deux jours plus tard, le 8 juin 1835, Louis-Philippe donne son accord et la Légion étrangère est cédée le 28 du même mois. Par ordonnance royale, la Légion ne fait plus partie de l'armée française.
Le 16 décembre 1835, moins de six mois après s'être séparé de la première, Louis-Philippe décide la création d'une nouvelle Légion étrangère.
Celle qui devait devenir "l'Ancienne Légion" est livrée à elle-même en Espagne. Mal équipés, peu, voire pas payés, les légionnaires combattent sans renfort, ni nouveau recrutement. En 1839, la reine donne congé aux derniers survivants. La plupart d'entre eux franchissent la frontière pour s'engager de nouveau dans la Légion.
Algérie pour la nouvelle Légion
3 bataillons sont recréés pour combler le vide laissé par le départ des troupes en Espagne. En 1840, deux autres, les 4e et 5e sont formés à Pau et Perpignan avec les survivants de l'aventure espagnole, anciens légionnaires comme carlistes. Ces bataillons viennent rapidement compléter le dispositif et renforcer les troupes françaises de l'Armée d'Afrique.
La Crimée (1854-1856)
Le 27 juin 1854, le Jean Bart embarque deux bataillons du régiment. Le 3e bataillon et le dépôt du régiment partent quant à eux s'installer en Corse, à Bastia afin d'y former le dépôt de guerre pour alimenter les deux régiments étrangers partis en Crimée.
Les deux régiments de Légion participent, au sein de la "Brigade étrangère", aux batailles de l’Alma, le 20 septembre 1854 et au siège de Sébastopol durant l'hiver 1854-1855. Le manque d'équipement est particulièrement éprouvant et le choléra frappe le corps expéditionnaire. Néanmoins, les ventre de cuir (surnom donné aux légionnaires par les Russes en raison de leur cartouchière sur le ventre), se comportent admirablement.
Le 21 juin 1855, les compagnies d'élite du 3e bataillon et tous les effectifs disponibles laissés en Corse arrivent en Crimée.
Le 8 septembre, c'est l'assaut final et le 10, le 2e Régiment étranger, drapeau et musique en tête, défile dans les rues de Sébastopol.
Campagne d'Italie
Comme l'armée d'Afrique, la Légion participe à la campagne d'Italie. Elle s'illustre notamment au cours de la bataille de Magenta le 4 juin 1859.
Le 24 juin, les légionnaires se heurtent aux Autrichiens au cours de la bataille de Solférino.
Expédition du Mexique
Initialement, la Légion ne devait pas participer à la campagne, mais une pétition de ses officiers adressée au ministre de la guerre eut pour effet de punir ceux-ci et d'envoyer le Régiment étranger au Mexique.
Le régiment arrive le 25 mars 1863 et se voit alors confier la tâche ingrate de l'escorte des convois entre Veracruz et Puebla. Mais la 3e compagnie s'illustre le 30 avril 1863 au cours du combat de Camerone qui reste dans l'histoire comme l'illustration du sacrifice au nom de la parole donnée.
Le régiment se déplace ensuite vers les Terres Chaudes et est réorganisé en 4 bataillons en 1864. Parallèlement, le dépôt du régiment quitte temporairement Sidi bel Abbès pour Aix-en-Provence afin de faciliter le recrutement et l'envoi de renforts au Mexique.
De décembre 1864 à février 1865, les unités du régiment participent au siège de Oajacca.
Le 3 juillet 1866, les 3e et 5e compagnies du 4e bataillon livrent un combat comparable à celui de Camerone. Sous les ordres du capitaine Frenet, les 125 légionnaires encerclés dans l'hacienda de l'Incarnacion résistent victorieusement durant 48 heures à plus de 600 Mexicains.
Total des pertes dans l’expédition du Mexique : 22 officiers, 32 sous-officiers et 414 légionnaires.
L'accord passé avec l'empereur Maximilien indiquait que la Légion étrangère devait passer au service du Mexique ; en fait lors du retrait français, la Légion retourna également en métropole.
Guerre franco-allemande de 1870
Le 19 juillet 1870, la Guerre franco-allemande éclate entre la France et la Prusse. Cette guerre se déroule sur le sol de France, où la Légion n'a pas, normalement, à intervenir. Par ailleurs, on ne peut pas demander aux légionnaires allemands de se battre contre leur pays. Mais la situation est si critique que le gouvernement fait appel aux troupes d’Afrique.
Deux bataillons sont formés pour partir en France, les légionnaires allemands, le drapeau du régiment et la musique restent à Sidi-Bel-Abbès. Pendant ce temps, un 5e bataillon est créé sur le sol national pour incorporer les étrangers qui veulent servir leur patrie d'adoption. Celui-ci se distingue particulièrement pour sa vaillance lors de la bataille d'Orléans le 10 octobre.
Les bataillons arrivés d’Algérie se fondent avec les rescapés des combats d’Orléans mais ils connaissent la défaites avec l’Armée de l’Est. Ce qui reste de l'unité participe à la répression de la Commune de Paris en avril et mai 1871. Le 11 juin, le régiment étranger de marche formé pour la circonstance cesse d'exister. Ses éléments retrouvent le chemin de l’Algérie.
Tonkin
Le 18 novembre 1883, les 600 premiers légionnaires débarquent au Tonkin. Ils participent aux colonnes de l’amiral Courbet qui lutte contre les Pavillons noirs.
Le 16 décembre, les légionnaires accomplissent leur premier fait d'armes en terre asiatique en prenant la citadelle de Son-Tay. Renforcés par le 2e bataillon à partir de février 1884, les légionnaires s'emparent de la forteresse de Bac Ninh.
Du 26 janvier au 3 mars 1885, la citadelle de Tuyen Quang, défendue par une majorité de légionnaires est assiégée.
Le 1er janvier 1885, les 3e et 4e bataillons du 1er régiment étranger arrivent au Tonkin et sont intégrés au 2e Étranger. Le 3e bataillon tient une place particulière lors de la prise de Lang Son le 4 février. Le 4e bataillon du 2e Étranger, débarqué à Formose en janvier 1885 combat les Chinois sur place jusqu'à l'armistice franco-chinois du 21 juin 1885. Ensuite, il rejoint son corps au Tonkin.
Après la conquête, vient la phase de pacification qui, comme en Algérie est une lutte permanente contre les bandes armées. | |
| | | Stans Fondateur
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| Sujet: La Légion Etrangère Mar 25 Juil 2006, 11:25 am | |
| - Citation :
- Afrique
Dahomey (1892-1894)
En 1892, le roi Behanzin menace le comptoir de Porto Novo et la France décide d'intervenir. Un bataillon étranger de marche est constitué à partir de 2 compagnies du 1er Étranger et 2 autres du 2e Étranger. Il est placé administrativement sous le commandement de ce dernier. Le commandant Faurax en prend la tête.
De Cotonou, les légionnaires doivent s'emparer d’Abomey, la capitale du mutin. Deux mois et demi sont nécessaires pour atteindre la cité au prix de combats répétés contre les soldats, et surtout les amazones du roi. Celui-ci capitule et est capturé par les légionnaires en janvier 1894.
Soudan (actuel Mali) (1892-1893)
Une compagnie de marche est formée par le 2e Étranger et transportée à Kayes afin de soumettre les sultans Ahmadou et Samory Touré. Une fois sa mission accomplie avec succès, la compagnie est dissoute à son retour à Saïda le 24 juin 1893.
Guinée (1894)
Un bataillon de marche constitué de deux compagnies des deux régiments étrangers est créé au début de l'année 1894 pour pacifier le Niger. La victoire des légionnaires à la forterese d'Ouilla et les patrouilles de police dans la région accélèrent la soummission des tribus. Mais 51 légionnaires doivent y être hospitalisés des suites de maladies tropicales et de la dysenterie.
Madagascar (1895-1905)
En 1895, un bataillon de marche, formé par les 1er et 2e Étrangers est envoyé à Madagascar afin de participer au corps expéditionnaire qui a pour mission de réduire l'insurrection.
Le bataillon étranger forme alors le fer de lance de la colonne lancée sur Tananarive. Mais si la faible intensité des combats ne permet pas aux Légionnaires de montrer leur bravoure, ils laissent 226 des leurs, morts sur la grande île, dont à peine un dixième pour faits de guerre. Les autres, comme une grande partie du corps expéditionnaire meurent des conditions climatiques et des maladies tropicales.
Le bataillon rentre en Algérie en décembre 1895. Mais dès 1896, le général Galliéni, appelé à réduire une deuxième insurrection, demande à partir avec 600 Légionnaires afin de pouvoir "mourir convenablement" le cas échéant. Un nouveau bataillon de marche est donc formé pour cette expédition. Des renforts suivent car les opération de pacification durent jusqu'en 1905. Là encore, l'ennemi le plus redoutable est la fièvre.
Première Guerre mondiale
Dés août 1914 des milliers d'étrangers, présents en métropole ou dans les colonies, rejoignent les rangs de la Légion, afin de prouver leur attachement et leur reconaissance à la France. Au total ce sont 42.883 volontaires, représentants pas moins de 52 nationalités, qui formeront les 5 régiments de marche, où serviront en majorité les Russes, Italiens, Suisses, Belges et Anglais. Suite aux nombreuses pertes subies par ces unités et au départ pour leur pays d'origine de la plupart de ces premiers engagés, le commandement décidera, le 11 novembre 1915, la création du RMLE: Régiment de marche de la Légion étrangère, qui, avec le RICM, devait devenir le régiment le plus décoré de France, et combattra sur le front en France : en Artois, dans la Somme et à Verdun.
La Légion fournira en outre un bataillon qui, amalgamé avec deux autres bataillon de zouaves et tirailleurs algériens, constituera le RMA, Régiment de Marche d'Algérie, qui combattra à Gallipoli (1915) et rejoindra l'Armée d'Orient sur le front de Salonique (1916-18).
Au total, plus de 6.000 Légionnaires trouveront la mort sur les champs de bataille de France ou des Balkans; à titre d'exemple, à lui seul le RMLE perdra 115 officiers tués, dont 2 colonels, 12 commandants et 21 capitaines.
Maroc
1914 : Bataille d'Elhri Maroc précolonial
Syrie
Pacification contre les Druzes.
Seconde Guerre mondiale
La déclaration de guerre du 3 septembre 1939 va provoquer un changement sensible en ce qui touche à l'effectif légionnaire: ainsi les Espagnols, en grande majorité rescapés républicains de la guerre civile, vont représenter jusqu'à 28% des effectifs et les autres antifacistes, Italiens, Allemands, Autrichiens et autres, iront jusqu'à près de 17%. En outre cette vague de nouveaux engagés permettra de monter le nombre de Légionnaires à 48.924, inscrits sur les rôles au 9 mai 1940 ; ce chiffre ne sera jamais dépassé, pas même lors de la guerre d'Indochine.
Cet afflux de volontaires permettra la création de plusieurs nouvelles unités:
la 13° DBLE (Demi-Brigade de la Légion Etrangère), qui participera à l'expédition de Norvège, avant d'être l'une des toutes premières unités constituées à rejoindre les FFL ; les 11° et 12° REI, qui participeront aux combats de la Campagne de France en mai-juin 1940; le RD 97 ( Groupement de Reconnaissance divisionnaire N°97) qui sera engagé en mai-juin 40; en plus, au camp pyrénéen de Barcarès, seront mis sur pied trois autres régiments, les 21°, 22° et 23° RMVE, ou Régiments de Marche de Volontaires Etrangers, unités éphémères. Bataille de Narvik Bataille de Bir Hakeim Bataille d'El Alamein Tunisie
août 1944 : Débarquement de Provence
Guerre d’Indochine
Au total, de 1946 à 1954, ce ne sont pas moins de 72.833 Légionnaires qui serviront en Indochine. Avec plus de 10.000 morts, la Légion enregistrera le taux le plus élevé en pertes humaines: prés de 12% pour les Képis Blancs contre moins de 7% pour l'ensemble du Corps expéditionnaire français d'Extrême-Orient.
Total des pertes : 10 283 morts
Guerre d'Algérie
putsch d'Alger
Depuis 1962
réduction de l'effectif de 40.000 à 8.000 hommes, déplacement du siège de commandement à Aubagne.
interventions au Tchad
1978 : Sauvetage de Kolwezi
Liban
1991 : Guerre du Golfe
1992 : Cambodge et Somalie
Rwanda
1996 : Centrafrique
1997 : Congo
2002-2003 : opération Licorne en Côte d’Ivoire.
Composition
Commandement de la Légion étrangère (COMLE) installé à Aubagne
1er régiment étranger (1er RE) stationné à Aubagne (800 hommes) 4e régiment étranger (4e RE) Régiment de formation stationné à Castelnaudary (570 hommes plus stagiaires) 2e régiment étranger de parachutistes (2e REP) stationné à Calvi (Corse) (1234 hommes) 1er régiment étranger de cavalerie (1er REC) stationné à Orange (950 hommes) 1er régiment étranger de génie (1er REG) stationné à Laudun (Gard] (1000 hommes) 2e régiment étranger de génie (2e REG) stationné à Saint-Christol (Vaucluse) (870 hommes) 2e régiment étranger d’infanterie (2e REI) stationné à Nîmes (1300 hommes) 3e régiment étranger d’infanterie (3e REI) Stationné à Kourou (Guyane) (250 hommes Légion et 380 tournants). Il est l'héritier du Régiment de marche de la Légion étrangère 13e demi-brigade de Légion étrangère (13e DBLE) stationné à Djibouti (740 hommes dont 580 Légion) Détachement de Légion étrangère de Mayotte (DLEM) stationné à Dzaoudzi (240 hommes dont 80 Légion et 160 tournants)
Origines nationales
Ci-joint un tableau des effectifs de la Légion établi en 1963 et établissant l'origine nationale de plus de 500.000 Légionnaires ayant servi de 1831 à 1961:
Nationalité Effectifs Allemands 210.000 Italiens 60.000 Belges 50.000 Français 50.000 Espagnols 40.000 Suisses 30.000 Polonais 10.000 Russes 6.000 Autrichiens 5.000 Hongrois 4.000 Grecs 4.000 Tchèques 4.000 Hollandais 3.000 Yougoslaves 3.000 Luxembourgeois 2.300 Britanniques 1.500 Roumains 1.500 Portugais 1.300 Danois 1.000 Turcs 1.000 Américains 700 Bulgares 500 Finlandais 500 Suédois 500 Algériens 500 Vietnamiens 200 Marocains 200 Tunisiens 200 Argentins 100 Brésiliens 100 Japonais 100 Canadiens 100 Lituaniens 100 Lettons 100 Norvégiens 100 Egyptiens 100
Faits d'armes
Bataille de Camerone le 30 avril 1863 au Mexique. Bien qu'il s'agisse pour la Légion d'une défaite, elle est commémorée par les légionnaires avec autant de ferveur que par les Mexicains, qui reconnaissent sans réserve le courage des Légionnaires (ceux-ci ne se rendirent que lorsqu'il ne resta que trois survivants !). Tuyen Quang en 1885 au Tonkin. Six cents légionnaires sont encerclés et assaillis par vingt mille Chinois et leur résistance dura pendant trente-six jours avant l'arrivée de renforts. La bataille d'Elhri le 13 novembre 1914. Plus de six cents légionnaires sont anéantis à Khénifra. Sauvetage de Kolwezi en 1978 au Zaïre, . Les parachutistes de la Légion étrangère, à plusieurs milliers de kilomètres de leurs bases, interviennent à Kolwezi, au Zaïre, pour délivrer des Européens retenus en otage par des rebelles. Libération d'enfants pris en otage dans un bus scolaire à Loyada en République de Djibouti. Pendant la première guerre du Golfe en 1991 la Légion étrangère participa aux opérations terrestres. Il y eu deux morts et trois blessés parmi un bataillon du 2e REP dus à une bombe à retardement. | |
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