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 Le baron von UNGERN-STERNBERG

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Alexis
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MessageSujet: Le baron von UNGERN-STERNBERG   Le baron von UNGERN-STERNBERG EmptySam 10 Fév 2007, 6:03 pm

Au début de l'année 1921, la guerre civile qui oppose les "rouges" et les "blancs" en Russie approche à son terme. Les soldats au bonnet pointu frappé de l'étoile rouge sont sur le point de remporter la première manche de la Grande Révolution prolétarienne. En novembre 1920, le général Wrangel s'octroyait un dernier baroud d'honneur en faisant évacuer ses troupes de Sébastopol au nez et à la barbe des bolcheviks. Ces rescapés iront s'exiler à New York ou à paris en remâchant sans cesse le souvenir de la Russie éternelle. Trotski peut désormais dormir tranquille. Son armée rouge forgée sur le tas a réussi le pari de vaincre la coalition capitaliste. La dernière armée blanche a disparue et tout l'ancien empire tsariste s'offre à lui.Dernière armée? Pas si sûr. Dans l'immensité des plaines sibériennes, un homme croit encore pouvoir renverser le cours de l'Histoire. A la tête de sa "division asiatique de cavalerie", à peine forte d'un millier d'hommes, le Baron Ungern-Sternberg rêve de contrecarrer ses plans en fondant une nouvelle "Horde d'Or"...

Qui est donc cet homme qui s'imagine pouvoir tenir tête aux centaines de milliers de gardes rouges lancés contre lui ? Né à Graz en Autriche, le 29 décembre 1885, Roman fedorovitch Von Ungern-Sternberg appartient à la vieille noblesse germanique établit en Estonie depuis le XIIe siècle. Ses "ancêtres", comme il aimait à le rappeler à ses interlocuteurs, se sont distingués sur tous les champs de bataille depuis l'époque des croisades. Losqu'un juge soviétique lui demandera après son arrestation quels furent les services rendus par sa famille à la Russie, le baron se contentera de cette réponse laconique : "72 tués à la guerre !" Avec une telle généalogie, il était inévitable pour lui d'embrasser tout jeune la carrière militaire. D'abord inscrit au corps de marine de Saint-Pétersbourg en 1896, il s'engage ensuite comme simple soldat dans un régiment d'infanterie lorsque la guerre éclate avec le japon en 1904. L'homme a besoin d'exploits pour faire honneur à sa ligné et qui sait, avoir peut-être le même destin tragique... Malheureusement pour lui, les combats sont déjà terminés lorsque son unité arrive en Extrême-Orient. De retour à Saint-Pétersbourg, il entre à l'école militaire Paul Ier et en sort promu officier en 1908. Affecté dans un régiment de cosaques en Transbaïkalie, Ungern attend en vain le prochain accrochage avec l'Empire du Soleil levant. Le conflit tardant à venir, l'ennui de la vie de caserne est comblé par la vodka. Les esprits s'échauffent et Ungern reçoit un coup de sabre à la tête au cours d'un duel avec l'un de ses camarades. Le général Wrangel s'est toujours demandé si cette blessure n'avait pas définitivement altéré son caractère en annihilant chez lui toute sphère émotionnelle. Muté dans un autre régiment près du fleuve Amour, Ungern décide de le rejoindre à cheval en parcourant seul les 500 kms de Taïga. Il se familiarise peu à peu avec les coutumes des peuplades mongoles et bouriates, ainsi qu'au bouddhisme qui devient le socle de ses convictions sur les lois universelles régissant le monde.

Véritable moine-soldat, Ungern semble appartenir à un autre temps. Wrangel, qui l'eut un moment sous ses ordres en 1916, le décrit en ces termes : "les hommes de sa trempe sont innapréciables en temps de guerre et impossibles en temps de paix... débraillé, sale, il dort sur le plancher parmi ses cosaques, mange à la gamelle. Des contrastes singuliers se rencontraient en lui : un esprit original, perspicace, et en même temps, un manque étonnant de culture, un horizon borné à l'extrême, une timidité sauvage, une furie sans frein, une prodigalité sans bornes et un manque de besoins exceptionnels." Solitaire et taciturne, il affiche une indifférence totale, voir une franche hostilité à l'égard des femmes. Il n'a que du mépris pour les valeurs bourgeoises, synonymes de confort et de sécurité, et ne trouve son plein épanouissement que dans le chaos ou le fracas des armes.

Autant dire que la déclaration de guerre en 1914 est pour lui une véritable bénédiction. Il sert dans le régiment de cosaques de Nertchinsk en Galicie et est plusieurs fois blessé. Un ami de sa famille écrit dans ses mémoires que " les lettres qu'il envoyait du front faisaient penser aux chants du Moyen-Âge, tant elles étaient pleines de l'audace irréfléchie d'un homme enivré par le danger. Il aimait la guerre comme d'autres aiment les cartes, le vin et les femmes." C'est à cette époque qu'il fait la connaissance de Gregori Semenov, un officier d'origine russo-bouriate nourrissant de grandes ambitions. Dès les premiers remous révolutionnaires en octobre 1917, Semenov part en Transbaîkalie pour y former le premier régiment contre-révolutionnaire blanc. Il est rejoint un peu plus tard par Ungern qu'il nomme chef d'Etat-Major. Ayant pris ses quartiers à Daouria, le désormais " Ataman" érige une véritable petite féodalité au cœur de la Sibérie en contrôlant le transsibérien grâce à ses fameux trains blindés. Il tire profit de sa situation en détournant les livraisons de matériels envoyés par les alliés au gouvernement contre-révolutionnaire de l'amiral Koltchak établit à Omsk, beaucoup plus à l'ouest. Les Japonais ont envoyés un corps expéditionnaire de 5000 hommes dans la région. Ils soutiennent et s'accommodent parfaitement de cet électron libre car ils n'ont aucun intérêt à voir s'installer un pouvoir blanc fort et stable en Sibérie, compte tenu des ambitions qu'ils nourrissent sur le continent asiatique. Cette situation résume à elle seule l'échec inéluctable de la coalition anti-bolchevique. Entre les Américains, les Japonais ou des seigneurs de la guerre tels que Semenov, chacun défend ses petits intérêts au détriment de la cause commune.

Ungern se distingue du lot par sa haine viscérale du communisme dans lequel il voit un ennemi de la civilisation universelle. Sa conscience d'aristocrate lui fait exècre toute idée d'égalité parmi les hommes, la révolution bolchevique n'étant pour lui que la conclusion ultime du pourrissement de l'Occident. Ce déclin, il l'impute comme bon nombre de ses acolytes à "la juiverie internationale qui vise à l'anéantissement des nations et des peuples." Dans son mode de pensée ténébreux, le salut ne peut donc venir que des peuplades mongoles, qui elles, ont su conserver leurs traditions millénaires. En février 1919, il assiste en compagnie de Semenov à une conférence Pan-mongole à Tchita. L'idée est de créer une " Grande Mongolie", du lac Baïkal au Tibet et de la Mandchourie au Turkestan oriental. Un émissaire est même envoyé au congrès de Versailles pour plaider cette cause. Le projet est cependant torpillé par Koltchak qui ne veut pas entendre parler d'un quelconque dépeçage de la Russie. De leur côté, les Chinois s'inquiètent des velléités d'indépendance de leur ennemi ancestral. En octobre 1919, deux divisions chinoises occupent Ourga, mettant fin à une autonomie mongole déjà bien précaire. Après la chute de Omsk et l'exécution de Koltchak par les bolcheviks en février 1920, il semble clair que rien ne puisse plus arrêter le déferlement des rouges vers l'est. En éternel opportuniste, Semenov propose un moment ses services à Moscou, mais décide finalement de s'envoler vers la Mandchourie. Il sera arrêté en 1945 par les troupes soviétiques qui ont envahit cette province, puis pendu sur la place rouge l'année suivante.
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MessageSujet: Le baron von UNGERN-STERNBERG   Le baron von UNGERN-STERNBERG EmptySam 10 Fév 2007, 6:04 pm

De son côté, Ungern ne renonce pas à son rêve insensé. Rassemblant une troupe disparate composée de russes, de bouriates, de Bachkirs ou Tatars, il quitte Daouria en août 1920 et se dirige vers la frontière mongole. Son objectif : Ourga d'où doit renaître selon lui "le grand élan salvateur de la race jaune". Après un premier assaut infructueux contre la ville en novembre 1920, sa "division asiatique de cavalerie" se retire dans les montagnes environnantes. Ungern lance alors une véritable guerre psychologique durant l'hiver 1920-1921. Il fait d'abord allumer plusieurs feux toutes les nuits pour faire croire à la garnison chinoise qu'il reçoit continuellement des renforts. En ville, ses espions font courir la rumeur qu'il est "le dieu réincarné de la guerre", qui d'après une vieille tradition, viendra libérer les Mongols du joug chinois. Afin de renforcer cette croyance, il organise l'enlèvement spectaculaire du Bogdo-Gegheen, chef spirituel de l'Eglise mongole. Le "Bhoudha vivant" avait été arrêté par les Chinois lors de l'occupation d'Ourga et enfermé dans son palais situé un peu à l'écart de la ville. Ungern n'eut pas de mal à convaincre une centaine de tibétains installés à Ourga de le rejoindre. Il comptait bien utiliser leur vieille haine tenace à l'égard des chinois. Cette "sotnia tibétaine", animée par une foi inébranlable, réussit à enlever le bogdo-Gegheen le 31 janvier 1921, ceci malgré l'étroite surveillance du palais par les Chinois.

Désormais, Ourga doit tomber comme un fruit mûr. Le 2 février, le baron lance ses troupes regonflées à bloc contre la capitale. Il avait promis à ses hommes de les laisser piller la ville et la mettre à sac pendant trois jours, tout en leur interdisant, sous peine de mort, de passer le seuil des temples. Pour ces soldats affamés, mal vêtus et frigorifiés, la victoire est la seule chance de salut. Les Chinois n'opposent qu'une faible résistance et se retirent en désordre vers le sud. Les trois jours qui suivent vont être parmi les plus pénibles de l'histoire de la ville. La petite communauté juive est la première victime du déchaînement de ces hordes assoiffées de sang. Viols, pillages, exécutions sommaires, Ourga offre alors un bien triste visage d'après les témoins de l'époque: " Les boutiques chinoises mises à sac n'avaient ni portes ni fenêtres ; les cadavres des chinois mêlés à ceux, décapités, des juifs torturés, hommes, femmes et enfants, étaient jetés en pâture aux chiens mongols. Les corps des exécutés n'étaient pas rendus à leur famille, mais abandonnés dans un dépotoir, au bord de la Selba. Des chiens repus rongeaient ça et là une main ou une jambe. S'étant barricadés dans les maisons et n'attendant de pitié de personne, les soldats chinois vendaient leur vie le plus chèrement possible. Des cosaques ivres et hagards, vêtus d'un manteau de soie par-dessus leur pelisse déchiquetée, prenaient ces maisons d'assaut ou bien les brûlaient avec ceux qui s'y trouvaient. "

Autant dire que d'emblée, Ungern ne fait rien pour s'attirer la sympathie des habitants. Le colonel Sipaïlo ou Sipaïlof est chargé de la sécurité de la ville, une vraie boutade puisqu'il s'agit d'un véritable psychopathe. D'abord au service de Semenov, cet officier traîne en effet une sinistre réputation de meurtrier. Ungern ne l'aime pas spécialement, mais a besoin d'hommes comme lui pour accomplir les "sales besognes." Les témoins le décrivent comme un monstre à l'aspect repoussant, un être faible physiquement, aux mains tremblantes, au visage déformé par des crispations, à la tête bizarrement aplatie (un voyageur polonais parle "d'une tête en forme de selle".) Fort de son pouvoir, celui qu'on surnomme "l'étrangleur" fait régner la terreur sur toute la ville et parmi les autres officiers de la division.

Afin de concrétiser solennellement la nouvelle indépendance mongole, le Bogdo-Geghen est couronné empereur divin le 22 février. Ungern jubile, la restauration de toutes les monarchies est un but ultime dans son esprit : "je sais que seule la restauration de la monarchie sauvera l'humanité, corrompue par l'Occident. Comme la terre ne peut exister sans le ciel, les peuples ne peuvent vivre sans rois... l'incarnation suprême de l'idée de la monarchie, c'est l'union de la divinité et du pouvoir séculier, comme l'empereur de Chine, comme Bogdo-Khan en Khalka et les tsars russes des temps anciens." Après avoir écrasé les résidus de l'armée chinoise présente en Mongolie, Ungern s'attache à consolider son embryon d'empire. Avec la prise d'Ourga, son projet d'action s'articule suivant ces étapes : A. L'unification sous la houlette de bogdo-Gegheen de toutes les terres habitées par des peuples de " souche mongole ." B. La création d'une fédération d'Asie centrale, incorporant le Tibet entre autres. C. La restauration en Chine de la dynastie des Qing. D. L'organisation, avec le Japon comme allié, d'une campagne des forces unifiées de la " race jaune " contre la Russie, puis plus avant vers l'ouest, dans le but de restaurer les monarchies dans le monde entier, ni plus, ni moins…

Mais ses élucubrations sont vite rattrapées par la réalité. Les massacres et les expéditions punitives ont envenimés ses relations avec les Mongols. En mars 1921, un gouvernement mongol révolutionnaire est crée sous la houlette de Moscou à Kiakhta (aujourd'hui Altan-Bulak sur la frontière russo-mongole). Bodo, un ancien professeur du consulat de Russie, en devient le Premier ministre tandis que Soukhé-Bator, un diplômé de l'école des officiers d'Ourga, est lui nommé commandant en chef. Ce gouvernement parallèle fait naturellement appel au parti frère de Russie pour bouter Ungern du pays. Pour le baron, il n'y a pas d'autres alternatives que de repartir en campagne.

Après avoir mobilisé tous les hommes valides dans sa division, Ungern prend la direction du Nord en mai 1921. Son objectif est d'écarter la menace bolchevique en Transbaïkalie afin de consolider son propre gouvernement en Mongolie. Le rapport de forces est disproportionné. Face aux 6000 hommes du baron, Trotski a envoyé la Ve armée soviétique forte d'environ 75 000 gardes rouges et dotée d'un armement lourd important. Pendant plusieurs semaines, Ungern va jouer au jeu du chat et de la souris, apparaissant partout et nulle part sur la frontière. Mais le temps joue contre lui et les défections dans sa petite armée se multiplient. Ses hommes ne comprennent plus ses ordres insensés et en ont assez de ces allers et venues dans la steppe étouffante. Ils savent très bien qu'à terme, les rouges finiront par les exterminer et sont partisans de faire retraite vers la Mandchourie. Le "baron fou" lui, veut faire route vers le Tibet pour mettre sa division au service du Dalaï-Lama. Cela implique de traverser le désert de Gobi, une véritable folie à cette époque de l'année. A la mi-août, certains de ses officiers décident d'organiser son assassinat. Il réussit in-extremis à échapper aux balles des comploteurs et s'enfuit en pleine nuit avec sa jument.

Après plusieurs jours d'errance, il est finalement capturé par un détachement soviétique. Cet inestimable trophée est promené tout le long des villes du transsibérien pour être jugé à Novossibirsk le 15 septembre 1921. L'acte d'accusation comprenait trois points :

1. Activités initiées par Tokyo avec pour objectif la création d'un état centrasiatique.

2. Lutte armée contre le pouvoir soviétique pour la restauration de la monarchie des Romanov.

3. Terreur et atrocités.



Reconnus coupable de tous ces chefs d'accusation, il est exécuté le jour même dans un bois environnant et enterré sur place. Ungern symbolise à lui seul les valeurs et les tares d'une aristocratie russe à l'agonie. A aucun moment le baron n'a été capable de fédérer le peuple autour de son projet insensé. Le caractère violent de son court régime à Ourga ne pouvait que définitivement le couper des mongols qui, de toutes façons, étaient devenus l'un des peuples les plus pacifiques au monde. Dans un sens, il préfigure les atrocités du futur régime nazi dont il deviendra par ailleurs une figure de la propagande. Mais Ungern fascine pour son côté hautement romanesque. Hugo Pratt a ainsi largement utilisé le personnage pour donner la réplique à son héros Corto Maltese (Corto Maltese en Sibérie). Le Baron pensait que le XXe siècle serait celui de l'Asie. Peut-être était-il en avance sur son temps dans cette idée…

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MessageSujet: Le baron von UNGERN-STERNBERG   Le baron von UNGERN-STERNBERG EmptyVen 16 Fév 2007, 2:12 pm

Tiens, notre ami Ungern ne réagit pas ?


Dernière édition par le Lun 24 Déc 2007, 4:10 pm, édité 1 fois
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MessageSujet: Le baron von UNGERN-STERNBERG   Le baron von UNGERN-STERNBERG EmptyVen 16 Fév 2007, 2:30 pm

J'aimerais en effet savoir si son prénom a rapport avec cet étrange personnage.
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MessageSujet: Re: Le baron von UNGERN-STERNBERG   Le baron von UNGERN-STERNBERG EmptyVen 16 Fév 2007, 4:47 pm

J'étais un peu débordé , 1000 excuses ....
Mon travail (de plus en plus con,et dont je sorts de plus en plus désespéré et fatigué ...) .
Mon site (qui me prend des heures par jour) .
Mon jardin .
Ma fille (qui m'a demandé comme ça si son gentil papa ne pouvait pas lui expliquer "vite fait" un petit programme .... Comme un con,j'ai dit "oui" ...Pour apprendre que c'est avec çà qu'on a fait le moteur de recherche de GOOGLE ....No
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Effectivement c'est un résumé très correct de la vie de Ungern Von Sternberg .

Non ,je ne suis pas de la famille des Ungern Von Sternberg que j'ai connu par hasard dans une BD de Hogo Pratt .

J'ai lu aussi quelques bouquins sur son aventure,sur sa vie .

La famille a pris contact avec moi pour savoir pourquoi j'avais pris ce pseudo peu connu et je leur ai raconté cette histoire qui leur a tout à fait convenu .

Un être complexe un fou mystique qui est allé au bout de son destin .
On ne doit pas admettre tout ce qu'il a fait,mais il faut respecter sa démarche intellectuelle,et son énergie vitale .
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MessageSujet: Re: Le baron von UNGERN-STERNBERG   Le baron von UNGERN-STERNBERG EmptySam 17 Fév 2007, 7:57 pm

Est-ce secret ? Ou peut-on savoir d'où vient l'origine de ton pseudo? Very Happy
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MessageSujet: Re: Le baron von UNGERN-STERNBERG   Le baron von UNGERN-STERNBERG EmptySam 17 Fév 2007, 8:15 pm

Si c'est pour Ungern,c'est expliqué de long en large .
Si c'est pas Ungern,faut préciser ....
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MessageSujet: Re: Le baron von UNGERN-STERNBERG   Le baron von UNGERN-STERNBERG EmptySam 17 Fév 2007, 8:50 pm

Ungern a écrit:
Si c'est pour Ungern,c'est expliqué de long en large .
Si c'est pas Ungern,faut préciser ....
L'origine, le pourquoi de ton choix quoi ... tout simplement.
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MessageSujet: Re: Le baron von UNGERN-STERNBERG   Le baron von UNGERN-STERNBERG EmptySam 17 Fév 2007, 9:41 pm

Parce que c'est quelqu'un qui a été au bout de son rêve,et de sa destinée ,
sans tenir compte de ses intérêts personels .

C'est quelqu'un qui a mit son énergie vitale au sevice de ses rêves .

C'est un autodidacte .

C'est un solitaire .

C'est ans doute un peu pour "tout çà" .

Qu'en pensez-vous Docteur ?
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MessageSujet: Re: Le baron von UNGERN-STERNBERG   Le baron von UNGERN-STERNBERG EmptySam 17 Fév 2007, 11:36 pm

merci pr ta réponse Ungern
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