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 L'homosexualité, problème psychique ?

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Alexis
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MessageSujet: L'homosexualité, problème psychique ?   L'homosexualité, problème psychique ? EmptyJeu 08 Mai 2008, 11:13 am

http://vocare.free.fr/articles.php?lng=fr&pg=83

Selon Freud, la sexualité humaine est avant tout le résultat du travail psychique du sujet sur la pulsion sexuelle et non pas le développement linéaire d’une biologie sexuelle où pulsion et objet seraient confondus. En effet le désir de l’autre et le choix de la personne sont souvent complexes.

Tony Anatrella

22/05/2004

Si la pulsion sexuelle trouve sa force et son énergie dans la biologie, elle tire son origine de l’inconscient. Et c’est dans la mesure où le sujet est en interaction avec d’autres qu’il peut éveiller sa pulsion sexuelle et développer les représentations à partir desquelles il va l’exprimer. Les premiers partenaires de l’enfant au contact desquels la pulsion sexuelle est sollicitée, sur le mode de l’identification, sont les parents.

C’est la sexualité inconsciente des parents qui sert de base à l’enfant pour développer la sienne. Autrement dit, non seulement l’amour est déterminant pour s’affirmer sexuellement, mais il faut aussi que l’image du père ou de la mère ne soit pas dévalorisée par l’un ou l’autre des parents. Ce qui peut être le cas d’une mère abusive ou du père absent parfois rencontrés dans les familles dites « monoparentales ». Le sujet accepte son identité masculine ou féminine dans la mesure où il intègre son corps sexué et reconnaît la différence des sexes à partir du lien qu’il entretient avec ses deux parents.

On observe souvent, dans le cas de sujets qui ne vivent pas dans la continuité de leur identité sexuelle, une identification à une image idéale de l’autre sexe et un rejet d’une image du parent du même sexe, accablé de tous les maux. De nombreux homosexuels souffrent ainsi d’un déficit dans la capacité de relation inconsciente avec le parent de même sexe qui conduit à une ambivalence, une mise à distance de ce parent et une recherche de partenaire de même sexe érotisé. Dans un certain type d’homosexualité masculine, on observe que les hommes veulent être l’homme idéal que le père n’a jamais été, et dans le cas de l’homosexualité féminine, le besoin de se réparer par rapport à la mère et la fuite d’une relation : ne pas désirer un homme pour ne pas détruire l’éventualité d’une relation positive à la mère.

L’homosexualité est une tendance sexuelle qui se développe en dysharmonie avec l’identité sexuelle du sujet. A la suite de nombreuses recherches sur les causes de l’homosexualité, l’hypothèse la plus pertinente est celle qui relève de la cause psychique. Elle est liée à la façon dont le sujet va construire la représentation de son désir sexuel. L’identification homosexuelle fait partie du développement classique de la psychologie du sujet lors de l’enfance et de l’adolescence. Il va s’identifier au parent puis à des partenaires du même sexe pour conforter son identité sexuelle. Pour diverses raisons, il peut se fixer à ses premières identifications, les érotiser et accélérer ce processus s’il échoue à intérioriser le sens de la bisexualité psychique. Celle-ci est le résultat de l’intégration dans sa vie psychique de la différence des sexes : le sujet est capable de mettre en dialogue à l’intérieur de lui-même les deux sexes sans être angoissé de perdre son identité ou d’avoir peur de l’autre sexe au point d’être incapable de le désirer. L’échec de cette opération psychique peut déboucher éventuellement sur l’homosexualité, le travestisme ou le transsexualisme.

Autrement dit, si toutes les personnes ont fait l’expérience inconsciente de cette identification homosexuelle structurante (c’est-à-dire au même que soi, qui est le sens étymologique de ce terme), elle ne se confond pas pour autant avec l’homosexualité qui manifeste un arrêt de l’évolution affectivo-sexuelle du sujet ou une régression lorsque la tendance homosexuelle masque un problème psychique qui a besoin d’être dénoué.

Cliniquement on constate au moins trois formes d’homosexualité parmi d’autres :

1) Une homosexualité accidentelle peut se présenter lors de l’enfance ou de l’adolescence à travers quelques expériences passagères mais qui n’engagent pas le désir du sujet. Il a pu être entraîné ou il s’est livré, par curiosité, à quelques gestes, comme pour s’assurer de sa masculinité ou de sa féminité, trouvant de nombreux intérêts psychologiques à vivre ainsi. Certaines personnes se libèrent sans que ces expériences ne produisent des effets néfastes alors que d’autres, plus fragiles dans leur identité, s’inquiètent sur ce vécu et ont besoin d’être aidées pour le traiter.

2) Une homosexualité réactionnelle qui fait échos à divers problèmes psychiques qui n’apparaissent pas pour eux-mêmes : une fixation maternelle, une contre identification paternelle, un self fragile qui rend timide et impuissant à l’égard de l’autre sexe, l’autosuffisance identitaire etc. Ce sont autant de questions qui peuvent être abordées et souvent dépassées grâce à un travail sur soi en psychothérapie. De nombreuses personnes arrivent en consultation en croyant qu’elles sont homosexuelles, tout en le refusant, et découvrent en le dénouant que leur problème est ailleurs.

3) Une homosexualité structurelle qui se met en place précocement et donne l’impression au sujet qu’il est né ainsi alors que la tendance, par exemple, a pu se fixer lors du stade du miroir entre six et dix-huit mois. Il découvre son image à travers le regard de l’autre, et en particulier de sa mère, et peut s’y arrêter en cherchant des personnes à son image. Certains sujets vont plus ou moins l’accepter pendant que d’autres en souffrent et regrettent de ne pas pouvoir rejoindre intimement les personnes de l’autre sexe. Cette fixation narcissique donne parfois des personnalités très imbues d’elles-mêmes, revendicatives et qui ont du mal à s’interroger et à se remettre en question. Elles se vivent comme la victime d’autrui et de la société et cherchent éperdument la reconnaissance des autres parfois jusqu’à la violence. Dans ce contexte, la tendance homosexuelle est souvent irréversible.

Il arrive également que des hommes ou des femmes adultes, tout en étant mariés et parents, vivent des expériences homosexuelles. Celles-ci sont souvent précédées par une séquence dépressive ou le retour d’une problématique ancienne qui n’a pas été aménagée dans la vie psychique. Elle provoque une régression affective et sexuelle parfois déstructurante.

La situation peut être évaluée en psychothérapie pour en connaître les enjeux et les défenses qui se manifestent ainsi.
L’homosexualité est le résultat d’un complexe psychologique et d’un inachèvement de la sexualité qui ne s’achemine pas vers l’hétérosexualité. Ce défaut de maturité produit des effets et des caractéristiques qui sont le propre des personnalités homosexuelles. Il n’est donc pas pertinent de laisser entendre que l’homosexualité est une autre alternative de la sexualité humaine qui serait à égalité avec l’hétérosexualité alors que les structures psychiques en jeu ne sont pas les mêmes.

Le DSM IV, Manuel de critères diagnostiques proposé par l’American Psychiatric Association, définit l’homosexualité comme « un trouble de l’identité de genre ». L’homosexualité est psychologiquement problématique car elle est en contradiction avec l’identité sexuelle. Freud conçoit l’homosexualité comme une « perversion », c’est-à-dire une fixation à des buts sexuels primitifs ou passagers. Le psychanalyste Ferenczi, contemporain de Freud, a une autre approche de l’homosexualité issue elle aussi de son travail clinique. Il parle, entre autres, de « l’homoérotisme d’objet » qui est un des effets d’une névrose obsessionnelle et de « l’homoérotisme de sujet » fondé sur le déni de l’identité sexuelle. Nous ne développerons pas davantage toute la littérature psychanalytique et psychiatrique qui existe à ce sujet et que l’on voudrait, aujourd’hui, rayer d’un trait de plume.

Le malaise parfois éprouvé par des homosexuels est intrinsèque à leur psychologie, il ne vient pas de la société comme ils le prétendent. Il y a ainsi des sujets qui assument leur situation et qui ne manifestent aucune récrimination ou revendication à l’égard de la société. En revanche, lorsque le sujet ne reconnaît pas son complexe psychique pour lui-même, il risque de le projeter sur les autres qui deviennent la cause de tous ses maux au point de les agresser. Dans cette confusion mentale, on ne sait plus de quoi l’on parle. Pour certains, la société est homophobe et maltraite les homosexuels en refusant l’égalité des droits du mariage entre les hétérosexuels et les homosexuels, comme si la société devait s’organiser autour de ces catégories. Mais si un jour les homosexuels peuvent se marier et adopter des enfants, affirment les militants de cette cause, alors « ils n’iront plus voir les psychanalystes, ils délaisseront les antidépresseurs, ils ne se suicideront plus. Ce sera le bonheur de ceux qui ne demandent qu’à s’aimer, à s’unir pour la vie, à élever des enfants, à faire des barbecues entre voisins dans leur jardin … Ce dont ils ont toujours rêvé et que la société leur refusait. »

Comment ne pas voir dans cette vision idyllique, l’externalisation d’un problème psychique identitaire que la société devrait prendre en charge et résoudre. Si le mariage avait une telle valeur thérapeutique pour traiter le mal être des personnes et éviter les dépressions cela se saurait. Il y a souvent chez des homosexuels une aspiration à trouver un partenaire stable, mais l’expérience montre que ces relations restent la plupart du temps instables et précaires et que leur longévité demeure exceptionnelle. C’est pourquoi le pacs est à l’image des fragilités affectives. Une fois de plus, nous assistons à une manœuvre de diversion pour ne pas voir que les véritables problèmes liés à l’homosexualité se nouent d’abord dans la vie psychique des sujets et non pas dans la société. Il est faux de prétendre que les homosexuels sont les victimes de la société alors que leurs pratiques sont surreprésentées dans les médias jusqu’à la saturation. Quant aux agressions contre les personnes homosexuelles, elles sont évidemment condamnables comme toutes les agressions.

Tony Anatrella est psychanalyste et spécialiste en psychiatrie sociale
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MessageSujet: Re: L'homosexualité, problème psychique ?   L'homosexualité, problème psychique ? EmptyJeu 26 Juin 2008, 3:14 pm

Pourquoi tant de débat sur l'homosexualité ?

De tout temps, dans toute société, race, religion l'homosexualité existe et a existé, preuve s'il en est que celà est finalement un développement de la nature, un peu comme la présence d'une minorité de gauchers.
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MessageSujet: Re: L'homosexualité, problème psychique ?   L'homosexualité, problème psychique ? EmptyJeu 26 Juin 2008, 10:31 pm

Mais le gaucher que je suis ne revendique rien ! Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: L'homosexualité, problème psychique ?   L'homosexualité, problème psychique ? EmptyJeu 26 Juin 2008, 11:32 pm

Sylphe a écrit:
Alexis a écrit:
Selon Freud, la sexualité humaine est avant tout le résultat du travail psychique du sujet sur la pulsion sexuelle et non pas le développement linéaire d’une biologie sexuelle où pulsion et objet seraient confondus. En effet le désir de l’autre et le choix de la personne sont souvent complexes.

Et donc cela vaut pour l'hétérosexualité.

Donc : "L'hétérosexualité : problème psychique ?"

Sauf que l'un est la norme, l'autre pas. ^^
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MessageSujet: Re: L'homosexualité, problème psychique ?   L'homosexualité, problème psychique ? EmptyVen 27 Juin 2008, 9:17 am

Stans a écrit:
Mais le gaucher que je suis ne revendique rien ! Rolling Eyes

Parce que tu as les mêmes droits que les droitiers : imagine si on t'interdisais certains droits uniquement du fait que tu sois gaucher.

Les homos ne revendiquent rien de plus que d'être considérés comme les hétéros.
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MessageSujet: Re: L'homosexualité, problème psychique ?   L'homosexualité, problème psychique ? EmptyVen 27 Juin 2008, 1:00 pm

Attention ! J'ai 56 ans et je me rappelle qu'il était encore mal vu d'être gaucher dans certains milieux ! Heureusement que j'étais dans une école catholique où le Frère Directeur a dit à mes parents "il ne faut surtout pas l'obliger d'écrire de la main droite" !
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MessageSujet: Re: L'homosexualité, problème psychique ?   L'homosexualité, problème psychique ? EmptyVen 27 Juin 2008, 1:53 pm

Stans a écrit:
Attention ! J'ai 56 ans et je me rappelle qu'il était encore mal vu d'être gaucher dans certains milieux ! Heureusement que j'étais dans une école catholique où le Frère Directeur a dit à mes parents "il ne faut surtout pas l'obliger d'écrire de la main droite" !

Voilà, même combat pour des droits similiaires, ni plus ni moins.
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MessageSujet: Re: L'homosexualité, problème psychique ?   L'homosexualité, problème psychique ? EmptyVen 27 Juin 2008, 6:56 pm

Certes mais mon clergé à moi était compréhensif malgré que cela ce déroulait avant le Concile de Vatican II !!! ange ange ange
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MessageSujet: Re: L'homosexualité, problème psychique ?   L'homosexualité, problème psychique ? EmptyMar 01 Juil 2008, 6:48 pm

Alexis a écrit:
Sylphe a écrit:
Alexis a écrit:
Selon Freud, la sexualité humaine est avant tout le résultat du travail psychique du sujet sur la pulsion sexuelle et non pas le développement linéaire d’une biologie sexuelle où pulsion et objet seraient confondus. En effet le désir de l’autre et le choix de la personne sont souvent complexes.

Et donc cela vaut pour l'hétérosexualité.

Donc : "L'hétérosexualité : problème psychique ?"

Sauf que l'un est la norme, l'autre pas. ^^

Tout comme les droitiers sont la "norme".

D'ailleurs, ça veut dire quoi une "norme" ?
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MessageSujet: Re: L'homosexualité, problème psychique ?   L'homosexualité, problème psychique ? EmptyMar 01 Juil 2008, 7:02 pm

Une norme (du latin norma, équerre, règle) désigne un état habituellement répandu ou moyen considéré le plus souvent comme une règle à suivre.
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MessageSujet: Re: L'homosexualité, problème psychique ?   L'homosexualité, problème psychique ? EmptyMar 01 Juil 2008, 11:04 pm

Alexis a écrit:
Une norme (du latin norma, équerre, règle) désigne un état habituellement répandu ou moyen considéré le plus souvent comme une règle à suivre.

Mais pas toujours. What a Face
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