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| Chants patriotiques [topic unique] | |
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Stans Fondateur
Nombre de messages : 16069 Age : 72 Localisation : Bruxelles - Département de la Dyle Langue : français Emploi/loisirs : histoire, politique Date d'inscription : 10/03/2006
| Sujet: Chants patriotiques [topic unique] Lun 24 Avr 2006, 11:22 am | |
| Source : http://perso.wanadoo.fr/marius.autran/documents_divers/chansons/chants_patriotiques.html | |
| | | Stans Fondateur
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| Sujet: Le Chant des Partisans Mer 26 Juil 2006, 9:42 am | |
| Source : http://www.paroles.net/chansons/12691.htm Le chant des partisans Paroles: Maurice Druon, Joseph Kessel. Musique: Anna Marly, 1943 © Editions Breton Autres interprètes: Anna Marly, Germaine Sablon, Bordas, Yves Montand, Johnny Halliday, Pierre Nougaro, Claude Voincy, Luc Barney, Armand Mestral, Lucien Lupi Note: Textes original en russe d'Anna Marly, puis adapté en français. - Citation :
- Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?
Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ? Ohé, partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme. Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et les larmes.
Montez de la mine, descendez des collines, camarades ! Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades. Ohé, les tueurs à la balle et au couteau, tuez vite ! Ohé, saboteur, attention à ton fardeau: dynamite...
C'est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères. La haine à nos trousses et la faim qui nous pousse, la misère. Il y a des pays où les gens au creux des lits font des rèves. Ici, nous, vois-tu, nous on marche et nous on tue, nous on crève...
Ici chacun sait ce qu'il veut, ce qu'il fait quand il passe. Ami, si tu tombes un ami sort de l'ombre à ta place. Demain du sang noir sèchera au grand soleil sur les routes. Chantez, compagnons, dans la nuit la Liberté nous écoute...
Ami, entends-tu ces cris sourds du pays qu'on enchaîne ? Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ? Oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh... | |
| | | Stans Fondateur
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| Sujet: Le Chant du Départ Mer 26 Juil 2006, 9:51 am | |
| Source : http://ourworld.compuserve.com/homepages/Thierry_Klein/lechante.htm Le Chant du Départ Hymne de guerre paroles de Marie-Joseph Chénier, musique de Méhul - Citation :
- Un député du peuple
La victoire en chantant nous ouvre la barrière ; La liberté guide nos pas, Et du nord au midi la trompette guerrière A sonné l'heure des combats. Tremblez, ennemis de la France, Rois ivres de sang et d'orgueil ! Le peuple souverain s'avance ; Tyrans descendez au cercueil.
La République nous appelle, Sachons vaincre ou sachons périr ; Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir. (bis - les deux derniers vers)
Chant des guerriers
La République nous appelle, Sachons vaincre ou sachons périr ; Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir. (bis - les deux derniers vers)
Une mère de famille
De nos yeux maternels ne craignez pas les larmes : Loin de nous de lâches douleurs ! Nous devons triompher quand vous prenez les armes : C'est aux rois à verser des pleurs. Nous vous avons donné la vie, Guerriers, elle n'est plus à vous ; Tous vos jours sont à la patrie : Elle est votre mère avant nous.
Choeur des mères de famille
La République vous appelle, Sachez vaincre ou sachez périr ; Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir. (bis - les deux derniers vers)
Chant des guerriers
La République nous appelle, Sachons vaincre ou sachons périr ; Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir. (bis - les deux derniers vers)
Deux vieillards
Que le fer paternel arme la main des braves ; Songez à nous au champ de Mars ; Consacrez dans le sang des rois et des esclaves Le fer béni par vos vieillards ; Et, rapportant sous la chaumière Des blessures et des vertus, Venez fermer notre paupière Quand les tyrans ne seront plus.
Choeur des vieillards
La République vous appelle, Sachez vaincre ou sachez périr ; Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir. (bis - les deux derniers vers)
Chant des guerriers
La République nous appelle, Sachons vaincre ou sachons périr ; Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir. (bis - les deux derniers vers)
Un enfant
De Barra, de Viala le sort nous fait envie ; Ils sont morts, mais ils ont vaincu. Le lâche accablé d'ans n'a point connu la vie : Qui meurt pour le peuple a vécu. Vous êtes vaillants, nous le sommes : Guidez-nous contre les tyrans ; Les républicains sont des hommes, Les esclaves sont des enfants.
Choeur des enfants
La République vous appelle, Sachez vaincre ou sachez périr ; Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir. (bis - les deux derniers vers)
Chant des guerriers
La République nous appelle, Sachons vaincre ou sachons périr ; Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir. (bis - les deux derniers vers)
Une épouse
Partez, vaillants époux ; les combats sont vos fêtes ; Partez, modèles des guerriers ; Nous cueillerons des fleurs pour en ceindre vos têtes : Nos mains tresserons vos lauriers. Et, si le temple de mémoire S'ouvrait à vos mânes vainqueurs, Nos voix chanterons votre gloire, Nos flancs porteront vos vengeurs.
Choeur des épouses
La République vous appelle, Sachez vaincre ou sachez périr ; Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir. (bis - les deux derniers vers)
Chant des guerriers
La République nous appelle, Sachons vaincre ou sachons périr ; Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir. (bis - les deux derniers vers)
Une jeune fille
Et nous, soeurs des héros, nous qui de l'hyménée Ignorons les aimables noeuds ; Si, pour s'unir un jour à notre destinée, Les citoyens forment des voeux, Qu'ils reviennent dans nos murailles Beaux de gloire et de liberté, Et que leur sang, dans les batailles, Ait coulé pour l'égalité.
Choeur des jeunes filles
La République vous appelle, Sachez vaincre ou sachez périr ; Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir. (bis - les deux derniers vers)
Chant des guerriers
La République nous appelle, Sachons vaincre ou sachons périr ; Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir. (bis - les deux derniers vers)
Trois guerriers
Sur le fer devant Dieu, nous jurons à nos pères, A nos épouses, à nos soeurs, A nos représentants, à nos fils, à nos mères, D'anéantir les oppresseurs : En tous lieux, dans la nuit profonde, Plongeant l'infâme royauté, Les français donneront au monde Et la paix et la liberté.
Choeur général
La République vous appelle, Sachez vaincre ou sachez périr ; Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir. (bis - les deux derniers vers)
Chant des guerriers
La République nous appelle, Sachons vaincre ou sachons périr ; Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir. (bis - les deux derniers vers) | |
| | | Stans Fondateur
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| Sujet: Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine Mer 26 Juil 2006, 9:57 am | |
| Source : http://perso.orange.fr/marius.autran/documents_divers/chansons/chants_patriotiques.html - Citation :
- Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine
France à bientôt ! Car la sainte espérance Emplit nos coeurs en te disant : adieu, En attendant l'heure de délivrance, Pour l'avenir... Nous allons prier Dieu. Nos monuments où flotte leur bannière Semblent porter le deuil de ton drapeau. France entends-tu la dernière prière De tes enfants couchés dans leur tombeau ?
Refrain
Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine, Et, malgré vous, nous resterons français. Vous avez pu germaniser la plaine, Mais notre coeur vous ne l'aurez jamais.
Eh quoi ! Nos fils quitteraient leur chaumière Et s'en iraient grossir vos régiments ! Pour égorger la France, notre mère, Vous armeriez le bras de ses enfants ! Ah ! Vous pouvez leur confier des armes, C'est contre vous qu'elles leur serviront, Le jour où, las de voir couler nos larmes, Pour nous venger leurs bras se lèveront.
Ah ! Jusqu'au jour où, drapeau tricolore, Tu flotteras sur nos murs exilés, Frères, étouffons la haine qui dévore Et fait bondir nos coeurs inconsolés. Mais le grand jour où la France meurtrie Reformera ses nouveaux bataillons, Au cri sauveur jeté par la patrie, Hommes, enfants, femmes, nous répondrons. | |
| | | Stans Fondateur
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| Sujet: Quand Madelon Mer 26 Juil 2006, 10:27 am | |
| Source : http://www.chanson.udenap.org/paroles/quand_madelon.htm Quand Madelon
1914 Chanson créée par Bach Paroles de Louis Bousquet. - Musique de Camille Robert - Citation :
- Paroles :
Pour le repos, le plaisir du militaire, Il est là-bas à deux pas de la forêt Une maison aux murs tout couverts de lierre Aux vrais poilu c'est le nom du cabaret La servante est jeune et gentille, Légère comme un papillon. Comme son vin son œil pétille, Nous l'appelons la Madelon Nous en rêvons la nuit, nous y pensons le jour, Ce n'est que Madelon mais pour nous c'est l'amour
Refrain :
Quand Madelon vient nous servir à boire Sous la tonnelle on frôle son jupon Et chacun lui raconte une histoire Une histoire à sa façon La Madelon pour nous n'est pas sévère Quand on lui prend la taille ou le menton Elle rit, c'est tout le mal qu'elle sait faire Madelon, Madelon, Madelon !
Nous avons tous au pays une payse Qui nous attend et que l'on épousera Mais elle est loin, bien trop loin pour qu'on lui dise Ce qu'on fera quand la classe rentrera En comptant les jours on soupire Et quand le temps nous semble long Tout ce qu'on ne peut pas lui dire On va le dire à Madelon On l'embrasse dans les coins. Elle dit : «Veux-tu finir...» On s'figure que c'est l'autre, ça nous fait bien plaisir.
[Au refrain]
Un caporal en képi de fantaisie S'en fut trouver Madelon un beau matin Et, fou d'amour, lui dit qu'elle était jolie Et qu'il venait pour lui demander sa main La Madelon, pas bête, en somme, Lui répondit en souriant : «Et pourquoi prendrais-je un seul homme Quand j'aime tout un régiment ? Tes amis vont venir. Tu n'auras pas ma main J'en ai bien trop besoin pour leur verser du vin.»
[Au refrain] | |
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| Sujet: Le Régiment de Sambre et Meuse Mer 26 Juil 2006, 10:31 am | |
| Source : http://bmarcore.club.fr/mil/mil139.html Le Régiment de Sambre et Meuse
Robert Planquette (1879)
Incontournable marche militaire des défilés d'aujourd'hui, l'air de cette chanson est dans toutes les oreilles. L'auteur évoque les armées révolutionnaires de 1792 qui défendaient la nation dans les plaines de Belgique. "Nus, mal nourris; vous n'avez ni souliers, ni habits, ni chemises, presque pas de pains..." comme dira un peu plus tard le général Bonaparte. L'auteur s'inspire de ces paroles restées célèbres, et l'image ainsi idéalisée de ces soldats avait de quoi réchauffer le cœur des français, encore traumatisés par une défaite toute fraîche dans les mémoires... Il ne semble pas que le régiment de Sambre et Meuse se soit distingué particulièrement pendant la Révolution, et les faits qui sont évoqués dans la chanson ne reposent pas sur des événements historiques. - Citation :
- Tous ces fiers enfants de la Gaule
Allaient sans trêve et sans repos Avec leurs fusils sur l'épaule, Courage au coeur et sac au dos ! La gloire était leur nourriture, Ils étaient sans pain, sans souliers, La nuit ils couchaient à la dure Avec leurs sacs pour oreiller.
Refrain:
Le régiment de Sambre et Meuse Marchait toujours au cris de Liberté Cherchant la route glorieuse Qui l'a conduit à l'immortalité.
Pour nous battre, ils étaient cent mille A leur tête, ils avaient des rois ! Le général, vieillard débile Faiblit pour la première fois Voyant certaine la défaite Il réunit tous ces soldats Puis il faut battre la retraite Mais eux ne l'écoutèrent pas.
Le choc fut semblable à la foudre Ce fut un combat de géant Ivres de gloire, ivres de poudre Pour mourir, ils serraient les rangs ! Le régiment par la mitraille Était assailli de partout, Pourtant, la vivante muraille Impassible, restait debout.
Le nombre eut raison du courage Un soldat restait - le dernier ! Il se défendit avec rage Mais bientôt fut fait prisonnier. En voyant ce héros farouche L'ennemi pleura sur son sort Le héros prit une cartouche Jura, puis se donna la mort !
Dernier refrain
Le régiment de Sambre et Meuse Reçut la mort au cri de liberté Mais son histoire glorieuse Lui donne le droit à l'immortalité ! | |
| | | Stans Fondateur
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| Sujet: Le Temps des Cerises Sam 23 Sep 2006, 3:06 pm | |
| Source : http://drapeaurouge.free.fr/cerises.html La Commune de Paris Le Temps des Cerises Cette chanson de Jean-Baptiste Clément et Antoine Renard, antérieure à la Commune (1866-1868), n'est pas un chant révolutionnaire, mais une chansonnette d'amour. Pourtant, elle deviendra, après le massacre des Communards, le symbole de la Commune et des immenses espoirs qu'elle avait engendrés. - Citation :
Quand nous en serons au temps des cerises Et gai rossignol et merle moqueur Seront tous en fête Les belles auront la folie en tête Et les amoureux du soleil au cœur. Quand nous en serons au temps des cerises Sifflera bien mieux le merle moqueur.
Mais il est bien court le temps des cerises Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant Des pendants d'oreilles Cerises d'amour aux robes pareilles Tombant sous la feuille en gouttes de sang. Mais il est bien court le temps des cerises Pendants de corail qu'on cueille en rêvant.
Quand vous en serez au temps des cerises Si vous avez peur des chagrins d'amour Evitez les belles Moi qui ne crains pas les peines cruelles Je ne vivrai pas sans souffrir un jour. Quand vous en serez au temps des cerises Vous aurez aussi des chagrins d'amour.
J'aimerai toujours le temps des cerises C'est de ce temps là que je garde au cœur Une plaie ouverte Et dame Fortune en m'étant offerte Ne saura jamais calmer ma douleur. J'aimerai toujours le temps des cerises Et le souvenir que je garde au cœur. | |
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