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| La chronique du lundi 25 janvier:L’affligeante vie du vide intellectuel et du superficialisme de notre société | |
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aigle gouvernant Membre d'élite
Nombre de messages : 747 Age : 67 Localisation : gand (belgique) Langue : français ,nl,anglais,allemand Emploi/loisirs : pensionné ,multiples Date d'inscription : 22/11/2020
| Sujet: La chronique du lundi 25 janvier:L’affligeante vie du vide intellectuel et du superficialisme de notre société Sam 23 Jan 2021, 5:47 am | |
| L’affligeante vie du vide intellectuel et du superficialisme de notre société Bonjour à toutes et tous ,lundi 25 janvier 2021 , une chronique atypique pour débuter cette nouvelle semaine de covid 19 , quand nous rencontrons au quotidien ,des personnes par le hasard de la vie et des circonstances , je suis souvent héberlué par le vide intellectuel et la superficialité des choses de la vie de ces personnes , ne s’intéressant à rien d’autres que paraître , et dont le soucis constant est le physique ,le moi-je comme toute et simple expression . Quelle pitié de vivre ainsi , et quel vide relationnel de pensées , et que dés un sujet abordé plus ou moins temporel ,d’actualité laisse un vide de discussion catastrophique . Mais le comble de cette façon d’exister , c’est que le relationnel avec d’autres ,comme des amis ne désemplit pas , cela restera pour moi , une énigme toute ma vie , car qui dit inculte à la culture ,dit un ennui abyssal et le baillement de la personne confrontée à de tels personnages . Car il s’agit bien de superficialisme mais surtout plus grave de désintérêt des autres total ,ces personnes qui vivent déconnectés totalement des autres et de la société , et ne suivant rien de l’actualité , de quoi peuvent-ils parler ? C’est une réflexion que je me fais tous les jours . Et pourtant ,et pourtant , ces personnes ont des amis ,se soucient de mode ,pour toujours paraître , et en cette période ou les salons de coiffures sont fermés sont très préoccupées par leurs coiffures . Ils ont des amis ,réguliers et nombreux et probalement aussi superficiels qu’eux d’ou cette fidélité à un ennui commun et ceci sans rapports avec l’existencialisme des années 50 de boris vian , car ils ne se rendent même pas compte de l’ennui de leurs vies et de l’isolement dans lequel ils se placent . Et pourtant ces mêmes personnes transgressent les mesures élémentaires de sécurité sanitaire ,puisque elles organisent dans l’anonymat des réunions entre amis du même acabit qu’elles-mêmes ! C’est le grand danger de notre société ,ou l’individualisme ,le chacun pour soi est le modèle et d’autant plus avec le confinement ,car que nous reste-t-il comme contact social , inexistant , seul lieu le supermarché ou nous faisons les courses ,mais derrière un masque , le sourire a disparu ,les langues se délient , et pourtant un mouvement contraire se dessine ,la solidarité ,la volonté du contact des autres , l’ouverture et l’écoute des autres à l’opposé de ces gens superficiels ou le seul centre d’intérêt est le moi-je . Alors on pourrait nous traiter de caricaturistes ,d’élitistes ,d’ennuyeux parce qu’intellectuel, non car au contraire en ayant de la culture on est ouvert au monde , on peut aborder différents centres d’intérêts ,et puis ne l’oublions jamais ,l’intellectuel , ne connaît pas tout ,c’est impossible ,nous apprenons tous les jours . Et in fine , le grand danger à une autre dimension , c’est la direction d’un pays comme les États-Unis d\'Amérique par ce que l’on peut appeler poliment un crétin sans aucunes cultures , superficiel à l’image de son épouse dont le cerveau est réduit à l’état de petit pois ,tant l’on sent le vide intellectuel et le paraître pour toute autre source d’intérêt dans la vie . Plus d’un quart des entreprises wallonnes sont au bord de la faillite ! Deux experts mettent en garde contre l’augmentation des cas de variants: «Ce pourcentage augmente constamment»Deux experts mettent en garde contre l’augmentation des cas de variants: «Ce pourcentage augmente constamment»Le professeur de microbiologie Herman Goossens (UAntwerp) met en garde sur Twitter contre une augmentation inquiétante du nombre d’infections par la variante britannique. « Nous ne savons toujours pas ce qui se passe : si nous n’agissons pas rapidement, une nouvelle pandémie avec cette variante britannique est imminente », a déclaré M. Goossens à Belga. Il demande donc une fois de plus que les mesures soient strictement respectées.« En Angleterre, cette nouvelle variante s’est répandue en octobre et novembre, mais les gens ne s’en sont pas rendu compte. A cause des relâchements pendant la période de Noël, ils y ont vu une énorme explosion », a déclaré Goossens. « Ce n’est pas que cette variante remplace le virus ‘classique’, mais elle vient s’y ajouter. Et c’est très problématique ».Emmanuel André partage ces inquiétudes. Sur Twitter également, il montre que le nombre de cas du variant est en augmentation en Belgique : « Hier, sur les 8 laboratoires de la plateforme fédérale, 17 % (124/823) des patients avec un test PCR positif avaient un résultat compatible avec un variant. Ces résultats sont examinés plus avant pour confirmation. Ce pourcentage augmente constamment », alerte l’expert.Trouver un stage en période de crise sanitaire, la mission impossible de certains élèves: "Ça fait peur"La période actuelle est très compliquée pour les élèves qui sont en formation "pratique", et qui ont bien du mal à trouver des stages. Pour les apprentis coiffeurs, ils sont impossibles, puisque les salons sont fermés. Et dans d'autres domaines, c'est souvent le travail qui manque dans les ateliers qui peuvent les accueillir."On essaye de garder le moral parce que malgré tout, il faudra bien que ça rouvre un jour", témoigne Sheridan. Une première année difficile pour les apprenti coiffeuses à Gilly (Charleroi). Normalement, dans le cadre de leur formation, elles doivent se rendre trois jours par semaine dans un salon de coiffure. Sauf qu’ils sont tous fermés. "On est plus motivés en salon qu’à l’école. Sur les têtes postiches, c’est pas le top", raconte Alicia. "Ça fait peur. Comparé aux autres, on aura peut-être moins d’expérience. Et puis, pour la fin d’année, on se pose des questions pour les examens. On ne sait pas si on va réussir parce qu’on n'aura pas assez de bases", confie Stéphanie. Si les formateurs tentent d’encadrer au mieux les jeunes, ils avouent que rien ne remplace le travail en entreprise. "Il faut qu’elles aient le contact avec le client, c’est important. Il faut qu’elles aient le contact avec le patron et là c’est vrai qu'il y a un manque", estime Muriel Lucaselli, formatrice en coiffure. "C’est quand même un peu une forme désarroi chez certains patrons qui sont inquiets pour leur propre avenir et qui sont inquiets sur la façon dont ils vont pouvoir transmettre leur métier. Puisque prendre un stagiaire, c’est d’abord aimer transmettre son métier", raconte Georges Dubois, directeur du centre de formation. D’autres secteurs ne sont pas à l’arrêt. Et pourtant, les stages restent difficiles à trouver. C’est le cas par exemple en carrosserie. "Peut-être à cause de la peur de prendre quelqu’un, ne sachant pas s’il va avoir le Covid ou s’il l’eu, ou s’il l’aura… je ne sais pas. Franchement. En tout cas, ils ont du mal à trouver", déclare William Biffarella, formateur en carrosserie. Et pour ceux qui ont un lieu de stage depuis maintenant plusieurs années, la crise sanitaire ne facilite pas les choses. La quantité de travail a fortement diminué. Et des règles strictes régissent le quotidien. "C’est vrai que c’est un peu dur. Ça devient dur moralement, confie Diego. On doit porter un masque et dès qu’on touche un outil on doit le nettoyer, dégraisser avec de l’alcool. Ça devient un peu long".Outre les stages, d’autres craintes subsistent, celle de trouver un emploi dans le contexte actuel. Le seul inspecteur de langues dans l’enseignement fondamental francophone ne maîtrise pas le néerlandaisUne meilleure connaissance des langues est l’une des priorités du gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, qui s’est engagé à initier, dès sa première année de législature, une grande consultation sur l’opportunité de choisir l’une des deux autres langues nationales, le néerlandais ou l’allemand, comme deuxième langue.La Déclaration de Politique Communautaire prévoit l’ouverture de ce chantier dans le cadre de l’entrée en vigueur du tronc commun, qui prévoit l’apprentissage d’une première langue “étrangère” dès la troisième primaire.Pourtant, aujourd’hui, le seul inspecteur francophone de l’enseignement fondamental (maternel et primaire)... ne maîtrise pas le néerlandais, révèle La Libre Belgique.“Dans le cadre d’une demande d’évaluation pédagogique d’un membre du personnel ou d’un suivi de plaintes concernant un enseignant en néerlandais ou dans une école en immersion néerlandaise, il me semble qu’aucun suivi sérieux ne peut être assuré étant donné que l’inspecteur subsistant ne maîtrise pas cette langue”, déplore la députée cdH Marie-Martine Schyns.La ministre Caroline Désir confirme la situation mais ne la juge pas forcément problématique, précisant qu’en cas de besoin, cette mission pouvait éventuellement être confiée à un membre du Service de l’inspection chargé des langues germaniques en secondaire. Schyns persiste, elle, à juger la situation “problématique”.Heureusement que la Ministre Désir ,ne la juge pas problématique ! Et nous flamands ,nous allons parler uniquement en néerlandais , d’ailleurs pourquoi est-ce toujours nous qui devons faire l’effort de le parler (le français) alors que clairement le politique dont Madame désir n’en parle pas un traître mot de notre langue , en flandre 90 % de la population est minimum bilingue (f et nl) et si pas trilingue avec l’anglais en + , en Wallonie on est très loin du compte ! Quand aux remarques de Madame Schyns qui a été plaçée dans l’opposition suite aux dernières élections désastreuses de son parti ,elle a des trous de mémoires ,jugez plutôt:Elle qui a été Ministre de l’éducation avant désir et qui n’a rien fait de mieux lors de son passage à ce poste ! Connaissez-vous Marie-Martine Schyns ? Elle est belge, ministre de l’Éducation de la communauté française. C’est une jolie trentenaire issue de la démocratie chrétienne, et c’est assez logiquement qu’elle marque une prédilection pour la Val-Dieu, une bière d’abbaye qui titre entre 6 et 9 degrés. Le problème est qu’elle vient, pour la seconde fois en dix mois, d’être contrôlée positive au volant, avec un taux trois fois supérieur à celui autorisé.Elle a fait amende honorable, d’autant plus qu’une de ses missions est la prévention de l’alcoolisme chez les jeunes et que son second contrôle a eu lieu lors d’une opération « Week-end sans alcool », ce qui la fiche mal : « C’est d’autant plus grave si l’on considère les fonctions que j’occupe, et je présente mes excuses les plus sincères. »Bonne journée à toutes et tous dans ce monde absurde ! Belg
L entin!Erwin vandendaele de ledebergRejoignez-nous sur FORUM FRANCOPHONE (bbactif.com)Professeur universitaire honoraireEre -universiteitsprofessorSciences politiques et économiquesPolietike en economische wetenschapMouvement progressiste politico-économique du cercle des lumières (héritier du siécle des lumières)Progressieve politiek-economische beweging cirkel van lichtenChroniqueur attitré et analyste politico-économique pointuColumnist en analist van economisch en polietiek99.982 lecteurs attendus aujourd’hui 99.982 lezersbekennen vandaag | |
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