La chronique du vendredi 13 mars 2021 : les mentalités disparates des générations

La chronique du vendredi 13 mars 2021 : les mentalités disparates des générations

Le cercle des lumières Wallonie et Flandre (héritier du siècle des lumières )
Comité de rédaction : Erwin Vandendaele de Ledeberg (c/o Président )
Inge Van Overschoot ( Voorziter vlaanderen)
Harald von Steffenhagen : rédacteur germanophone cantons de l’est
Eleonore Dupuis : ( France )
Will Gevers : documentaliste et layout


Bonjour à toutes et tous , vendredi 13 mars , déjà presque la moitié du mois de passé , que le temps passe et enfin pour ouvrir cette chronique,une bonne nouvelle, les avancées de la science et une pilule pour remplacer les vaccins anti covid ! Ce pari un peu fou et pourtant parfaitement logique d'un point de vue scientifique a été relevé par une équipe de chercheurs de l'Institut des sciences biomédicales de l'Université américaine de l'État de Géorgie, qui travaille sur un antiviral, le Molnupiravir, dont le nom scientifique est MK-4482/EIDD-2801. Mais aussi , Le géant pharmaceutique Merck et un laboratoire américain ont annoncé des progrès samedi dans la conception d'un médicament administré par voie orale contre la Covid-19: leur antiviral en cours de test a eu des effets positifs dans la réduction de la charge virale. Voilà non pas une , mais 2 bonnes nouvelles !

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Le sujet du jour de la chronique , les mentalités différentes des générations et les valeurs !
Alors que 4 générations précédentes plus haut dans le temps ,les valeurs de notre société occidentale était basée sur le socle indéboulonnable du pater dei pour ce qui est de la direction, des décisions familiales , du respect des valeurs venues des origines , et de la composante mater dei pour ce qui est de l’importance dans l’ombre de celle-ci vis à vis des patriarches , mais surtout des enfants , les années 30 avait pourtant marqué le mouvement des suffragettes venu d’Angleterre , mais celui-ci ne modifiat pas du moins dans nos contrées de profondes modifications , jusqu’à fin des années 60 , le prétendant au mariage allait faire une demande solennelle aux parents de la promise , et si la première fut infructueuse , elle était suivie de 2 autres , au bout de 3 , et sans succès , le prétendant partait à l’insu des parents de la promise avec celle-ci se marier , fin des années 60 avec Woodstock et l’émancipation des mœurs , l’amour libre à la hippie , la femme eut enfin à l’accès d’un compte en banque , eut enfin accès à décider ,elle aussi à voter aux élections et pourtant dans le miroir sociétal , le patriarche restait le maître du jeu , depuis fin 80 , plus de demandes respectueuses , plus de contraintes , les relations hors mariages occidentales , mariages de moins en moins , ces traditions s’effritant avec la modernité du temps , le prétendant avec l’accord de la femme convoitée se met en ménage ,sans passer par le père patriarche , ce n’est qu’après et malgré une majeure situation (18 ans) , que la fille devenue femme et après ses études universitaires du moins la mienne , revient au cocon paternel ou maternel , suivant que les parents sont toujours ensembles ou divorcés .
L’évolution des mœurs est considérable et toutes les valeurs qui formaient le socle familial en ont été fort transformées .Telle est l’évolution Des mœurs sociétaux .

Bon weekend à toutes et tous !

Erwin Vandendaele de Ledeberg