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| L’anglais facile : réalité ou mythe ? | |
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Stans Fondateur
Nombre de messages : 16069 Age : 72 Localisation : Bruxelles - Département de la Dyle Langue : français Emploi/loisirs : histoire, politique Date d'inscription : 10/03/2006
| Sujet: L’anglais facile : réalité ou mythe ? Ven 09 Nov 2007, 10:29 pm | |
| Source : http://ww.agoravox.fr/article.php3?id_article=18980 - Citation :
- L’anglais facile : réalité ou mythe ?
Qui n’a entendu, à l’école ou dans les médias, le cliché de "l’anglais facile"? Du cliché à la propagande, il n’y a qu’un pas... Remarquons tout d’abord que si cette facilité était réelle, les professeurs n’auraient nul besoin de le répéter sans cesse! De même, il y a longtemps que les conférences internationales et les congrès scientifiques n’utiliseraient plus ni traducteurs ni interprètes; or, leur nombre est sans cesse croissant, notamment dans l’Union européenne (UE).
1. Rappelons-en les principales difficultés :- La principale est sa phonétique irrationnelle. L’absence de règle pour l’accent tonique implique que la prononciation de chaque mot doit être apprise séparément ! Cela rend la lecture peu efficace pour progresser, et une immersion linguistique prolongée devient indispensable pour acquérir un bon niveau.
L’orthographe est difficile. Impossible de déduire la prononciation d’un mot à sa lecture.
Les tournures idiomatiques sont innombrables (comme "Eastern Europe" et "East Africa").
Un cliché fréquent dit que oui, la phonétique n’est peut-être pas commode, mais que ce serait compensé par une grammaire facile, car quelques verbes simples et courts sont très utilisés. En fait, cela ne facilite rien : en s’associant à une trentaine de particules, les dix verbes les plus fréquents de l’anglais (be, come, go, run, take, etc.) forment 13 000 des verbes les plus courants de cette langue ! Bien malin qui s’y retrouve. Et il existe 283 verbes irréguliers.
De nombreuses relations grammaticales ne sont pas exprimées, aboutissant à de faciles confusions pour les étrangers. L’anglais est donc flou, ce que les professeurs qualifient poétiquement de "langue contextuelle", c’est-à-dire qu’il faut parfois toute la phrase pour comprendre le sens, et que souvent des gens pensant avoir un niveau correct ne remarquent pas telle ou telle ambiguïté : par exemple le titre intitulé "Short Breathing Exercises", qui peut se traduire par "brefs exercices de respiration" ou par "exercices de respiration brève".
Le vocabulaire anglais est très riche du fait de sa double origine latine et germanique, ce qui aboutit souvent à des doublons (liberty/freedom). Il n’est pas rare qu’une seule de ces formes soit la bonne dans telle ou telle expression. Homonymies et polysémies sont très nombreuses. Cette richesse n’est qu’apparente car elle n’apporte rien au sens mais augmente grandement la difficulté.
Le fait de baigner dans les chansons anglophones depuis l’enfance, la non-traduction des titres de films, ainsi que le nombre croissant d’anglicismes dans certains milieux - médias, mode, journalisme ou revues "people", monde du spectacle, économie, politique, sciences - nous donne une fausse impression de familiarité avec la langue, et nous fait surestimer notre niveau.2. Rendons grâce aux esprits lucides : nombre de linguistes, de polyglottes et de pédagogues l’avaient déjà écrit, mais la pression de l’économie, du politique et du dogmatisme est si forte que de tels avis sont étouffés.
Citons Claude Hagège, par exemple, qui dans un entretien au Figaro, déclarait :
(Propos recueillis par Marie-Laure Germon, 30 juin 2004)
"- Pourtant, vous avez plusieurs fois dit et écrit que l’anglais était tout sauf facile à maîtriser...
La réputation de facilité de l’anglais est totalement absurde. Winston Churchill remarquait avec esprit que l’anglais était certainement la langue la plus facile à parler mal. Seulement, les entreprises françaises vivent dans l’illusion que l’anglais fait vendre, et sa « maîtrise » est donc devenue le préalable à la tenue de n’importe quelle réunion scientifique ou projet à visée extra-nationale."
Ou encore, un site québécois sur les mensonges de l’anglais.
Ces sites étant très détaillés, je ne citerai qu’un seul exemple, tiré d’un article linguistique et humoristique de Claude Piron, "Vraiment masos, ces Terriens !"
Des millions de gens prononcent le A de la même façon, même dans des langues d’alphabets différents comme le grec ou le russe. Mais en anglais, non :
"(...) ici, l’Angleterre - la même lettre a rarement cette prononciation pourtant universelle, elle correspond à toute une gamme de sons différents. Regardez ces mots écrits et écoutez comment je les prononce : bad, all, father, courage, face. Quelque chose entre "a" et "è", "o", "â", une sorte de "i", "éy"."
Ou le témoignage d’un interprète sur les congrès médicaux :
« L’anglais parlé par un Indonésien est-il, dès la première seconde, compréhensible pour le Brésilien qui se dit anglophone ? Permettez-moi d’en douter. J’ai écrit, ailleurs, qu’au cours de congrès médicaux internationaux, l’anglais parlé par des orateurs français était souvent totalement inintelligible pour les participants australiens, néo-zélandais ou pakistanais, parce qu’il n’y avait pas un seul, je dis bien un seul, accent tonique qui fût correctement placé. Alors, que dire des malheureux Japonais, Suédois et autres Mexicains dont la langue maternelle n’est pas l’anglais ! Les seuls membres de l’auditoire qui le comprenaient étaient les autres Français dans la salle. »
3. Rappelons que la GB a un nombre d’enfants dyslexiques élevé, et sa phonétique aberrante n’y est certainement pas pour rien.
Le français a 35 phonèmes (les sons), l’anglais 46. Mais ces sons peuvent être écrits de différentes façons (o, eau, aux, au, haut, etc.) : le français a 190 graphèmes, l’anglais 1120 !
Le taux de dyslexie est nettement plus élevé en Angleterre qu’en France, et inexistant en Italie, ou plutôt, comme ce nombre est très faible, il n’est pas réellement dépisté.
(Article paru dans Science : Jean-François Démonet de l’unité Inserm [Institut national la santé et de la recherche médicale] de l’Hôpital Purpan de Toulouse a mené la partie française de l’étude. Le reste de l’équipe est composé de scientifiques italiens, anglais, canadiens.)
Bien que ce sujet soit peu exploré et que les causes de la dyslexie soient probablement multifactorielles, il est clair qu’il y a un lien entre la phonétique plus ou moins difficile de la langue et la dyslexie.
En France, les enseignants estiment qu’on apprend à lire au CP, en un an.
En Angleterre, les enseignants estiment ce temps d’apprentissage de la lecture à trois années.
Dans les langues avec moins de graphèmes, quelques mois suffisent pour passer de l’alphabet aux syllabes et à la lecture : finnois, polonais, tchèque, russe, indonésien...4. Enfin, la France vient de reconnaître officiellement que l’anglais était une langue difficile !
Comment ?
Eh bien, par la voix du ministère de l’Education nationale et du Bulletin officiel (BO) sur l’enseignement de l’anglais :
BO n°6, 25 août 2005, programme des collèges LV anglais.
"L’anglais est en effet, contrairement aux idées reçues, une langue difficile pour les francophones, en particulier à l’oral.(...)
IV Phonologie
"... en effet, la segmentation syllabique de la chaîne parlée française s’oppose au caractère accentuel de la chaîne parlée anglaise, dans laquelle les phénomènes de réduction peuvent poser des problèmes de compréhension." (...)
" Le schéma accentuel du mot est immuable et doit à ce titre être appris pour chaque mot nouveau. Un accent mal placé peut déformer totalement un message, voire le rendre inintelligible."
Les pédagogues de l’Education nationale confirment donc, en pédagol, surnom du langage de la didactique, la phonétique chaotique de l’anglais et ses conséquences sur l’apprentissage.Conclusion : chaque fois qu’un journal ou qu’un enseignant répètera le cliché de « l’anglais facile », rappelons-lui, poliment mais fermement, qu’il s’agit au mieux d’une erreur, au pire de pur « lobbying » ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L’anglais facile : réalité ou mythe ? Sam 10 Nov 2007, 12:00 am | |
| Réponse à Stans [remis mon pseudo car vix a enfreint les règles élémentaires du forum en divulgant ma véritable identité et utilise le forum dans le seul but d'en utiliser sa MP pour son usage particulier et pour dénigrer la langue française au lieu d'argumenter en public ! Le webmestre] :
le cliché de "l’anglais facile"? Vix: Exact. Je suis professeur d'anglais avec des personnes entre 17 et 75 ans.
principales difficultés :- La principale est sa phonétique irrationnelle. Vix: Exact. Mais beaucoup moins que le français. (Très souvent, on trouve les cas suivants en français: 1 son - 4 lettres, 8 lettres pour 4 sons, etc. Imbattable en Europe!)
L’absence de règle pour l’accent tonique implique que la prononciation de chaque mot doit être apprise séparément ! Vix: Dommage, c'était bien parti. Il faut étudier la phonologie anglaise pour s'apercevoir qu'il y a des règles bien strictes, proches du néerlandais et de l'allemand.
Cela rend la lecture peu efficace pour progresser, Vix: Dommage également. Quand une personne a vu le mot écrit lors d'une compréhension, sa mémorisation orthographique est une aide précieuse pour les compréhensions ultérieures.
et une immersion linguistique prolongée devient indispensable pour acquérir un bon niveau. Vix: Comme avec toute autre langue.
L’orthographe est difficile. Impossible de déduire la prononciation d’un mot à sa lecture. Vix: Ce n'est encore rien à côté du français (monsieur; -eu- dans gageure, heure, peu; ...)
Les tournures idiomatiques sont innombrables (comme "Eastern Europe" et "East Africa"). Vix: Exact. Pas facile.
en s’associant à une trentaine de particules, les dix verbes les plus fréquents de l’anglais (be, come, go, run, take, etc.) forment 13 000 des verbes les plus courants de cette langue ! Bien malin qui s’y retrouve. Et il existe 283 verbes irréguliers.
Vix: Hum! Il ne faut oublier ceci: (J.M. Jacques, Pensez Europe 93: parlez esperanto, Revue de l’ organ. des études, 10, déc. 1990 ) “Ainsi, /en seranto / 12 terminaisons verbales suffisent à exprimer toutes les nuances du présent, du passé et du futur. Quelle différence avec la langue russe qui en a 157, l’ allemand 364, l’ anglais 652 et le français qui bat le record avec 2265 (sauf erreur ou omissions).” (p.39) Ceci fait un paquet indigérable de formes verbales irrégulières en français...
De nombreuses relations grammaticales ne sont pas exprimées, aboutissant à de faciles confusions pour les étrangers. L’anglais est donc flou, ce que les professeurs qualifient poétiquement de "langue contextuelle", (...) Vix: En français: un soirée dansante (= une soirée qui danse), un prêt-à-porter (= un prêt à être porté), ...
Le vocabulaire anglais est très riche du fait de sa double origine latine et germanique, ce qui aboutit souvent à des doublons (liberty/freedom). Vix: Comme ses soeurs germaniques (mais aussi l'italien, le portugais et l'espagnol, sans oublier le wallon), il est surtout très riche grâce à sa plasticité dans le jeu des dérivations, de l'utilisation des suffixes.
Homonymies et polysémies sont très nombreuses. Vix: Le français détient le pompon dans le domaine.
Cette richesse n’est qu’apparente car elle n’apporte rien au sens mais augmente grandement la difficulté. Vx: Il est exact qu'homonymie et polysémie sont des marques de pauvreté. Les jeux de mots sont assez facilesà créer en français du fait de cette pauvreté!
Le fait de baigner dans les chansons anglophones depuis l’enfance, la non-traduction des titres de films, ainsi que le nombre croissant d’anglicismes dans certains milieux - médias, mode, journalisme ou revues "people", monde du spectacle, économie, politique, sciences - nous donne une fausse impression de familiarité avec la langue, et nous fait surestimer notre niveau. Vix: Tiens, mes étudiants néerlandophones qui cotoient leurs condisciples francophones dans les mêmes cours d'anglais ont grâce à cette ouverture une longueur d'avance ... que le francophone ne pourra malheureusement JAMAIS rattraper. (Ceci n'est pas fait pour me réjouir , l'hermétisme français copié par les collabos en Belgique, est responsable du retard des Wallons!)
Rendons grâce aux esprits lucides : nombre de linguistes, de polyglottes et de pédagogues l’avaient déjà écrit, mais la pression de l’économie, du politique et du dogmatisme est si forte que de tels avis sont étouffés. Vix: Des polyglottes ont tout de même comparé l'anglais au français. Que ceux qui apprennent l'anglais se rassurent...
Citons Claude Hagège, par exemple, qui dans un entretien au Figaro, déclarait : Vix: Hagège est un Français chauvin et pédant, qu se déclare polyglotte, mais que l'on n'a jamais entendu parler dans aucune autre langue que le français! Voyons un peu:
(Propos recueillis par Marie-Laure Germon, 30 juin 2004) La réputation de facilité de l’anglais est totalement absurde. (...) Seulement, les entreprises françaises vivent dans l’illusion (sic) que l’anglais fait vendre, Vix: Hagège aura fait rire tous les grands chefs d'entreprise français!
Ou encore, un site québécois sur les mensonges de l’anglais. article linguistique et humoristique de Claude Piron, Vix: Claude Piron, connu pour sa frustration de voir le français décliner dans le monde et qui s'est rabattu sur l'esperanto (très pro-occidental). Voyons:
Des millions de gens prononcent le A de la même façon, même dans des langues d’alphabets différents comme le grec ou le russe. Mais en anglais, non : (...) = 5 Vix: Et en français alors! A = /a/; fait partie de 'an', de 'ai', ' au', 'am' (chambre), 'aen' (caen), 'aon' (Laon), ... où il part sa prononciation de base.
Ou le témoignage d’un interprète sur les congrès médicaux : « L’anglais parlé par un Indonésien est-il, dès la première seconde, compréhensible pour le Brésilien qui se dit anglophone ? (...) Vix: Les cancérologues que je connais à Mont-Godinne vont bien rigoler du petit Piron!
Rappelons que la GB a un nombre d’enfants dyslexiques élevé, et sa phonétique aberrante n’y est certainement pas pour rien. Vix: Exact. Mais regardons aussi et sutout du côté français...
Le français a 35 phonèmes (les sons), l’anglais 46. Mais ces sons peuvent être écrits de différentes façons (o, eau, aux, au, haut, etc.) : le français a 190 (sic) graphèmes, l’anglais 1120 (sic) ! Vix: Où sont ces exemples? En attendant ceci: Albert Doppagne, 3 aspects du français contemporain, ...(p.10) "Mon regretté maître Antoine Grégoire avait dénombré, par exemple, quarante-six façons de transcrire en français le simple son ô (o, ô, os, oh, au, aux, eau, haut, hauts, ao, aô, aut, ot, ots, ôt, ôts, ault, auld, etc.). Et il n'y a rien d'exceptionnel dans notre système, vous pouvez trouver plus de façons encore pour écrire le son 'an', que vous entendez deux fois dans le mot enfant." (Ceci ne fait que 2 sons en français et déjà plus de ... 92 graphèmes! Restent ... 33 phonèmes à analyser ( 'on', ...; 'oi', ...; ...))
Le taux de dyslexie est nettement plus élevé en Angleterre qu’en France, (...). Vix: A démontrer car: (FRANCE 3 - 20.50, Des racines et des ailes, VA 7/4/99) Entre 10 et 20 % des Français ... pourtant passés par l’école, sont incapables de lire et comprendre un texte simple.
Dans les langues avec moins de graphèmes, quelques mois suffisent pour passer de l’alphabet aux syllabes et à la lecture : finnois, polonais, tchèque, russe, indonésien...4. Vix: Sans oublier le néerlandais.
Enfin, la France vient de reconnaître officiellement que l’anglais était une langue difficile ! Vix: Evidemment. Elle ne 'blaire' pas l'anglais!
On peut ajouter ceci: 1) WOLFF, P., Les origines de l' Europe occidentale, 1970 , p.17“ Le vocabulaire de la langue anglaise est plus riche que celui de la langue française: 240.000 mots en anglais pour 93.000 en français'."“Cette richesse vient aussi d' une plus ou moins grande aptitude à assimiler des mots étrangers . Ces créations lexicales sont sans doute l' un des aspects les plus superficiels d’une langue .Cependant, la richesse lexicale, la finesse plus ou moins grande de l’analyse correspondent à des tendances psychiques profondes ."
2) Thierry Goorden, Cadres bilingues: une nécessité ou un impératif?, in: Intermédiaire, 19, 16/5/88, p.11.“(...) Jean-Pierre Van Binnebeek, responsable du centre de formation en langue et communication de la Générale de Banque, préfère attirer l’attention sur la différence qui existe dans la fréquence du langage entre le français et le néerlandais. Le spectre de fréquence du flamand (sic) étant plus large, le néerlandophone capterait plus facilement les langues étrangères. Par contre, l’ étroitesse du spectre du français expliquerait, selon lui, que l’ enfant francophone éprouve , dès l’apprentissage de sa langue maternelle, davantage de difficultés à capter des sons qui lui sont encore inconnus.”
3) "Lorsqu' on aborde le chapitre du lexique, la position du français n' apparaît plus sous un jour favorable: le français est une langue où chaque mot doit être appris à part: méchanceté ne saurait être retrouvé à partie de méchant, non plus qu' amertume à partir d' amer, comme on forme sans difficulté en anglais, badness, naughtiness et bitterness, à partir de bad, naughty et bitter . ...Là où l' allemand dérive de blind "aveugle", un substantif B1indheit, le françaisd' aujourd' hui présente le latinisant cécité . ... Pour l' Ita1ien, qui dit cicco pour "aveugle", le substantif cecità apparait comme un dérivé naturel, car il y a moins de disparité qu' en français entre la forme "popu1aire"et la forme "savante" . L' anglais , qui dérive simplement blindness à partir de blind ne se prive pas d' emprunter largement, com,mme le français, aux langues classiques et connaît le terme coecum . Mais il n' a pas abandonné les ressources de la composition, si bien qu' on peut, en anglais, exprimer un beaucoup plus grand nombre de notions qu' en français, sans cesser d' employer des formes connues de tous ." (André Martinet, Le français sans fard ,pp.17-18, 1974)(p.19)" Il est certain que, du fait de la possibilité de combiner plus librement les unités de sens, une personne qui connaît bien les 3000 mots de la langue anglaise verra ses besoins communicatifs mieux satisfaits que celui qui pratique, avec une égale aisance, les 3000 homologues français . "
Etc. >> Conséquences: (un exemple:) Concours Balfroid – Peu ont fait moins de six fautes, LB 10/05/04 5,26 % des ... 798 finalistes ont fait moins de 6 fautes à la dictée.
(Sans commentaire) |
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