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| Les séries cultes [topic unique] | |
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Stans Fondateur
Nombre de messages : 16069 Age : 72 Localisation : Bruxelles - Département de la Dyle Langue : français Emploi/loisirs : histoire, politique Date d'inscription : 10/03/2006
| Sujet: Les séries cultes [topic unique] Lun 03 Avr 2006, 3:06 pm | |
| Les 4400 http://the4400.free.fr/ http://the4400.free.fr/forum/ http://www.allocine.fr/series/ficheserie.html?cserie=251 http://www.scifi-universe.com/fiche_serietv.asp?serie_id=326 | |
| | | Stans Fondateur
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| Sujet: THE X-FILES Lun 03 Avr 2006, 3:18 pm | |
| THE X-FILES http://www.lvei.net/ http://www.chez.com/xfilesite/ http://fr.wikipedia.org/wiki/X-Files http://www.topkool.com/series_tv/xfiles.htm http://x-files.darkbb.com
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| | | Stans Fondateur
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| Sujet: LOST Lun 03 Avr 2006, 3:26 pm | |
| LOST http://lostsite.free.fr/ http://www.lost-island.net/ http://www.allocine.fr/series/ficheserie.html?cserie=223 http://lost.hypnoweb.net/
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| Sujet: STARGATE - SG1 Lun 03 Avr 2006, 3:32 pm | |
| STARGATE - SG1 http://www.m6.fr/html/series/stargate/index.shtml http://perso.wanadoo.fr/jean-paul.willefert/stargate_sg1.htm http://www.sden.org/jdr/stargate/ http://www.stargate.user.fr/
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| Sujet: STARGATE - ATLANTIS Lun 03 Avr 2006, 3:37 pm | |
| STARGATE ATLANTIS www.stargate-fusion.com/ http://sg-atlantis.forumactif.com/ www.allocine.fr/series/ficheserie_gen_cserie=212.html www.root-top.com/topsite/gatenet/index.php
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| | | Stans Fondateur
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| Sujet: ALIAS Sam 22 Avr 2006, 4:27 pm | |
| ALIAS http://www.m6.fr/cms/display.jsp?id=p2_73282 http://www.inthemoonlight.com/aliasfile/ | |
| | | Stans Fondateur
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| Sujet: STAR TREK Mer 21 Juin 2006, 10:02 am | |
| Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Star_Trek - Citation :
- Star Trek est un univers de fiction, de science-fiction, créé par Gene Roddenberry dans les années 60, regroupant six séries télévisées, dix films, des romans et des jeux.
Il dépeint un futur optimiste dans lequel l'humanité a éradiqué la maladie, le racisme, la pauvreté, l'intolérance et la guerre sur Terre. Elle s'est également uni à d'autres espèces intelligentes de la galaxie. Les personnages explorent l'espace, à la recherche de nouveaux mondes et de nouvelles civilisations et s'aventurent « là où aucun homme n'est jamais allé ».
Bien que la première série n'ait pas rencontré un grand succès lors de sa diffusion, il apparut que le monde de Star Trek avait beaucoup de fans, les Trekkies ou Trekkers. Ces amateurs inconditionnels ont fait le succès des rediffusions et créé un marché pour les séries suivantes et autres films basés sur le travail de Roddenberry. Star Trek reste aujourd'hui un des divertissements de science-fiction les plus populaires de la télévision.
Les histoires de Star Trek font maintenant partie intégrante de la culture occidentale, constituant une sorte de nouvelle mythologie. C'est d'ailleurs à la suite d'une opération de lobbying des fans de la série que la NASA a accepté de nommer Enterprise le prototype de la navette spatiale. Enterprise est aussi le nom de nombreux navires de l'U.S. Navy, quoique sans lien avec la série, le dernier ayant été lancé en 1960 (mais toujours actif aujourd'hui).
Plusieurs épisodes de la première série (diffusée dans quelques régions sous le titre Patrouille du cosmos) sont basés sur une confrontation avec une puissance supérieure, généralement une race extraterrestre avancée (possédant souvent des formidables pouvoirs mentaux), avec une technologie de pointe, avec un humain ayant acquis, dans des circonstances particulières, des pouvoirs inhabituels, et dans un cas, avec un dieu. Souvent, le but de la puissance en question est d'asservir (ou de détruire) le vaisseau et son équipage, mais tous deux seront sauvés par le capitaine James T. Kirk (James R. Kirk dans le premier épisode de la série, Where no Man Has Gone Before), joué par William Shatner. Un cas exceptionnel est l'épisode fameux des Tribbles. Parfois le scénario est inversé, et les entités « supérieures » « moralisent » les Humains (Arena, Errand of Mercy, The Empath).
Il n'y a pas d'histoire se prolongeant tout le long de la série, chaque épisode formant une structure close, séparée des autres, le seul élément évident de continuité étant la distribution et certains ennemis récurrents comme les Klingons. Tous les épisodes sont au format 52 minutes, sauf l'épisode « La Ménagerie » (The Menagery), en 2 x 52 minutes, en raison de la réutilisation du pilote « The Cage », qui fait référence à un couple (équipage, vaisseau) plus ancien.
La société utopique, la Fédération des planètes unies (FPU), dépeinte dans Star Trek est basée sur une économie de l'abondance autorisant un progrès des sciences et des technologies. Cette abondance permet aussi à chacun de satisfaire presque tous ses besoins et désirs. Le travail et le commerce ne sont pas nécessaires et par suite l'argent a été éliminé. Les émotions négatives comme l'avarice ou la jalousie y sont quasiment inexistantes.
Roddenberry était partisan d'une politique égalitaire et a fréquemment utilisé les épisodes pour présenter sa vision d'une société utopique basée sur ces principes. La série originale, par exemple, possédait un membre d'équipage féminin et afro-américain Nyota Uhura, interprétée par Nichelle Nichols, une des premières femmes afro-américaines à tenir un rôle principal à la télévision américaine. Il a également fait jouer un personnage originaire de Russie - Pavel Chekov interprété par Walter Koenig - à une époque où les États-Unis étaient engagés dans la guerre froide avec l'Union Soviétique. Le premier officier vulcain M. Spock, joué par Leonard Nimoy, n'avait pas eu, tout d'abord, les faveurs des cadres de la chaîne sous le prétexte que son aspect vaguement satanique pouvait s'avérer trop inquiétant pour le public, mais M. Spock est devenu, en fait, l'un des personnages les plus populaires sur la série originelle.
Pour illustrer cette vision idéaliste, il est intéressant de noter que le premier pilote de la série, The Cage, a été refusé parce que le commandant en second de l'Enterprise était joué par une femme (Majel Barrett, alias Lwaxana Troi dans Star Trek : La nouvelle génération), ce que la Paramount a jugé « irréaliste »...
Les téléspectateurs actuels de la série originelle peuvent trouver loin du « politiquement correct » actuel les représentations des minorités et des femmes, mais le programme était, à son époque, progressiste et audacieux. Un des motifs de fierté de Star Trek est d'avoir représenté le premier baiser entre un Américain blanc et une Afro-Américaine. Dans l'épisode 65 (La Descendance - Plato's Stepchildren) mettant en œuvre un contrôle mental comme prétexte pour briser ce tabou, le capitaine Kirk et Uhura sont forcés à partager ce premier baiser sur la télévision américaine.
Presque dix années se sont écoulées entre la fin de la première série et le premier film de cinéma. Dans l'intervalle, de nombreux romans ont été publiés par des auteurs multiples. L'univers de Star Trek a plus que survécu à une longue traversée audio-visuelle du désert grâce à l'écriture, il s'est également enrichi par le partage et le travail collectif. Sauvée une première fois par ses fans, maintenue et développée par une collectivité informelle d'auteurs, l'utopie de Star Trek se trouve autant dans sa naissance que dans son contenu.
En 1987, une nouvelle série est lancée, Star Trek : La nouvelle génération (Star Trek: The Next Generation ou ST:TNG), comportant un nouvel équipage. Contrairement à la série originelle, ST:TNG décrit un univers dans lequel la plupart des races rencontrées sont équivalentes du point de vue technologique et un nombre important d'épisodes ne sont plus basés sur le concept de « premier contact » mais sur de nouveaux arguments tels que les paradoxes du voyage temporel.
Un autre changement caractéristique est l'introduction de la directive Première qui contraint la Fédération à ne pas interférer dans l'évolution des espèces moins évoluées. Elle est l'occasion de cas de conscience lorsque des espèces menacées de destruction ne devraient pas être assistées par respect de cette directive.
Enfin, cette série connaît des liens historiques forts entre les épisodes, avec des objets ou des personnages qui apparaissent au cours de plusieurs épisodes (et même provenant de saisons précédentes), donnant à la série une cohérence plus forte.
Roddenberry continua à être crédité en tant que producteur exécutif de Star Trek : La nouvelle génération, même lorsque son influence diminua alors que la série progressait. Avec l'arrivée du producteur Rick Berman, elle a lentement pris une nature plus basée sur les masques en intégrant de plus en plus des scènes d'animation et des discours cryptés pour certaines audiences. Ceci est devenu évident dans des derniers épisodes de ST:TNG et encore plus dans la majeure partie de la série suivante.
Star Trek à l'écran
L'univers de Star Trek est représenté à travers cinq séries :
- Star Trek (appelée parfois en anglais Star Trek: The Original Series ou TOS) - Star Trek : La nouvelle génération (Star Trek: The Next Generation ou TNG) - Star Trek : Deep Space Nine (ou DS9) - Star Trek : Voyager - Enterprise devenu au cours de la troisième saison Star Trek : Enterprise
Une série d'animation : Star Trek : La série animée et onze films :
Films basés sur la série originale :
- Star Trek : Le Film (Star Trek: The Motion Picture) (1979) - Star Trek II : La Colère de Khan (Star Trek II: The Wrath of Khan) (1982) - Star Trek III : À la recherche de Spock (Star Trek III: The Search for Spock) (1984) - Star Trek IV : Retour sur Terre (Star Trek IV: The Voyage Home) (1986) - Star Trek V : L'Ultime Frontière (Star Trek V: The Final Frontier) (1988) - Star Trek VI : Terre Inconnue (Star Trek VI: The Undiscovered Country) (1991)
Film basé sur la série originale et sur Star Trek : La nouvelle génération :
- Star Trek : Générations (Star Trek: Generations) (1994) Films basés sur Star Trek : La nouvelle génération : - Star Trek : Premier Contact (Star Trek: First Contact) (1996) - Star Trek : Insurrection (Star Trek: Insurrection) (1998) - Star Trek : Nemesis (2002) Film se passant avant la série originale :
Star Trek XI sortie prévue en 2008
Voir aussi
Articles connexes
- Chronologie de Star Trek - Entités culturelles de Star Trek - Ethnologie de Star Trek - Jargon de Star Trek - Mondes de Star Trek - Personnages de Star Trek - Space opera - Fandom de la science-fiction - Star Trek : univers de fiction - Champ de distorsion de la réalité, notion inventée dans la série, et reprise pour décrire Steve Jobs | |
| | | Stans Fondateur
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| Sujet: La quatrième Dimension ( The Twilight Zone) Jeu 27 Juil 2006, 4:23 pm | |
| Source : http://www.topkool.com/series_tv/quatriemedimension.htm - Citation :
Cette série est née sur C.B.S. en 1959, de l'imagination fébrile et sans limites de son créateur et interprète occasionnel Rod Serling. Ancien boxeur, décoré au feu lors de la seconde guerre mondiale, il avait commencé avec Playhouse 90 (série anthologique de drames d'une heure et demie) qu'il avait abandonné, agacé par une censure et des contraintes trop pesantes de la part des annonceurs.
Ce qu'il voulait faire, c'est une série intelligente, quelque chose qui s'adresse à des adultes, à des gens qui regardent leur téléviseur comme on lit un livre, avec concentration et en acceptant d'y réfléchir. Les séries d'alors, comme la plupart de celles d'aujourd'hui, s'adressaient surtout soit aux hordes de ménagères américaines, soit aux jeunes avec les multiples séries de science-fiction ou espionnage pleines d'actions ou d'effets spéciaux. The Twilight Zone ne devait pas être racoleur. Pas de pistolets laser, pas de batailles de robots (Lost in Space), pas de sous-marin futuriste (Voyage to the Bottom of the Sea), pas de monstre Z très féroce (The Outer Limits) ni d'espions aux gadgets dans les souliers (The Man from U.N.C.L.E.). Pour lancer sa série, Rod Serling dût s'y reprendre à plusieurs fois avant de convaincre les responsables de chaîne, il dût réaliser trois pilotes, c'est à dire trois épisodes tests (on n'en fait d'habitude qu'un seul) avant que la formule ne soit acceptée (on comprend les réticences, puisque comme chacun sait, ce n'est pas toujours le moins débile qui fait le plus d'audience). En effet, son premier pilote, un téléfilm diffusé au sein de Desilu Playhouse déclenche un tollé enthousiaste au courrier, ce qui pousse C.B.S. à demander un second, puis un troisième pilote qui achève de les convaincre.
The Twilight Zone stimulait l'imagination au lieu de l'anesthésier. Les épisodes n'étaient pas servis tout épluchés; au lieu d'abrutir son public, celui-ci était entraîné dans les vastes champs de réflexions que les épisodes ouvraient à chacune de leur conclusion.
Souvent, Rod Serling introduisait lui-même les épisodes. Cigarette à la main, complet noir raide, sourire cynique, il explique, présente le personnage de l'épisode et donne un avant goût de son voyage "all the way to his appointed destination which, contrary to (... [his]) plan, happens to be in the darkest corner of the Twilight Zone" (Nightmare at 20,000 Feet). A l'origine, c'est Orson Welles que Rod Serling voulait, mais ce dernier était trop cher et il dût les faire lui-même. Il était tellement sensible, tremblant de trac, que c'est pendant ses répétitions que les opérateurs le filmaient, sans le lui dire.
Véritable démiurge, il ne nous fait pas oublier que c'est lui qui torture les personnages, avec ses histoires impossibles et alambiquées. Il aurait bien du mal, d'ailleurs, à nous le faire oublier car les destins malheureux de ses victimes en noir et blanc ne sont certainement pas classiques. Il est évident qu'ils sortent de l'esprit d'un romancier poète du fantastique et pas de l'évolution normale du scénario. Ces histoires sont dingues, partant de postulats simples, voire primaires, qui peuvent s'exprimer sous la forme de la petite question "Que se passerait-il si...?" Jugez par vous-même : que se passerait-il si un passionné de lecture se trouvait seul au monde (Time Enough at Last), si on donnait à un exilé pour tout compagnon un robot féminin (The Lonely), si un officier avait le don de voir à l'avance lesquels allaient mourir à la prochaine offensive (The Purple Testament), si quelqu'un se retrouvait dans la ville de son enfance (Walking Distance), si un jeune homme se réveillait pendant son enterrement (The Last Rites of Jeff Myrtlebank) ?
Les auteurs ne prétendaient nullement répondre à ces questions, mais juste à raconter un conte, entrouvrir la porte pendant une demie-heure et y laisser passer un rayon de magie. "Open the window... to your imagination" demande l'auteur au public, mais ça ne suffit pas, car c'est au spectateur de faire le pas suivant au delà du seuil de la fenêtre pour entrer dans le jeu. On peut encore rêver, après un épisode de The Twilight Zone, car la fugacité nous laisse sur notre faim avec des idées géniales et toute une richesse. On est tenté de poursuivre pour soi les implications chimériques de l'idée qu'a exprimé l'auteur. C'est clair, chaque épisode peut-être développé en long métrage ou en roman. D'ailleurs, de nombreux auteurs ne s'en sont pas privés (Steven Spielberg, John Landis, David Cronenberg, John Carpenter pour ne citer qu'eux).
Ces auteurs pourtant, surtout les autres car ceux-là sont plutôt bons, auraient mieux fait de s'inspirer de la méthode plutôt que des thèmes. Dans ces épisodes, aucun effet spécial, aucune scène déshabillée ni outrancièrement violente. La sobriété est de rigueur. De temps en temps, une soucoupe volante en aluminium (The Invaders) ou un comédien déguisé en créature humanoïde (To Serve Man) apparaît, mais ce sont là les seuls artifices. Avec ça, uniquement par leur pouvoir de suggestion, les auteurs nous ont fait frissonner, paniquer, trembler, atteindre des sommets d'angoisse.
Dans tous les cas, la clé du spectacle était dans le scénario. La magie, pour la plupart des histoires, c'était la façon dont l'univers bascule au détour d'un dialogue, d'une scène. Subitement ou insidieusement, il y a un réel passage dans la "zone crépusculaire" (traduction littérale de twilight zone). Ce passage peut se faire au début : comme pour ce camelot qui rencontre un homme en complet noir qui prétend être sa mort et à qui il devra faire son boniment (One for the Angels) ; comme pour ces habitants de Maple Street qui sont persuadés qu'il y a un extraterrestre parmi eux parce qu'un vaisseau spatial s'est posé quelque part et que le courant a des perturbations (The Monsters Are Due on Maple Street) ; comme pour ce pionnier, en 1847, perdu dans le désert, qui tombe sur une autoroute et se retrouve en 1961 (A Hundred Yards over the Rim). Le passage peut aussi se faire à la fin, en un dénouement renversant, mais ne compte pas sur moi pour te raconter People Are Alike all over, I Shot an Arrow into the Air ou The Grave...
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| | | Roy Grand Maître
Nombre de messages : 4440 Age : 55 Localisation : Banlieue lyonnaise Langue : Français Date d'inscription : 22/06/2006
| Sujet: Sherlock Holmes Jeu 27 Juil 2006, 4:55 pm | |
| L'excellente série que je regarde actuellement : - Citation :
II y eut de très nombreuses adaptations de Sherlock Holmes, tant au cinéma qu’à télévision mais aucune n'a jamais eu autant d'atouts : une fidélité extrême des récits, une richesse de moyens permettant la reconstitution de l'époque victorien de façon parfaite - Baker Street fut même reproudit en studio ! - et enfin une interprétation inspirée. 6 saisons furent tournées, totalisant 36 épisodes et 3 télé. Jeremy Brett détestait Sherlock Holmes lorsqu'on lui proposa le rôle. Mais, en se replongeant dans les romans, il découvrit tout l'intérêt de l'oeuvre. Entièrement possédé par le personnage au point d'être épuisé après les tournages, Brett est devenu l'ultime interprète de Holmes, comprenant parfaitement la complexité du personnage, oscillant entre génie et folie. Et après avoir vu cette série , on a bien du mal à relire les livres originaux sans imaginer els traits de Sherlock sous ceux de Jeremy Brett tant il incarne à merveille le détective de Baker Street. Il est décédé le 12 septembre 1995.
Un ton différent
La série produite par Michael Cox, pour Granada TV à partir de 1983, se démarque sur plusieurs plans - notamment grâce à son originalité et à sa hardiesse de ton - des productions précédentes consacrées aux héros de Conan Doyle.Voici les principaux ingrédients de cette miraculeuse réussite..
Un humour décalé, parfois noir, se retrouve tout au long des épisodes et constitue un des éléments les plus originaux de la série.Les dialogues entre Holmes et Watson sont vifs et souvent caustiques. Ils échangent volontiers traits d'esprits, taquineries et critiques. La virile et amicale compétition qui les oppose - et les lie...-est omniprésente et donne lieu à des moments fort drôles.Le comique de situation crée des pauses dans l'action et la tension du scénario (Le Cycliste solitaire, le Traité naval)Les premiers épisodes proposent d'emblée un vrai suspens.Les faits présentés sont étranges, inexplicables et souvent inquiétants (Les Hommes dansants, Le Tordu). Violence et mystère se mêlent pour créer une ambiance vraiment sombre et angoissante (Le Ruban moucheté, Le Dernier problème). L'action, et le suspens ainsi généré, sont dignes de séries mettant en scène des policiers contemporains.
Des interprétaitons inoubliables.
David Burke revisite complètement le personnage de Watson et le dépoussière... Le bon docteur n'est plus présenté comme un bourgeois vieillissant et empâté servant de faire-valoir à Holmes ; c'est un homme jeune et séduisant. II est très élégant, vif de corps et d'esprit et son intelligence lui permet de tenir tête à Holmes et d'agir de façon efficace lors des enquêtes.
Jeremy Brett propose un Holmes dandy, très raffiné et... très humain Lui aussi jeune et dynamique, le Holmes brettien est un personnage complexe qui réussit la prouesse d'être à la fois rigide et gracieux, expressif et énigmatique, fragile et dur... Ses traits d'ironie, son regard pétillant d'intelligence et son maintien aristocratique le rapproche davantage de l'artiste bohème que du bourgeois coincé.
Ces héros jeunes et turbulents ne craignent pas les scènes d'actions ; ils courent, escaladent, se battent, sautent dans des cabs, montent à cheval et à bicyclette... Source : http://www.dvdcritiques.com/critiques/dvd_visu.aspx?dvd=3395 | |
| | | Roy Grand Maître
Nombre de messages : 4440 Age : 55 Localisation : Banlieue lyonnaise Langue : Français Date d'inscription : 22/06/2006
| Sujet: Re: Les séries cultes [topic unique] Sam 09 Sep 2006, 11:49 am | |
| J'ai entendu pas mal de bonnes critiques concernant Rome ; quelqu'un connait ? | |
| | | Stans Fondateur
Nombre de messages : 16069 Age : 72 Localisation : Bruxelles - Département de la Dyle Langue : français Emploi/loisirs : histoire, politique Date d'inscription : 10/03/2006
| Sujet: Re: Les séries cultes [topic unique] Sam 09 Sep 2006, 2:16 pm | |
| - Roy a écrit:
- J'ai entendu pas mal de bonnes critiques concernant Rome ; quelqu'un connait ?
Non, mais le prix actuel (54,99 €) me dissuade d'en savoir plus pour l'instant ! | |
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