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| Sionisme et national socialisme | |
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Alexis Modérateur
Nombre de messages : 1743 Age : 36 Localisation : Bruxelles Emploi/loisirs : Etudiant Date d'inscription : 13/03/2006
| Sujet: Sionisme et national socialisme Dim 28 Mai 2006, 7:08 pm | |
| Le soutien nazi au sionisme - Citation :
Theodor Herzl (1860-1904), le fondateur du sionisme moderne, reconnut que l'antisémitisme promouvrait sa cause, la création d'un état séparé pour les juifs. Pour résoudre la Question Juive, il maintenait « devoir faire d’elle, surtout, une question de politique internationale. » [1] Herzl écrivit que le sionisme offrait au monde « une bienvenue solution finale de la question juive. » [2] Dans ses « Journaux intimes », page 19, «Herzl déclara que les antisémites deviendront nos plus sûrs amis, les pays antisémites nos alliés. »
http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/1569802351/qid%3D1148648260/403-9018779-0202057
51 Documents sur la collaboration sioniste avec les nazis
Le sionisme fut soutenu par les SS et la Gestapo allemands. [3] [4] [5] [6] Hitler lui-même a personnellement soutenu le sionisme. [7] [8] Pendant les années 30, en coopération avec les autorités allemandes, les groupes sionistes organisèrent un réseau d'environ 40 camps sur l'ensemble de l'Allemagne, où les éventuels colons furent formés à leurs nouvelles vies en Palestine. Jusqu’en 1942 les Sionistes exploitèrent au moins un de ces derniers « Kibboutz » officiellement autorisé comme camps d’entraînement [9] sur lequel flottait la bannière bleue et blanche qui deviendra un jour le drapeau national « d’Israël ». [10]
L'accord de transfert (qui favorisa l'émigration des juifs allemands en Palestine), mis en application en 1933 et abandonné au début de la WWII [2ème Guerre Mondiale], est un exemple important de la coopération entre l'Allemagne d’Hitler et le sionisme international. [11] Par cet accord, le troisième Reich d’Hitler fit plus que n'importe quel autre gouvernement pendant les années 30 pour soutenir le développement juif en Palestine et promouvoir les buts sionistes.
Hitler et les Sionistes eurent un but commun : Créer un ghetto juif mondial, solution de la Question Juive.
L’accord de Transfert
Le sionisme, aussi appelé « Congrès Juif Mondial » déclara la guerre à l'Allemagne, [12] [13] sachant qu'elle affecterait leurs frères juifs résidant dans ce pays, qui seraient laissés sans protection. Quand d'autres ont essayé de les aider à s'échapper vers d'autres pays, le mouvement sioniste fit fermer la porte de ces pays à l'immigration juive (Lu dans les livres, « Perfidy » et « Min Hametzer »). En raison de l'influence sioniste cinq navires de réfugiés juifs d'Allemagne arrivant aux USA furent renvoyés vers les chambres à gaz.
Le but fondamental du mouvement sioniste ne fut pas de sauver les vies juives mais de créer « un état juif » en Palestine.
Le 7 décembre 1938, Ben Gourion, le premier dirigeant de l'état sioniste d'Israël déclara « Si je savais possible de sauver tous les enfants d’Allemagne en les amenant en Angleterre, et seulement la moitié des enfants en les amenant à Eretz Israël, je choisirait la deuxième solution. Pour nous, il nous faut non seulement tenir compte des vies de ces enfants mais aussi de l'histoire du peuple d'Israël. » [14]
Le 31 août 1949, Ben Gourion déclara : « Bien que nous avons réalisé notre rêve de créer un état juif, nous sommes seulement au début. Il n’y a encore que seulement 900 000 juifs en Israël, tandis que la majorité du peuple juif demeure toujours à l'étranger. Notre future tâche sera d’amener tous les juifs en Israël. »
Des deux millions et demi de juifs cherchant refuge contre les nazis entre 1935 et 1943, moins de 9% s'établirent en Palestine. La grande majorité, 75%, allèrent en URSS. Au milieu des années 70, plus gens sortirent d’Israël qu’il n’en entrèrent. Les seules poussées subites d'immigration vers l'état sioniste se produisirent pendant les menaces antisémites et la persécution dans les pays étrangers. [15]
Il s’ensuit que, pour réaliser son but d’un ghetto mondial juif, l'état sioniste doit favoriser et encourager l’antisémitisme, comme nous l’avons vu, par des actes de violence si nécessaire.
« Pour atteindre ses objectifs pratiques, le sionisme espère pouvoir collaborer avec un gouvernement fondamentalement hostile aux juifs ». [16]
L'utilisation de l'antisémitisme comme outil de contraindre à l'immigration vers l'état sioniste continue à aujourd'hui :
Le Premier Ministre Sharon a déclaré que l'antisémitisme est en augmentation et que le seul espoir de sécurité des juifs est d’aller en Israël sous la protection de l'état sioniste. « La meilleure solution à l'antisémitisme est l’immigration en Israël. C'est le seul endroit sur terre où les juifs peuvent vivre en juifs », a-t-il dit. [17]
Ceux qui continuent à appeler le prétendu « état d'Israël » « l'état juif » favorisent non seulement le sionisme qui est contraire à la croyance du vrai judaïsme, mais approuvent également la promotion de l'antisémitisme mondial. De cette manière ils mettent en danger la vie des juifs traditionnels et nient leurs libertés civiques et les droits de l'homme.
Quand le ministre des affaires étrangères britannique, Arthur Balfour (le commanditaire de la loi sur les étrangers de 1905, restreignant l'immigration juive en UK), voulu que le gouvernement britannique s’engage pour la patrie juive en Palestine, sa déclaration fut retardée - pas par des antisémites mais par les principales figures de la communauté juive britannique. Elles incluaient un juif membre du cabinet qui appelait les pro-sionistes de Balfour des « antisémites dans les conséquences ». Par contraste, un grand homme d'état comme le Secrétaire d'Etat Colin Powell, un défenseur du judaïsme traditionnel, a le courage de séparer le judaïsme du sionisme et de reconnaître que celui qui ose dénoncer les actions de l'état sioniste n'est pas « antisémite ».
Nous invitons nos chefs à Washington à dissocier les actions de l'état sioniste du judaïsme traditionnel en ne se référant plus à « Israël » comme « état juif » mais comme « état sioniste » et à oser dénoncer les actions sionistes qui favorisent l'antisémitisme.
[1] Cité dans : Ingrid Wecker, Feuerzeichen : Die “Reichskristallnacht” (Tubingen: Grabert, 1981), p. 212. Voir aussi : Th. Herzl, The Jewish State (New York : Herzl Press, 1970), pp 33, 35, 36, et Edwin Black, The Transfer Agreement (New York : Macmillan, 1984), p.73
[2] Th. Herzl, “Der Kongress, “ Welt, 4 juin 1897. Réédité dans : Theodore Herzls zionistische Schriften (Leon Kellner, ed.), ester Teil, Berlin: Judischer Verlag, 1920, p. 190 (et p.139)
[3] Francis R. Nicosia, The Third Reich and the Palestine Question (1985), pp. 54-55.; Karl A. Schleunes, The Twisted Road to Auschwitz (Urbana: Univ. of Illinois, 1970, 1990) pp. 178-181
[4] Jacob Boas, “A Nazi Travels to Palestine,” History Today (London), janvier 1980, pp. 33-38.
[5] Fac-similé réimprimé de la première pagede Das Schwarze Korp, 15 mai 1935, dans : Janusz Piekalkiewicz, Israels Langer Arm (Frankfurt: Goverts, 1975), pp. 66-67.
[6] Das Schwarze Korps, 26 septembre 1935. Cité dans : F. Nicosia, The Third Reich and the Palestine Question (1985), pp. 56-57
[7] F. Nicosia, Third Reich (1985), pp. 141-144 ; Sur la critique des vues sionistes d’Hitler dans Mein Kapf, Voir spécialement le Vol. 1, Chap. 11. Cité dans : Robert Wistrich, Hitler’s Apocalypse (London: 1985), p. 155.;
[8] W. Feilchenfeld, et al., Haavra-Transfer (1972). Texte entier de : David Yisraeli, The Palestine Problem in German Politics 1889-1945 (Israel : 1974), pp. 132-136.
[9] Y. Arad, et al., eds., Documents On the Holocaust (1981), p. 155. (L’entraînement au kibboutz se faisait à Neuendorf où il a pu fonctionner jusqu’à après mars 1942.)
[10] Lucy Dawidowicz, The War Against the Jews, 1933-1945 (New York : Bantam, pb., 1976), pp 253-254; Max Nussbaum, “Zionism Under Hitler,” Congress Weekly (New York: American Jewish Congress), 11 septembre 1942.; F. Nicosia, The Third Reich (1985), pp 58-60, 217.; Edwin Black, The Transfer Agreement (1984), p. 175.
[11] E. Black, The Transfer Agreement (1984), pp. 328, 337.
[12] “Judea Declares War on Germany!” – Gros titre du London Daily Express, 24 mars 1933
[13] “The worldwide boycott against Germany in 1933 and the later all-out declaration of war against Germany initiated by the Zionist leaders and the World Jewish Congress enraged Hitler so that he threatened to destroy the Jews…” (Rabbi Schwartz, New York Times, 30 septembre 1997)
[14] Yvon Gelbner, “Zionist policy and the fate of European Jewry”, dans Yad Vashem studies (Jerusalem, vol. XII, p. 199).
[15] Institute for Jewish Affairs of New York, cité par Christopher Sykes dans “Crossroads to Isarl”, London 1965, et par Nathan Weinstock, “Le sionisme contre Israël,” p. 146. [en français]
[16] Lucy Dawidovitch, “A Holocaust Reader”, p. 155.
[17] “Sharon Urges Jews to go to Israel”, BBC News, 17 novembre 2003, http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/middle_east/3275979.stm
Source: http://www.jewsagainstzionism.com/bookstore/productDetails.cfm?merchID=5 | |
| | | Stans Fondateur
Nombre de messages : 16069 Age : 72 Localisation : Bruxelles - Département de la Dyle Langue : français Emploi/loisirs : histoire, politique Date d'inscription : 10/03/2006
| Sujet: Re: Sionisme et national socialisme Dim 28 Mai 2006, 9:18 pm | |
| Je demande à voir quant à une analyse sérieuse de ces sources ! | |
| | | Ungern Membre d'élite
Nombre de messages : 613 Date d'inscription : 24/03/2006
| Sujet: Re: Sionisme et national socialisme Dim 28 Mai 2006, 9:49 pm | |
| C'est malheureusement la vérité .
Ici un petit lien intéressant et à la crédibilité en béton armé ... http://palestine1967.site.voila.fr/discorde/D.discorde.haavara.htm | |
| | | Stans Fondateur
Nombre de messages : 16069 Age : 72 Localisation : Bruxelles - Département de la Dyle Langue : français Emploi/loisirs : histoire, politique Date d'inscription : 10/03/2006
| Sujet: Re: Sionisme et national socialisme Lun 29 Mai 2006, 6:38 am | |
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| | | Ungern Membre d'élite
Nombre de messages : 613 Date d'inscription : 24/03/2006
| Sujet: Re: Sionisme et national socialisme Lun 29 Mai 2006, 7:14 am | |
| AhHH,après 42,les choses ont plutôt mal évolué ...
Mais il faut bien avoir en tête la profonde scission dans la communauté juive durant la guerre :
99.9 % étaient "pour sauver les juifs" . 0.01 % étaient pour sauver le sionisme,qu'importe le fait que pour "le sionisme",des millions de juifs allaient mourrir à coup s^r.
Ce qui leurs fallait c'étaient : a) des survivants juifs "capables",jeunes,et en bonne santé . b) de l'argent en grande quantité (et pour celà ils ne voulaient pas en dépenser durant la guerre en tentant tout et n'importe quoi pour sauver "des gens" . c) la mauvaise conscience internationale du fait de son silence durant l'extermination d) un préjugé favorable ,toujours du fait de ce même silence et de cette même horreur de l'extermination .
Finallement et comme toujours,c'est la minorité agissante qui a gagné ...
Je comprends bien le calcul . Ce calcul se défend . Mais ce que je n'admets pas c'est qu'on s'en défende après coup . Ce qui est ,est . Ce qui a été, a été .
Israël c'est batie en grande partie si pas en quasi totalité sur l'instrumentalisation de son propre génocide . | |
| | | Ungern Membre d'élite
Nombre de messages : 613 Date d'inscription : 24/03/2006
| Sujet: Re: Sionisme et national socialisme Lun 29 Mai 2006, 7:31 am | |
| Et pour en revenir à Hitler,effectivement Hitler n'a pas voulu l'extermination des juifs, il voulait s'en débarrasser,mais pas nécéssairement les exterminer .
L'idée de départ c'était d'expulser les juifs .
Mais pour les expulser ,il faut deux choses :
a) un endroit pour les y mettre . b) un moyen de trnsport pour les y acheminer ...
Et c'était la guerre . Donc plus de moyens de transport maritime .
Et les USA qui sortaient de la grand ecrise économique ne voullaient pas de cet afflux brutal d'immigrant ....
Et la conquète de la Pologne et de la Russie faisait plus que doubler le nombre de juifs sous contrôle allemand ....
Finallement le choix c'est porté sur l'extermination . Mais l'idée de départ était l'expulsion . | |
| | | Stans Fondateur
Nombre de messages : 16069 Age : 72 Localisation : Bruxelles - Département de la Dyle Langue : français Emploi/loisirs : histoire, politique Date d'inscription : 10/03/2006
| Sujet: Re: Sionisme et national socialisme Lun 29 Mai 2006, 8:48 am | |
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| | | Ungern Membre d'élite
Nombre de messages : 613 Date d'inscription : 24/03/2006
| Sujet: Re: Sionisme et national socialisme Lun 29 Mai 2006, 11:05 am | |
| Ce n'étaient pas les endroits envisagés qui manquaient .
USA,Australie,Iles du Pacifique,etc ...
Les juifs eux même (et en particulier,du moins dans un premier temps Theodor Herzl) avaient envisagé comme "pis aller" de faire de l'Ouganda leur patrie de substitution .
Etre "juif" c'est être de sang juif (parcequ'il n'y a virtuellement aucune chance concrète d'être "juif de religion" : le prosélythisme juif est "nul" et les rabins font tout pour éviter de meller le sang juif avec d'autres sang ... au point que les juifs Falashahs (noirs) ne peuvent toujours pas donner leur sang ...
Etre "sioniste" ,c'est vouloir que les juifs retournent en terre d'Israël .
Etre "sioniste révisioniste" ,c'est vouloir le retour des juifs dans une entité non définie (et aux frontières très variables ...)répondant au nom de Eretz Israël ,avec pour capitale exclusive (cad à l'exclusion de toute autre), Jérusalem (maintenant par un tour de passe passe sémantique,on assimile sionisme révisioniste avec sionisme,mais ce sont deux choses distinctes).
Plus de détails sur les frontières d'Eretz Israël "ici" : http://palestine1967.site.voila.fr/discorde/D.discorde.eretz.01.htm. C'est intéressant de savoir de quoi on parle ... Surtout quand on donne le même nom à des choses fort différentes ...
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| | | Stans Fondateur
Nombre de messages : 16069 Age : 72 Localisation : Bruxelles - Département de la Dyle Langue : français Emploi/loisirs : histoire, politique Date d'inscription : 10/03/2006
| Sujet: Re: Sionisme et national socialisme Lun 29 Mai 2006, 11:18 am | |
| Seul STALINE est passé curieusement à l'acte avec les Juifs qu'il méprisait pourtant !
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9publique_autonome_juive
République autonome juive
La République autonome juive du Birobidjan est un sujet de la Fédération de Russie, fondé par Staline, en 1928. Elle se trouve en Sibérie, sur la frontière chinoise.
Histoire
Après la révolution russe de 1917, les juifs sont reconnus comme une nationalité au sein de l'URSS. Mais alors que les nationalités soviétiques ont normalement un territoire (il y en a de diverse natures), les juifs n'en avaient pas.
Pensé dès 1928, le Birobidjan est créé en 1934 en tant qu'oblast, sur une initiative de Staline. C'est un territoire autonome, ou les juifs sont censés pouvoir organiser une certaine vie nationale. Cependant, dès 1935, le projet semble être freiné.
La population juive ne sera jamais majoritaire. Le yiddish était la langue de la région. L'hébreu lui, a toujours été plus ou moins interdit, pour d'évidentes raisons de "laïcité" voulue par le régime soviétique, et par hostilité au sionisme.
Le Birobidjan apparaît donc comme une "entité" politique juive autonome en URSS, à l'époque ou une telle entité est également officialisée en palestine par le mandat de la SDN de 1922 (voir Histoire du sionisme).
Les raisons officielles de la création du Birobidjan sont la volonté de permettre aux juifs soviétiques de disposer d'un territoire pour pouvoir s'y exprimer en tant que nationalité.
L'URSS utilisera également le Birobidjan comme réponse au sionisme. La politique des nationalités de l'URSS prouvait ainsi qu'elle pouvait répondre aux aspirations nationales juives sans en passer par un mouvement que le communisme soviétique réprouvait.
D'autres hypothèses sur la création du Birobidjan ont été avancées :
Volonté d'écarter les Juifs de la capitale, pour des raisons antisémites. Mais on peut constater que le régime n'a pas essayé de peupler fortement le Birobidjan. Volonté de "renforcer" la zone, sur les rives du fleuve Amour, dans l'Extrême-Orient soviétique, historiquement contestée par la Chine. Et donc nécessité de peupler cette région de la Sibérie. Le projet, dont l'intérêt des dirigeants de l'URSS fut quelque peu réactivé après la création d'Israël en 1948, tomba en désuétude à la mort de Staline en mars 1953. Dès lors, la population juive du Birobidjan ne devait cesser de décroître, tant sous Khrouchtchev que sous Brejnev.
Aujourd'hui
Malgré des tentatives d'aide financière sous Gorbatchev, une majorité du peu de Juifs qu'il restait émigra après la chute de l'URSS en 1991.
Le Birobidjan possède toujours le statut de Région Autonome Juive, bien que les vestiges du judaïsme y soient aujourd'hui bien maigres (4.200 habitants sur 192.000 sont Juifs), se limitant à une synagogue, des inscriptions en yiddish (qui reste la langue officielle), ou encore le journal régional Birobidjan Stern.
A présent, seuls quelques vieillards discutant en yiddish sont les derniers témoins de cette histoire "oubliée" du Birobidjan.
Voir aussi
Histoire du sionisme Bibliographie
Robert Weinberg, Le Birobidjan 1928-1996, L'histoire de l'État juif fondé par Staline, Autrement Mémoires, 2000, ISBN : 2862608823
Dr Patrick Braun et Jean Sanitas, Le Birobidjan, une terre juive en URSS, Robert Laffont, 1989, ASIN : 222105928X | |
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