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 J + 158 : analyse de la crise politique

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Stans
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MessageSujet: J + 158 : analyse de la crise politique   J + 158 : analyse de la crise politique EmptyJeu 18 Nov 2010, 9:58 am

Source : http://www.lalibre.be/actu/elections-2010/article/623853/la-crise-politique-en-10-simples-questions.html

La crise politique en 10 simples questions

Francis Van de Woestyne

Mis en ligne le 18/11/2010

D’où vient-on ? Où en est-on ? Où va-t-on ? Deux certitudes : il n’y aura pas d’accord en 2010. Pas d’élections non plus. En 2011, en revanche…

Analyse

Bon. Et si on s’offrait un petit résumé de la situation politique. Histoire d’essayer de comprendre pourquoi on en est toujours là, au 158 e jour de crise. On tentera aussi de voir quels sont les scénarios possibles. Justes possibles, mais pas certains.

1 Où en sommes-nous ?

Depuis 158 jours, sept partis, trois francophones (PS, CDH, Ecolo) et quatre néerlandophones (N-VA, CD&V, SP.A et Groen!) tentent de former un gouvernement fédéral. En fait, on n’en est même pas à essayer de former un exécutif. Ces jours-ci, on essaye tout simplement de trouver les moyens de relancer la négociation à 7. Car toutes les tentatives ont jusqu’à présent échoué : la mission de préformation du président du PS, Elio Di Rupo, la médiation des présidents de la Chambre et du Sénat, André Flahaut (PS) et Danny Pieters (N-VA), la mission de clarification de Bart De Wever (N-VA). Depuis quatre semaines, c’est l’ancien président du SP.A, Johan Vande Lanotte, qui, en tant que conciliateur, essaye de renouer les fils du dialogue.

2 Johan Vande Lanotte va-t-il réussir ?

Rappelons que son objectif était double. Un : restaurer la confiance entre les 7 partis. Deux : objectiver les propositions visant à réformer la loi de financement, ce système qui répartit les flux financiers entre les différents niveaux de pouvoirs. Commençons par la loi de financement. L’objectivation a bien eu lieu : la Banque nationale et le Bureau du Plan ont effectué un travail considérable pour évaluer les conséquences des modèles de révision de la loi de financement fournis par les différents partis (6 modèles au total puisque les verts Ecolo et Groen! ont déposé une proposition commune). L’objectivation a été encadrée par 6 professeurs d’université, 3 francophones et 3 néerlandophones. Chaque parti a uniquement reçu la simulation qui concerne son modèle. Pas celui des autres

3 Johan Vande Lanotte a-t-il réussi à rétablir la confiance ?

D’une certaine manière, oui. Après quelques semaines de guerre froide, Elio Di Rupo et Bart De Wever ont accepté de se rasseoir à la même table. Pas à deux. A trois : leurs rencontres (il y en a eu 3 ou 4) étaient chaperonnées par le conciliateur, Johan Vande Lanotte. Donc on se reparle et le climat est moins tendu qu’avant. Les partis flamands se sont vus. Entre eux. Les partis francophones se sont vus. Entre eux. Mais il n’y a plus eu de réunions entre les 7 présidents de parti depuis Depuis Depuis le 2 ou le 3 septembre, date à laquelle Elio Di Rupo avait demandé à être déchargé de sa mission de préformation. Donc la confiance revient, doucement. Mais elle est loin d’être au top. Très loin.

4 Autrement dit, on est encore nulle part ?

Bon, ça, c’est peut-être un peu sévère N’oublions pas que, pendant tout l’été, les 7 présidents de partis ont quand même discuté matin, midi et soir. Des rapprochements ont eu lieu, notamment en matière de transferts de compétences. Et sur BHV aussi. Mais il demeure des symboliques auxquelles chaque camp tient. Donc, on ne peut pas dire qu’il n’y a rien. L’objectivation des modèles financiers, c’est aussi un progrès. Car tant que cela n’avait pas été réalisé, il semblait impossible de continuer à négocier sur les autres dossiers. Mais comme l’a dit Johan Vande Lanotte, lors de sa conférence de presse, mardi, il n’y a toujours pas d’accords, même partiels. On connaît la formule : "Tant qu’il n’y a pas d’accord sur tout, il n’y a d’accord sur rien."

5 Que se passera-t-il pendant les prochains jours ?

Johan Vande Lanotte va organiser des rencontres de 4 heures avec les représentants des 7 partis pour étudier avec eux les modèles financiers qui ont été évalués. Cette méthode, a expliqué le conciliateur, devrait permettre de retenir "le meilleur" de chacun des modèles. Sauf que le meilleur pour Bart De Wever n’est évidemment pas le meilleur pour Elio Di Rupo, Joëlle Milquet ou Jean-Michel Javaux. Puis, ce week-end, Johan Vande Lanotte vérifiera "dans quelle mesure il est possible de concilier les aspirations de chaque parti dans un modèle global unique" . Louable effort, évidemment. Mais dans tous les partis, on est extrêmement dubitatif. Est-il réellement possible de dégager un et un seul modèle qui convienne à tous ? Le sentiment est que Johan Vande Lanotte prendra ses responsabilités et tentera de dégager un modèle consensuel. Mais vu ce qui s’est passé pendant les 5 derniers mois, on peut craindre que ce modèle aura bien du mal à passer la rampe dans tous les partis. S’il se rapproche trop du modèle de la N-VA, il sera rejeté par les francophones. S’il est trop proche des propositions francophones, il sera rejeté par les Flamands, voire par la seule N-VA.

6 Est-il réellement possible de dégager un modèle unique de financement ?

C’est LA question. Car tant que cette problématique n’est pas réglée, il ne sera pas possible d’aborder les autres chapitres : transferts de compétences et Bruxelles-Hal-Vilvorde. Et admettons même, dans la meilleure des meilleures hypothèses, que Johan Vande Lanotte dégage un consensus sur ces trois thèmes (financement, compétence et BHV), il restera encore tout le volet socio-économique. Et sur tous ces dossiers, la N-VA dit et redit qu’elle est bien plus proche des thèses libérales du MR et du VLD (absents des négociations) que des options socialistes, démocrates-chrétiennes ou écolos Ceci, sans parler encore des 22 milliards d’économie que la Belgique aurait déjà dû identifier comme la plupart de ses voisins européens. Car, pour l’instant, la Belgique vit toujours comme s’il n’y avait pas de crise économique. Or, plus on attend pour définir ce plan d’austérité ou de rigueur, plus la facture sera difficile à apurer. Car ce n’est plus sur quatre ans qu’il faudra étaler ces efforts, mais bien sur trois ans. Et sur ce plan-là aussi, la N-VA se distingue : elle veut 70 % d’économies et 30 % de recettes nouvelles là où, dans d’autres partis, on est plutôt partisan d’un 50-50. Donc, on n’est pas du tout certain que Johan Vande Lanotte va réussir.

7 Elio Di Rupo peut-il encore être Premier ministre ?

C’est la question qu’il ne faut pas poser au PS Pourquoi ? Parce que, comme on l’a vu, on est encore à des années lumière de cette hypothèse et de la perspective d’un accord global. Pour l’instant, les forces socialistes sont concentrées, non sur le casting d’un éventuel gouvernement "papillon", mais bien sur la négociation. Cela ne signifie évidemment pas qu’Elio Di Rupo a renoncé à la possible consécration de sa carrière politique. Lors de sa dernière intervention télévisée, à RTL, on a bien senti qu’il s’était remis dans la peau d’un "premier ministrable" et un peu moins dans celle d’un chef de parti. Alors, Elio au 16 en cas d’accord ? Il y a quand même un bémol. Voire deux.
Un : les partis flamands, le CD&V, par exemple, a peu apprécié qu’il agite l’idée d’un plan B, sous la forme d’une Belgique résiduelle. Sa stature d’homme d’Etat y a pris un coup au nord du pays.
Deux : plus loin Johan Vande Lanotte ira dans la négociation d’un éventuel accord, plus Elio Di Rupo apparaîtra, non pas comme le véritable architecte, mais comme le notaire d’un accord qu’il aura cautionné. Avec le risque d’instabilité d’un gouvernement dirigé par quelqu’un qui n’aurait pas vraiment négocié le programme. Ça, c’est ce que l’on pense en Flandre. Car, chez les francophones, l’impression est autre : même si Johan Vande Lanotte gère la négociation institutionnelle, c’est bien à Elio Di Rupo qu’incombera la toute aussi délicate négociation sur les autres dossiers (asile, immigration), sur les volets socio-économiques, de même que la préparation du budget 2011. Donc si Di Rupo arrive au 16, il sera bien le patron, assure-t-on.

8 Et si Johan Vande Lanotte échoue ?

Là, c’est évidemment le tout gros point d’interrogation A intervalles réguliers, la N-VA agite le spectre de nouvelles élections. "Si aucune perspective d’accord politique n’apparaît d’ici le 12 novembre, il y aura probablement de nouvelles élections " , avait dit Siegfried Bracke, le numéro 2 de la N-VA, le 30 octobre dernier. Il faut bien se rendre intéressant sur les plateaux de télévision Mais est-on si sûr que la N-VA sortirait renforcée d’un nouveau scrutin ? Certains pensent que, plus le temps passe, plus la N-VA risque de perdre des plumes. Car Bart De Wever se retrouvera tout nu devant l’électeur : pas le moindre accord, pas la moindre révolution copernicienne telle qu’il l’avait promise. Il aura beau dire : "C’est à cause des francophones " Il n’aurait pas fait mieux qu’Yves Leterme. De toute façon, il faut bien en être conscient : des élections ne résoudraient rien. Car, même avec des rapports de force modifiés, on retrouverait, après ce scrutin, les mêmes partis face aux mêmes problèmes. Le Palais, dit-on aussi, y est farouchement opposé.

9 N’y a-t-il pas d’autres perspectives, en cas d’échec de Johan Vande Lanotte ?

Si, bien sûr. On peut encore et toujours prolonger le gouvernement en affaires courantes d’Yves Leterme, voire en faire un gouvernement de plein exercice. Problème : le VLD refuse. On peut aussi constituer un gouvernement de transition, comme on le fit il y a quatre ans, avec Guy Verhofstadt. Mais il ne semble pas y avoir de consensus sur ce procédé. Et Guy Verhofstadt n’est plus disponible. Un gouvernement de transition avec Johan Vande Lanotte à sa tête ? Ce ne serait pas une mauvaise idée. Mais mardi, le même Vande Lanotte a dit : " S’il n’y a pas de perspective, autant jeter l’éponge " Donc cela ne semble pas être une perspective pour lui. Et les libéraux, ne peuvent-ils dépanner ? Oui, peut-être. Mais, là encore, il y a des difficultés : les partis francophones ne souhaitent pas les associer. Et le VLD préfère, lui, aller dans l’opposition. Cela dit, il ne faut jamais dire jamais. Surtout pas en politique.

10 Que conclure de tout ceci ?

Deux choses : il n’y aura sans doute pas d’accord cette année. Il n’y aura pas de nouvelles élections cette année. Si vraiment des élections devaient être décidées, elles ne le seraient qu’en février ou mars. Il y aurait alors quasiment un an que la campagne électorale a été lancée.

Savoir Plus

Un modèle unique

Entretiens. Le conciliateur, Johan Vande Lanotte (SP.A) a entamé sa série d’entretiens bilatéraux en recevant, mercredi, une délégation de la N-VA conduite par son président Bart De Wever. La rencontre a débuté en fin d’après-midi et devrait se prolonger dans la soirée.
L’objectif est de connaître le point de vue des partis sur certaines des propositions soumises à simulation, cela en vue "de préciser les points de rapprochement possibles" et "de mieux tracer les contours d’un éventuel accord". Chaque entretien aura une durée d’environ quatre heures.
A l’issue des entretiens qu’il aura avec les délégations de chacun des 7 partis, il vérifiera, dimanche et lundi, dans quelle mesure il est possible de conciliations les aspirations de chaque parti dans un modèle global unique. Si nécessaire, il sera fait appel, à nouveau, à la Banque nationale et au Bureau du Plan pour réaliser de nouvelles simulations au départ de ce modèle global unique.


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MessageSujet: Re: J + 158 : analyse de la crise politique   J + 158 : analyse de la crise politique EmptyJeu 18 Nov 2010, 11:08 am

Merci Stans, pour la diffusion de ce texte qui pose bien les difficultés et les enjeux.

Mais je me demande à quoi sert tout cela.
Lorsque dans un état, un pays, une communauté stigmatise et ostracise l'autre, lorsque l'impôt est utilisé comme un moyen d'appauvrissement et d'assujettissement de la population (situation rencontrée à BXL avec la question des navetteurs), lorsque la vie quotidienne démontre à l'envi le rejet, justifié ou non, non pas d'une classe sociale, mais d'une communauté par l'autre, le démembrement n'est jamais très loin. Voir son pays partir ainsi à vau-l'eau doit être une épreuve traumatisante pour ceux qui s'y identifient . J'imagine assez facilement le déchirement que la constatation de ce blocage doit provoquer chez nombre de personnes (Voir Arno, par exemple, ce qui le rendrait plutôt sympathique à mes yeux, en dépit de son blocage)

Ce qui est inquiétant, c'est que de gros nuages pointent à l'horizon pour ce pays fait de bric et de broc qu'est la Belgique. Ils s'appellent sanction des marchés obligataires, crise de la dette souveraine, déclassement du pays, instabilité chronique. Le pire n'est jamais sûr, certes, mais il me paraît bien engagé, alors que la solution raisonnable est à portée de main.
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MessageSujet: Re: J + 158 : analyse de la crise politique   J + 158 : analyse de la crise politique EmptyJeu 18 Nov 2010, 3:34 pm

A mon avis, tout ceci ne sert qu'à jouer les prolongations jusqu'à la fin de l'année pour 2 raisons : achever la présidence belge de l'UE et éviter de convoquer des élections dans 40 jours çàd à Noël. L'électorat serait furieux et seuls les militants célibataires sans famille seraient mobilisables en une telle période !
Je prévois début 2011 le grand retour des questions existentielles (BHV, plan B ...) et des élections en février-mars avec pour thème unique l'avenir des Francophones (des Flamands pour les partis flamands). En espérant que le citoyen moyen aura retenu les leçons de ces mois de négociations pour rien et les traîtrises successives de l'olivier.
On dirait que oui car malgré l'inertie de l'actualité du moment, le FDF n'a jamais connu autant d'adhésions en si peu de temps, par centaines ! Very Happy

Les paroles creuses de Vande Lanotte mardi n'ont convaincu personne, même pas les analystes politiques de la RTBF ! Quand on doit construire un projet de compromis entre 7 partis en cachant à chaque parti les modèles des autres pour que personne ne puisse mesurer les concessions des uns et des autres dans le résultat final, autant dire que c'est l'échec. Une méthode pareille ne va pas ramener la confiance entre les partenaires, que du contraire !
De plus, il est vital pour les Francophones qu'aucun accord n'aboutisse car comme je le pressentais, les experts mandatés pour modifier les modèles du bureau du plan et de la banque nationale sont inféodés aux partis, soit aux partis flamands, soit aux partis francophones de l'olivier prêts à poursuivre l'appauvrissement institutionnel des Wallons et des Bruxellois.
Et ils n'ont même pas encore abordé les sujets qui fâchent vraiment : BHV, le refinancement de Bruxelles. Les 7 partis ne se sont pas vus en plénière depuis ... le 3 septembre !!

L'interview d'Etienne de Callataïe Callatäy dans le Soir est éclairante :
http://www.lesoir.be/actualite/belgique/elections_2010/2010-11-18/johan-vande-lanotte-peut-reussir-804018.php
Il prône un modèle souple, évolutif dans le temps selon des critères flous: la voie royale pour une loi de financement 100% favorable à la Flandre après 1 an ou 2, quand tout le monde aura les yeux tournés ailleurs et puis les gens se demanderont pourquoi ils n'ont plus rien dans leur portefeuille !
Soi-disant le blocage n'est pas une option, mais si au contraire, que les Francophones se libèrent enfin !!
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MessageSujet: election au printemps pour une nouvelle belgique   J + 158 : analyse de la crise politique EmptyVen 19 Nov 2010, 6:35 pm

cela est déjà prevu ,nous arrivons aux fêtes de fin d'année ensuite nouvel an fin de la representation belgique UE debut nouvelle elections belges pour un remaniement tres important de la gestion de notre belgique.
Vu l'ambiance qui regne dans la zone buxelloise avec un pessimisme important surtout du cote du personnel politiques la region est partiquement en perte de vitesse normal manque de fond pour regler dette publiques etc...
je pense qu'une confederation entre les deux communes sera envisagé sans demander l'avis au gouvernement bruxellois
vu le peu de manifestation pour la defense de cette region elle est déjà perdue voir l'absence de son president dans les negociations importantes de la belgique
celui ci est un homme de paille pour les deux regions et oui di ruppo et bard defendent leurs places ...
dommage que le president de la region bruxelloise n'a pas assez de courage pour s'affronter avec les autres il faudrait mobiliser toute la region pour ne pas que celle ci disparait
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MessageSujet: Re: J + 158 : analyse de la crise politique   J + 158 : analyse de la crise politique EmptyVen 19 Nov 2010, 11:42 pm

Merci à toi Stans pour ce questions-réponses ! C'est beaucoup + compréhensible ainsi sunny
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MessageSujet: Re: J + 158 : analyse de la crise politique   J + 158 : analyse de la crise politique Empty

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