La police fait fermer les « mosquées » clandestines

PHILIPPE DE VILLIERS avait allumé la mèche avec son livre au titre provocateur : « les Mosquées de Roissy ».

Le patron du Mouvement pour la France dénonçait l'infiltration islamiste de l'aéroport parisien.

Trois mois plus tard, le ministère de l'Intérieur peut se targuer d'avoir fait le ménage : selon un pointage effectué hier au cabinet de Nicolas Sarkozy, il n'y a plus de salles de prière clandestines sur la plate-forme de Roissy, alors qu'une trentaine de lieux de culte « sauvages » avaient été recensés.

La dernière salle de prière clandestine, utilisée par les employés d'une société de manutention, a été fermée le 7 juillet. Le local a été restitué à Aéroports de Paris. « Ces opérations se sont déroulées dans la durée, souligne un haut responsable de l'aéroport.

Nous avons expliqué aux entreprises qu'elles devaient respecter l'usage prévu des locaux dans le cahier des charges. » Les musulmans ont à leur disposition quatre lieux de culte officiels à Roissy, un cinquième sera ouvert à l'occasion de la reconstruction du terminal 2E. « Etat laïc »

La situation était plus préoccupante à l'aéroport d'Orly. Le 17 juillet, cinq salles de prière illégales fonctionnaient toujours sur la plate-forme. Dans un premier temps, Aéroports de Paris a demandé le retrait de tous les objets et signes religieux dans deux lieux de culte. Selon un haut fonctionnaire, les responsables des sociétés de services aéroportuaires (nettoyage, restauration, manutention, sûreté...) concernées hésitaient à fermer ces lieux par crainte des conflits sociaux : « Parfois, les meneurs islamistes sont des dirigeants syndicaux, souligne un enquêteur, c'est une manière pour les entreprises d'acheter la tranquillité. »

La préfecture du Val-de-Marne a dû, par courrier, rappeler les obligations des entreprises : « Dans un Etat laïc, toute forme de prosélytisme religieux sur le lieu de travail est prohibée ».

Les pouvoirs publics ont également fait valoir que la situation pouvait mener à un retrait de l'habilitation pour des raisons de sûreté de la plate-forme. Une démarche qui a permis de convaincre les derniers récalcitrants. Le 18 juillet, quatre des cinq derniers lieux clandestins ont été fermés. La dernière salle de prière a été fermée hier.

Comme quoi quand on appuie ou ça fait mal ça finit par payer
Mais qu'en seras til si les collabos de gauche prennent le pouvoir et ferme les yeux sur toutes ces tentatives d'islamiser le pays en bafouant les lois les plus élémentaires . On a une idée des dégats si les français ne profitent pas pour stopper tous ces irresponsbales au prochaines échéances électorales .

Au moins le livre de Ph. de VILLIERS aura eu des effets positifs !

C'est une bonne nouvelle et en même temps un terrible aveu : il est maintenant avéré (mais je n'en doutais pas) que l'islamisation de la France n'est pas une menace chimérique.

Silence écrasant des médias, après l'émoi qu'avait provoqué la publication des Mosquées de Roissy, et les tentatives maladroites de démenti faites alors par les autorités (in)compétentes.

Un bémol cependant : les musulmans connus des RG travaillent toujours dans les sociétés de manutention des aéroports de Roissy et d'Orly, et y disposent toujours d'un nombre confortable de mosquées "officielles".

Au fait, que serait-il advenu si Philippe de Villiers n'avait pas dénoncé cette situation ?

VINCENT a écrit:

Au fait, que serait-il advenu si Philippe de Villiers n'avait pas dénoncé cette situation ?

Pourquoi ce devait être lui et non les RG qui auraient du faire leur boulot !