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| La fin du Leader Maximo ? (Fidel CASTRO) | |
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Stans Fondateur
Nombre de messages : 16069 Age : 72 Localisation : Bruxelles - Département de la Dyle Langue : français Emploi/loisirs : histoire, politique Date d'inscription : 10/03/2006
| Sujet: La fin du Leader Maximo ? (Fidel CASTRO) Mar 01 Aoû 2006, 11:11 pm | |
| Source : http://fr.news.yahoo.com/01082006/290/l-operation-de-fidel-castro-brise-le-tabou-sur-sa.html mardi 1 aout 2006, 17h17 L'opération de Fidel Castro brise le tabou sur sa succession - Citation :
- LA HAVANE (Reuters) - La décision de Fidel Castro de déléguer pour la première fois ses pouvoirs à son frère Raul en raison de son état de santé contraint ses partisans comme ses adversaires à envisager l'imminence d'un changement à la tête du régime communiste caraïbe.
Le "Lider maximo" aura 80 ans dans 12 jours. Ces derniers temps, pas un mois ne s'écoulait sans que des rumeurs sur sa mort ne courent. Aujourd'hui, le tabou de sa succession est définitivement brisé.
Les dirigeants cubains ont déjà commencé à la préparer en renforçant le Parti communiste tandis que Raul Castro, dauphin désigné et plus jeune frère de Fidel, a commencé à apparaître plus souvent publiquement.
Implacables adversaires du régime communiste cubain, les Etats-Unis ont de leur côté renforcé les sanctions contre le régime castriste et accru leur soutien aux dissidents cubains en espérant torpiller les plans de succession du PCC.
Mais Washington et les opposants au régime, principalement regroupés dans la communauté exilée de Miami, pourraient déchanter s'ils espèrent un effondrement rapide du système communiste castriste.
Celui-ci, après avoir survécu à l'éclatement du grand allié soviétique, a réussi à soulager son économie délabrée en obtenant l'aide financière de son allié vénézuélien Hugo Chavez et des crédits chinois à bon marché.
Et, dans le même temps, rien de ce qui pourrait être comparé à la "glasnost" ou à la "perestroïka" de l'URSS des années 1990 ne point à Cuba.
De cinq ans le cadet de Fidel, Raul Castro, ministre de la Défense depuis des décennies, tient fermement en main les 50.000 hommes de l'armée, qui, elle-même, contrôle étroitement la police.
En juin dernier, il avait laissé entendre qu'une direction collégiale pourrait succéder au leadership de son frère, dont il n'a pas le charisme: "Seul le Parti communiste peut être le digne héritier de la confiance que les Cubains ont placée dans leur chef."
"PRESENCE TITANESQUE"
"C'est comme cela que ce sera, et nous pouvons donc continuer à crier à la face de l'Empire: 'Viva Cuba libre!'", s'était-il exclamé lors d'une allocution devant des officiers, faisant allusion aux Etats-Unis.
La plupart des observateurs s'accordent en tout cas à estimer que Raul Castro jouera un rôle crucial, dans les premiers temps de la transition, pour assurer la stabilité du régime.
Brian Latell, ancien analyste de la CIA qui a suivi l'évolution de la situation à Cuba durant des décennies, croit que Raul Castro émergera comme nouveau "Lider maximo" avec l'appui de l'armée.
Latell voit bien cet ancien communiste orthodoxe devenu pragmatique continuer à museler toute opposition tout en introduisant des réformes de l'économie, un peu à la manière chinoise.
"Raul tient les militaires, il tient le Minint (Intérieur), il tient une grosse partie de l'économie et il est en train d'asseoir sa prédominance au sein du Parti par le biais du secrétariat", souligne Latell, auteur d'un ouvrage intitulé "Après Fidel".
Les analystes ne savent pas trop comment les 11 millions de Cubains réagiront à la disparition de Fidel Castro. Seront-ils pétrifiés ou bondiront-ils de joie?
Deux Cubains sur trois sont nés après la Révolution castriste de 1959 et n'ont donc connu aucun autre système politique que le communisme.
L'opposant cubain en vue Oswaldo Paya estime que la plupart de ses compatriotes, las des difficultés quotidiennes et de l'absence de libertés, ne toléreront pas que le communisme se perpétue.
Bien qu'avocat d'une transition en douceur vers la démocratie, il craint des violences.
Latell ne s'attend pas, lui, à des troubles et il pense que le régime gérera sans problème majeur l'immédiat après-castrisme.
Mais, prédit-il, "cela va être dur pour ses successeurs, parce qu'ils vont devoir faire de l'équilibrisme sans la présence titanesque de Fidel". | |
| | | Stans Fondateur
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| Sujet: Le Commandante Fidel CASTRO en train de mourir ? Ven 15 Déc 2006, 9:19 pm | |
| Source : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/ameriques/20061215.OBS3101/selon_les_usa_castro_est_proche_de_la_mort.html Selon les États-Unis d'Amérique, Castro est proche de la mort| 15.12.2006 | 14:02 - Citation :
- Cette annonce émane du chef du renseignement américain, quelques jours après que les Etats-Unis ont refusé de renouer le dialogue avec Cuba.
(c) Reuters Lors d'une rencontre avec les rédacteurs et les journalistes du Washington Post, John Negroponte, le directeur du renseignement national américain a affirmé que le leader cubain Fidel Castro était très malade et proche de la mort, rapporte vendredi 15 décembre le quotidien. "Tout ce que nous voyons indique que ça ne va pas durer beaucoup plus longtemps… des mois, pas des années", a déclaré John Negroponte, sans toutefois fournir aucun élément pour étayer ses assertions. Refus de négociations Le quotidien rappelle que l'administration Bush a refusé cette semaine de renouer des relations avec Cuba, rejetant ainsi la main tendue par Raul Castro lors d'une cérémonie nationale le 2 décembre dernier. Le secrétaire d'Etat adjoint Thomas Shannon a indiqué que le gouvernement américain ne négocierait avec le régime cubain que lorsque ce dernier ferait preuve de son engagement pour la démocratie. Depuis le 31 juillet dernier, le président cubain a confié le pouvoir à son frère Raul, quatre jours après une opération d'une hémorragie intestinale d'origine inconnue. Sa dernière apparition publique remonte au 26 juillet. Il est soigné dans un lieu tenu secret. | |
| | | Stans Fondateur
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| Sujet: Re: La fin du Leader Maximo ? (Fidel CASTRO) Sam 23 Déc 2006, 6:30 pm | |
| Source : http://news.fr.msn.com/Article.aspx?cp-documentid=1767240 AFP - samedi 23 décembre 2006, 14h53 L'après Castro s'installe en douceur à Cuba - Citation :
- Le parlement cubain s'est réuni en l'absence de Fidel Castro, souffrant depuis près de cinq mois, et sous la direction de son successeur désigné, son frère Raul, signe que l'après-Fidel s'installe en douceur à Cuba.
Les Cubains, nombreux, qui attendaient de la réunion de leur parlement vendredi des nouvelles de leur unique chef d'Etat sur près d'un demi-siècle, en ont été pour leurs frais : de Fidel Castro , il n'a pas été question ou presque. Mais le style de son frère Raul s'est imposé, et, s'il surprend, il n'est pas pour leur déplaire. Expédiée en moins de huit heures, la session d'hiver de l'Assemblée nationale du pouvoir populaire (ANPP), pourtant convoquée à un moment historique puisque Cuba est quasiment sans nouvelles depuis près de trois mois du fondateur du régime, a voté au pas de charge le budget 2007. Tout en tirant à boulets rouges sur l'"indiscipline" au travail des Cubains et en vantant les prouesses d'une économie qui tournerait avec une croissance annuelle de 12,5%. Mais ni son frère Raul, chef de l'Etat par intérim depuis le 31 juillet, ni le président du Parlement Ricardo Alarcon n'ont fait la moindre allusion au sort du "père de la révolution" qui, pour reprendre les termes utilisés la semaine dernière par son ami le président vénézuélien Hugo Chavez, "livre une grande bataille" contre la maladie depuis bientôt cinq mois. Seul véritable "cri d'amour", une responsable régionale, Luz Marda Arrieta, a lancé au grand absent de la journée, d'après un extrait des interventions à huis clos sélectionné par la télévision d'Etat en soirée : "nous sommes des milliers chaque soir à te souhaiter du fond du coeur que tu te réveilles bien. Nous sommes des milliers animés de l'envie indescriptible de te chausser tes pantoufles et de t'offrir une tasse de bouillon". Jovial, concis, Raul Castro, dans son uniforme de général, n'a eu manifestement aucune peine à s'imposer aux 522 députés du "pouvoir populaire" présents, en dépit du fauteuil vide à sa droite, celui de son frère absent à la tribune. A 75 ans, le ministre de la Défense fait de plus en plus figure de successeur en place, notamment depuis son discours du 2 décembre, dans lequel il n'avait pas hésité à inviter Washington à la table de négociations. Et à la veille de la session parlementaire, il a semblé enfoncer le clou en appelant, devant un congrès d'étudiants, à ne plus craindre les "divergences". "Le camarade Raul nous a exhortés à développer le débat, sans avoir peur", a repris un député vendredi en entamant son intervention, pourtant nullement "divergente". Depuis 1959, la vie politique cubaine est entièrement dominée par le personnage de Fidel Castro, véritable "statue du Commandeur", que seuls de rares intimes pouvaient se permettre de contredire, de préférence en privé. "Rien ! Ils ne nous ont rien dit ! On ne sait toujours pas si Fidel est vivant ou mort !", pestait vendredi soir un sexagénaire cubain, frustré comme beaucoup de ses compatriotes qui attendaient un message, voire même une vidéo, du chef de l'Etat, et, à tout le moins, que "Raul" leur parle de "Fidel". En privé, les Cubains, dont sept sur dix n'ont eu au cours de leur vie d'autre président, se réjouissent toutefois de la concision du cadet des frères Castro, qui tranche sur les discours-fleuve de son frère. Les dernières nouvelles du "père de la révolution" leur sont parvenues la semaine dernière, bien indirectement, d'Hugo Chavez, via la presse officielle. Granma, l'organe du régime, avait rapporté que le président vénézuélien avait été appelé deux fois jeudi au téléphone par Fidel Castro, pour parler notamment d'acier produit en commun. Le dernier "clip" de Fidel Castro, le 28 octobre, avait laissé une population inquiète face aux images d'un octogénaire affaibli, peinant à convaincre devant la caméra de la bonne marche de sa convalescence. Entre le lourd silence officiel sur la maladie du chef de l'Etat et la jovialité affichée de son successeur, Cuba s'interroge plus que jamais sur ce que lui réserve l'année 2007. | |
| | | Stans Fondateur
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| Sujet: Sans son ni image, Castro présente ses voeux ! Mer 03 Jan 2007, 4:27 pm | |
| Source : http://www.lefigaro.fr/international/20070101.FIG000000208_sans_son_ni_image_fidel_castro_presente_ses_voeux_aux_cubains.html Sans son ni image, Castro présente ses voeux - LAMIA OUALALOU. Publié le 01 janvier 2007Actualisé le 01 janvier 2007 : 08h29 Le Lider Maximo a fait dire à la radio qu'il était loin d'être mort. - Citation :
- PRATIQUEMENT deux mois après être apparu, particulièrement affaibli, à la télévision cubaine, Fidel Castro a fait lire, avant-hier, un communiqué à la radio, où il formule ses voeux de Nouvel An à ses compatriotes. Aucune image du Lider Maximo n'a pourtant été diffusée, et ce n'est pas lui qui a lu sur les ondes ce discours de fin d'année, une tradition depuis quarante-sept ans, qui commémore aussi le début de la Révolution, le 1er janvier 1959. Absent de la scène publique depuis le 31 juillet, après avoir cédé temporairement le pouvoir à son frère Raul suite à une hémorragie intestinale, Fidel Castro rappelle que sa « convalescence serait un long processus, mais c'est loin d'être une bataille perdue ». Remerciant le peuple cubain, le président âgé, qui a fêté en août ses 80 ans, a assuré « se tenir au courant des principaux événements et des informations ».
Infarctus mésentérique La semaine dernière, le médecin espagnol Jose Luis Garcia Sabrido, un chirurgien reconnu appelé au chevet de Fidel Castro, a annoncé lors d'une conférence de presse que le président cubain ne souffrait pas d'un cancer démentant les propos tenus le 15 décembre par le chef du renseignement américain John Negroponte. Plusieurs spécialistes estiment que Fidel Castro aurait souffert cet été d'un infarctus mésentérique, une infection grave des intestins, à l'issue souvent fatale. Empêchant pratiquement le patient de s'alimenter, cette maladie provoque un amaigrissement spectaculaire qui pourrait expliquer l'interruption de la diffusion de photos du président dans la presse. Elle n'atteindrait pas en revanche les capacités mentales du malade. La semaine dernière, le médecin espagnol a estimé que Fidel Castro pourrait même reprendre les rênes du pouvoir. La réalité semble toutefois contredire cette éventualité. Son plus proche allié sur la scène internationale, le président vénézuélien Hugo Chavez, a reconnu que Fidel Castro menait « une grande bataille » contre une maladie « très grave ». Depuis le mois d'août, Raul Castro s'est d'ailleurs discrètement, mais sûrement, imposé à la tête de l'État, en plaçant ses hommes aux postes stratégiques. | |
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