|
| Juan Diego et la Vierge du Mexique : un miracle inexpliqué ! | |
| | Auteur | Message |
---|
Stans Fondateur
Nombre de messages : 16069 Age : 72 Localisation : Bruxelles - Département de la Dyle Langue : français Emploi/loisirs : histoire, politique Date d'inscription : 10/03/2006
| Sujet: Juan Diego et la Vierge du Mexique : un miracle inexpliqué ! Jeu 23 Mar 2006, 10:07 pm | |
| Source : http://www.sancta.org/juandiego_f.html - Citation :
- Le Bienheureux Juan Diego, un modèle d’humilité
En avril 1990, Juan Diego est déclaré Bienheureux par le pape Jean Paul II au Vatican. Le mois suivant, à la Basilique de Guadalupe à Mexico, durant sa deuxième visite au sanctuaire, Jean Paul II procéde à la cérémonie de béatification. Qui était ce Juan Diego? La plupart des historiens s’accordent à dire que Juan Diego naquit en 1474 au calpulli ou quartier de Tlayacac dans le Cuautitlan qui fut établi en 1168 par les membres de la tribu des Nahua et conquis par le Chef Aztèque Axayacati en 1467; Ce quartier se trouve à vingt kilomètres au nord de Tenochtitlan (Mexico). Son nom d’origine est Cuauhtlatoazin, qui se traduit par “Quelqu’un qui parle comme un aigle” ou “un aigle qui parle”. Le Nican Mopohua le décrit comme un “macehualli” ou “pauvre Indien”, quelqu’un qui n’appartient à aucune des catégories sociales de l’Empire, tels que les prêtres, les guerriers, les marchands,… pas un esclave mais un membre de la classe la plus basse et la plus nombreuse de l’Empire Aztèque. En s’adressant à Notre Dame, il parle de lui-même comme de quelqu’un de rien, et se réfère à cette définition comme pour expliquer son manque de crédibilité aux yeux de l’évêque. Il se dévoue au dur labeur des champs et à la manufacture des nattes. Il possède un terrain avec une petite maison.. Il est heureux dans son ménage mais n’a pas d’enfant. Entre 1524 et 1525, il se convertit et est baptisé de même que sa femme, recevant le nom chrétien de Juan Diego alors que sa femme reçoit celui de Maria Lucia. Il est probablement baptisé par le missionnaire Franciscain, connu et aimé, Fray Toribia de Benavente, appelé “Motolinia” ou “le pauvre”, par les Indiens, en raison de sa grande bonté et sa piété. Selon la première enquête officielle faite par l’Eglise concernant les évènements, les ”Informaciones Guadalupanas” de 1666, Juan Diego est connu comme un homme religieux et très dévoué, même avant sa conversion. Il est un homme solitaire, de caractère mystique, porté aux accès de silence et à des pénitences fréquentes. Il avait l’habitude de marcher de son village à Tenochtitlan, situé à 14 miles de chez lui, pour s’instruire sur la doctrine. Sa femme Maria Lucia tomba malade et mourut en 1529. Juan Diego alla vivre, alors, avec son oncle Juan Bernardo à Tolpetlac qui était plus rapproché (9 miles) de l’église de Tlatelolco-Tenochtitlan. Il marchait plusieurs miles chaque samedi et chaque dimanche pour se rendre à l’église, partant très tôt le matin, avant l’aube, afin d’arriver à l’heure à la Messe et aux classes d’instruction religieuse. Il marchait pieds nus, comme tous ceux de sa classe, les macehualli. Seules les classes sociales plus élevées chez les Aztèques portaient des cactlis ou sandales, faites de fibres végétales ou de cuir. En ces matins frais, il portait couramment comme manteau un vêtement en toile de cactus au tissage lâche, un tilma ou ayate fait de fibres obtenus du cactus maguey. Le coton était utilisé seulement par les classes Aztèques aisées. Au cours d’une de ces marches vers Tenochtitlan, marche qui durait environ trois heures et demie entre les villages et les montagnes, la Premiere apparition eut lieu (Voir La page des Apparitions) à un endroit connu sous le nom de “Capilla del Cerrito” là où la Bienheureuse Vierge Marie lui adressa la parole en sa langue, Nahuatl. Ellel’appela “Juanito, Juan Dieguito “, “le plus humble de mes fils”, “le dernier de mes fils”, “mon petit chéri”. Il était âgé de 57 ans, un âge certainement avancé à une époque et en un lieu où l’espérance de vie des hommes était à peine de 40 ans. Après le miracle de Guadalupe, Juan Diego , après avoir laissé ses affaires et sa propriété à son oncle, emménagea dans une chambre près de la chapelle où se trouve l’image sacrée; il consacra la fin de sa vie à propager le récit des apparitions à ses concitoyens. Il mourut le 30 Mai, 1548 à l’âge de 74 ans. Juan Diego aimait profondément l’Eucharistie, et par une permission spéciale de l’évêque, il reçut la communion trois fois par semaine, un fait très peu courant à cette époque. Le pape Jean Paul fit l’éloge de Juan Diego pour sa foi simple, nourrie de la catéchèse et le décrivit (lui qui disait à la Bienheureuse Vierge Marie “Je ne suis rien, je suis une petite ficelle, une minuscule échelle, une queue, une feuille”) comme un modèle d’humilité pourtous les hommes. | |
| | | Stans Fondateur
Nombre de messages : 16069 Age : 72 Localisation : Bruxelles - Département de la Dyle Langue : français Emploi/loisirs : histoire, politique Date d'inscription : 10/03/2006
| Sujet: Re: Juan Diego et la Vierge du Mexique : un miracle inexpliqué ! Jeu 23 Mar 2006, 10:08 pm | |
| Source : http://www.outre-vie.com/temoins/guadalupe/guadalupe.htm - Citation :
- Notre Dame de Guadalupe
L' histoire
Le récit des cinq apparitions de la Vierge a été rédigé en 1545 par Antonio Valeriano (v. 1520-1605), Indien lui-même, professeur au Collège de Santa Cruz Tlaltelolco Mais il faudra attendre l'époque moderne et les progrès de la science, en particulier dans le domaine de l'optique pour percevoir le prodige que constitue l'image de la Vierge exposée depuis quatre siècles dans le sanctuaire de Guadalupe. Un samedi, 9 décembre 1531, un pieux Indien du nom de Juan Diego se rendait de son village à Mexico pour y satisfaire sa dévotion. Comme il passait au pied du Tepeyac, la plus haute des collines qui entourent la ville, il entendit tout à coup une musique céleste descendre jusqu'à lui. Irrésistiblement attiré vers le sommet de la colline, il en fait l'ascension et dans une lumière resplendissante bordée d'un iris aux plus vives couleurs, il aperçoit une Dame incomparablement belle, souriante et radieuse de bonté: "Juan, Mon fils bien-aimé, dit l'Apparition, où vas-tu? - Madame, je vais à Mexico entendre la messe en l'honneur de la Vierge. - Ta dévotion M'est agréable, reprit l'Inconnue; Je suis cette Vierge, Mère de Dieu. Je désire que l'on Me bâtisse ici un temple magnifique d'où Je répandrai Mes faveurs et ferai voir Ma compassion envers tous ceux qui M'invoqueront avec confiance. Va trouver l'évêque de Mexico pour l'instruire de Ma volonté." Juan Diego se hâte de transmettre le message, mais le prélat le prend pour un illuminé et le congédie. Diego retourne au Tepeyac, y retrouve la Très Sainte Vierge qui le renvoie une seconde fois auprès de l'évêque. Cette fois, on lui ménage meilleur accueil, mais l'ecclésiastique exige quelque témoignage certain de la volonté du ciel. Le dix décembre, Juan Diego revoit la Vierge qui promet le signe demandé pour le lendemain, mais Diego passe toute cette journée là auprès de son oncle gravement malade. Le douze décembre, pressé de trouver un prêtre à Mexico pour administrer les derniers sacrements au moribond, Diego passe rapidement devant la colline, mais au détour de la route, il se trouve subitement en présence de l'Apparition. "Ton oncle est guéri, dit la Très Sainte Vierge, va au haut de la colline cueillir des roses que tu donneras à l'évêque de Mexico."
Ce n'était point la saison des fleurs et jamais la roche nue du Tepeyac n'avait produit de roses. L'humble paysan obéit néanmoins sans hésiter et trouva un merveilleux parterre de roses fraîches au sommet du monticule. Il en cueillit une brassée, et les tenant cachées sous son manteau, il s'achemina vers l'évêché. Lorsque Juan Diego fut introduit devant le prélat, deux miracles au lieu d'un frappèrent les yeux de l'évêque stupéfait: la gerbe de roses vermeilles et l'image de l'Apparition peinte à l'insu de Diego sur l'envers de son paletot. Aussitôt que leurs yeux rencontrèrent l'image bénie de la Sainte Vierge, tous les témoins du prodige tombèrent à genoux, muets de joie, sans pouvoir faire autre chose que d'admirer la beauté surhumaine de leur Mère du ciel. Se relevant, l'évêque enlève le manteau des épaules du pieux Mexicain et l'expose dans sa chapelle en attendant d'élever un sanctuaire qui puisse renfermer cette relique sacrée. Tous les habitants la ville se rassemblèrent à l'évêché pour honorer l'image miraculeuse que Marie Elle-même venait de léguer si gracieusement à Ses enfants de la terre. Le jour suivant, treize décembre, l'évêque de Mexico se rendit sur la colline de l'Apparition suivi d'un grand concours de peuple. Il voulait voir l'endroit exact où la Très Sainte Vierge S'était montrée à Son fils privilégié, Juan Diego. Ce dernier ne crut pas pouvoir le déterminer avec précision. Marie vint le tirer d'embarras par un nouveau miracle: une source jaillit soudainement, désignant le lieu précis de l'Apparition. Depuis, cette source n'a cessé de couler et d'opérer des guérisons miraculeuses. La Reine du Ciel Se montra une cinquième fois à Son humble serviteur et lui révéla le titre sous lequel Elle désirait être invoquée. "On M'appellera, dit-Elle: Notre-Dame de Guadalupe". Ce mot venu d'Espagne, mais d'origine arabe, signifie: Fleuve de Lumière. Conformément à la demande de la Mère de Dieu, on éleva une grandiose basilique sur la colline du Tepeyac où l'on vénéra la sainte image de Marie imprimée dans le manteau du voyant. La Tilma Une image non peinte La tilma était utilisée par Juan Diego comme un manteau, noué à son cou. Elle pouvait être roulée et attachée pour s’ajuster à la grandeur de son propriétaire. Le tissu de la tilma est rugueux et ne se prête pas à la peinture. Il ne s’y trouve aucun pigment et aucun coup de pinceau. Il n’y a aucune couleur dans les fibres de la tilma.
En 1936, Fritz Hahn, professeur à Mexico, prélève deux fibres de la "tilma": l'un rouge, l'autre jaune. Il les emporte en Allemagne pour expertise. Là, le Dr Richard Kuhn, prix Nobel et directeur du département de chimie du Kaiser Wilhelm Institut, aboutit à des la conclusion que les fibres ne contiennent aucun colorant connu, ni minéral, ni végétal, ni animal, ni, à plus forte raison, synthétique. Le Pape Pie XII a dit de la tilma : «Cette œuvre n’est pas de ce monde.» L’image de Notre Dame fut empreinte miraculeusement sur la tilma. Les experts de la firme Kodak à Mexico déclarèrent en 1963 que l’image paraissait comme une projection permanente de diapositive sur la tilma. Le 7 mai 1979, le Pr. Philip Serna Callahan et Jody Brant Smith se livrent à une étude de l'image aux rayons infrarouge. Les clichés révèlent les retouches faites à différentes époques à l'aide de pigments connus et à l'or, en particulier dans les galons: elles se craquellent avec le temps. Des arabesques ont été ajoutées sur le rose de la robe. Quant au double pan de la ceinture et au croissant de lune, ils sont simplement brunis par le temps: la peinture noire surajoutée se craquelle également. En somme, tous les ajouts postérieurs sont visibles, mais l'image primitive demeure inexpliquée Des yeux toujours vivants En 1929, Alfonso Marcue, qui était le photographe officiel de la basilique de Notre Dame de Guadalupe à Mexico, découvrit ce qui semblait être une image très claire d’un homme barbu dans l’œil droit de la Vierge. Au début, il ne pouvait pas croire ce qu’il voyait : comment était-ce possible ? Un homme avec une barbe dans les yeux de la Vierge ? Après l’inspection répétée de beaucoup de ses photos, il décida d’informer les autorités de la basilique. En 1951, un dessinateur, Charles Salinas Chavez, observe à la loupe une photo de l'image. Et soudain, dans la pupille de l'œil droit, il croit discerner la silhouette d'un buste d'homme. Il fait appel au Dr Rafael Lavoignet Torija, chirurgien, qui examine l'image directement, à cinq reprises, entre juillet 1956 et mai 1958. Son rapport est formel: on retrouve dans l'œil de la Vierge de Guadalupe l'image exacte, selon les lois découvertes par l'optique moderne, du buste d'un homme barbu qui devait se trouver à environ 40 centimètres de la pupille. Il semble que l'œil ait comme "photographié" la rencontre. Et la courbure de la cornée est étonnement semblable à celle que l'on observe in vivo. L'image du buste, selon un examen fait par le Dr Javier Torroella Bueno, présente elle aussi une déformation conforme aux lois de l'optique et de la photo. En somme, il semblerait que l'ayate de Juan Diego ait joué le rôle d'une plaque sensible et ait photographié la Vierge au moment où l'Indien lui-même se reflétait dans les yeux de la Vierge.
En 1956, cinq ophtalmologistes examinèrent les yeux de Notre Dame sur la tilma. Chacun déclara qu’il observait un œil humain, incluant la rétine où se reflétait l’image d’un homme aux mains étendues devant lui à la hauteur de la ceinture et dont les paumes tournées vers le haut portent quelque chose de rouge. C’est Juan Diego avec les roses dans ses mains. L’image dans la pupille démontre d’ailleurs une distorsion naturelle, causée par la courbure de l’œil de Marie. Des moyens nouveaux ont permis de découvrir par la suite, en plus de Juan le voyant, Mgr Zumarraga et son interprète. Ces personnes étaient présentes lorsque l’image de Notre Dame est apparue sur la tilma. La Madone était bien là - vivante et vrai - lors de l’ouverture du manteau de Juan et elle en laissa le reflet dans les pupilles de ses yeux, tout en s’imprimant sur la tilma à ce moment précis.
Mais une nouvelle et fascinante analyse des yeux commence en 1979, quand le Dr Jose Aste Tonsmann, Ph D, licencié de l'Université de Cornell, travaillant à IBM examine minutieusement avec des appareils à haute définition une très bonne photographie du visage sur le tilma prise de l'original. Après avoir filtré et développé les images numérisées des yeux pour éliminer les "parasites"et les agrandir, il fait quelques découvertes étonnantes ; Non seulement un "buste humain" est visiblement présent dans les deux yeux mais d'autres formes humaines y sont aussi reflétées. http://virgendeguadalupe.org.mx ( Le site officiel). | |
| | | Stans Fondateur
Nombre de messages : 16069 Age : 72 Localisation : Bruxelles - Département de la Dyle Langue : français Emploi/loisirs : histoire, politique Date d'inscription : 10/03/2006
| Sujet: Re: Juan Diego et la Vierge du Mexique : un miracle inexpliqué ! Dim 28 Mai 2006, 9:31 pm | |
| C'est un des miracles qui me semble le plus surprenant ! | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Juan Diego et la Vierge du Mexique : un miracle inexpliqué ! | |
| |
| | | | Juan Diego et la Vierge du Mexique : un miracle inexpliqué ! | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |