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 La chronique du samedi 6 février 2021 : la relance de l’économie en belgique par le gouvernement Vivaldi est-elle ambitieuse ?

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aigle gouvernant
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La chronique du samedi 6 février 2021 : la relance de l’économie en belgique par le gouvernement Vivaldi est-elle ambitieuse ? Empty
MessageSujet: La chronique du samedi 6 février 2021 : la relance de l’économie en belgique par le gouvernement Vivaldi est-elle ambitieuse ?   La chronique du samedi 6 février 2021 : la relance de l’économie en belgique par le gouvernement Vivaldi est-elle ambitieuse ? EmptyMar 09 Fév 2021, 1:18 pm

La chronique du samedi 6 février 2021 : la relance de l’économie en belgique par le gouvernement Vivaldi est-elle ambitieuse ?La chronique du samedi 6 février 2021 : la relance de l’économie en belgique par le gouvernement Vivaldi est-elle ambitieuse ?

Bonjour à toutes et tous , avec le prêt européen , distribué au fédéral et aux régions , est-ce que le plan de relance de notre économie est-il assez ambitieux ?

Pour les non initiés , c’est quoi un plan de relance ?
Une politique de relance ou plan de relance est un ensemble de mesures de politique économique visant à stimuler l'économie d'un pays lors d'une phase de creux. Une politique de relance s'effectue généralement par des dépenses publiques supplémentaires, ou la réduction de certains impôts. Elle mène à une dégradation du solde public.

Jusqu’ici ,vous me suivez ? Bien continuons : 1. Le plan de relance est-il suffisamment ambitieux?
Actuellement, la Belgique consacre environ 2% de son PIB à l’investissement public. Avec les 6 milliards d’euros d’aide européenne, on devrait passer à 3%. Mais les Pays-Bas, la France et le Royaume-Uni par exemple affichent déjà des ratios plus importants. L’accord de gouvernement, lui, contient l’engagement de porter l’investissement public à 3,5% du PIB en 2024 et 4% du PIB en 2030.
Nous considèrons que le volume des montants engagés constitue un débat somme toute accessoire. "Ce qui compte, c’est la qualité des projets et la qualité de la gouvernance pour accompagner ces projets." Au passage, nous tordons le cou à une idée reçue : "On ne reçoit pas comme ça de l’argent de l’Europe car, au bout du compte, c’est quand-même le contribuable qui paie.
Nous tablons aussi sur le fait que la Belgique, petite économie ouverte, pourra tirer parti des plans de relance initiés par ses grands voisins. "Si les Allemands viennent avec un bon plan de relance, cela aura sans doute autant d’impact sur l’économie belge que notre propre plan de relance", prédit-il.
D’un autre côté, nous nous demandons si la relance doit reposer entièrement sur les pouvoirs publics. "Prenons les 32 millions d’euros prévus pour la mise en place de bornes de recharge électrique. C’est un peu comme si au siècle dernier, on avait subventionné l’installation des pompes à essence. Le marché ne peut-il pas s’en charger? L’Etat doit avant tout encadrer, fixer des standards."

 L’après-crise, c'est important aussi
Je considère, aussi, que la dynamique publique poussera le secteur privé à prendre le relais, à condition toutefois que l’on garantisse un contexte favorable, en termes de sécurité juridique et de simplification administrative notamment. Et il regrette que les grandes réformes, qu’il s’agisse de la fiscalité, du marché du travail ou des pensions, soient aujourd'hui au point mort.

2. Le plan est-il pertinent et cohérent?

Pour ma part, tout ce qui est de nature à dynamiser le potentiel productif soutenable de notre économie devrait faire partie du plan de relance. À l’aune de ce critère, je juge que le Palais de Justice et le tram de Liège sont de mauvais dossiers, alors que les projets en matière de formation et d’expertise vont dans le bon sens. "Rénover le Palais de Justice se justifie au plan historique et patrimonial, mais pas dans le cadre d’un plan de relance. Cela fait penser aux fonds Feder où l’argent tombe du ciel et avec lequel on peut s’offrir quelques petits plaisirs. D’ailleurs, si la rénovation du Palais de Justice avait été quelque chose de vraiment important, on l’aurait déjà fait."
L’accent devrait, être positionné de la façon suivante: "C’est bien de rénover le bâti, c’est mieux de devenir des champions de la manière de rénover le bâti. Qu’on vienne se former en Belgique sur ce sujet, que notre expertise s’exporte, que nous développions des produits et services dans ce domaine, et les exportions."

Je juge, très positif le fait que la sélection parmi les projets se fasse par une instance externe, à savoir la Commission européenne. Cela évitera de politiser les dossiers. L’Europe se limitera à vérifier la rentabilité économique des projets. "Prenons la SNCB qui devrait recevoir de l’argent frais. Si on fait comme on a toujours fait en Belgique, c’est le dosage politique et communautaire qui l’emportera."
Il faut, que les fonds constituent un levier pour une meilleure gouvernance. "Généralement, on se soucie trop du volume des montants engagés, pas assez des process qui encadrent l’utilisation de cet argent. Ce saut qualitatif, c’est peut-être l’apport le plus important du plan de relance."

3. A-t-on maximisé les effets de levier?

La formation professionnelle et la recherche sont les deux domaines où les effets multiplicateurs sont potentiellement les plus importants. Par contre, il nourrit quelques doutes sur l’effet multiplicateur de l’allongement du tram à Liège ou sur l’isolation des bâtiments publics. "On doit certes le faire, mais ce n’est pas cela qui va procurer un coup de boost à l’économie."
A contrario, nous nous félicitons qu’on ait pu éviter d’inscrire dans le plan de relance des baisses de TVA (Horeca, tourisme…) qui n’auront pas l’effet de levier escompté et qui ne sont pas de nature à renforcer le tissu économique. "Si on a pu éviter cela, c’est sans doute grâce au processus de sélection européen."

ce sont les réformes qui permettront de maximiser l’effet de levier des investissements. Or sur ce point, nous restentons sur notre faim.

A-t-on raté des occasions?

"Ce que l’Europe demande, ce n’est pas simplement un plan d’investissement, c’est un plan de réforme et d’investissement. Ce n’est pas de l’argent gratuit, mais conditionné", je rappelle ,ce qui veut dire que nous devons suivre une procédure stricte avec cette manne finançière de l’europe et ne pas faire n’importe quoi ,mais vu la gestion chaotique des régions et les combats de bacs à sable de ces gouvernements multiples et plusieurs chapeaux de tous ses nombreux et trop nombreux ministres ,députés et sénateurs , nous sommes très sceptiques sur leurs capacités à mener de tels dossiers convenablement ,en clair ,ce n’est pas de l’argent de poche que prête l’europe , mais bien un nouveau prêt qui vient s’ajouter aux autres dettes cumulées des multiples gouvernements que compte la belgique ,sans oublier le pacte budgétaire et qui si il n’est pas respecté ,nous mènera vers les agences de notation et l’agence de stabilité monétaire européenne et là attention à ne pas devenir une nouvelle grèce (austérité totale) .

"Là où on attend le gouvernement, c’est sur le volet des réformes."

"Là où on attend le gouvernement, c’est sur le volet des réformes", je confirme . L’accord de gouvernement prévoit déjà un certain nombre de réformes, en matière de pensions par exemple. "Là où ça va dans le bon sens, c’est lorsqu’il est question de suppression des niches fiscales. En revanche, au niveau du marché du travail, il y a tant à faire et peu d’espoir à nourrir… Notre marché du travail est tellement a-Européen, avec l’indexation automatique, la Loi Renault, les retraites anticipées, la loi sur la compétitivité, les discriminations à l’embauche, etc."


j’ épingle deux freins majeurs à une politique de relance. "Le plus grand obstacle au financement des entreprises, c’est l’incitant fiscal qui bloque des centaines de milliards d’euros sur les comptes d’épargne. À cela s’ajoute l’impact néfaste de la réglementation qui protège certains marchés contre de nouveaux arrivants. Le constat vaut tant pour le marché des produits que pour le marché du travail. Le résultat, c’est moins de concurrence et moins d’opportunités pour les personnes extérieures. La preuve avec le chômage des jeunes."

5. Quelles garanties pour la transition écologique?

Investir à la fois dans un nouveau parc éolien en mer du Nord et dans la construction de nouvelles centrales au gaz peut poser question. Toutefois: "Que ce soit en 2025 ou 2035 lorsque les centrales nucléaires seront en fin de vie, il faudra de toute manière assurer la jonction à l’aide d’énergies conventionnelles avant que le renouvelable soit en mesure de prendre le relais."

"On prévoit d’investir dans la mobilité, or nous sommes déjà surmobiles en Belgique."
Ce qui pose davantage question à mes yeux, c’est la fiscalité en matière de mobilité: "On prévoit d’investir dans la mobilité, or nous sommes déjà surmobiles en Belgique. Un Belge parcourt autant de kilomètres par an qu’un Américain, alors que notre pays est très dense. Il faut d’abord se demander s’il est nécessaire de bouger autant? Ensuite, quel est le bon mode de transport? Jusqu’ici, on a favorisé la mobilité – surtout l’automobile – à grand renfort d’incitants fiscaux. Par contre, la fiscalité immobilière est restée dissuasive et le Belge ne déménage pas facilement."

De manière générale, j’estime que "la transition écologique risque de nous coûter très cher tant qu’on ne supprime pas les subventions à l’énergie fossile".

Car toujours plus en avant : quel est le pib belge depuis 2019 à 2021 , donc sans et avec la pandémie qui a ralenti notre économie ?

Au premier trimestre de 2019, la croissance du PIB s’élevait à 1,2 % en glissement annuel, soit au même rythme qu’au trimestre précédent. En 2018, les services soutenaient presque entièrement la croissance du PIB. Ce phénomène s’observe depuis 2014.
Encore historiquement bas l’an dernier, le taux de chômage devrait dépasser 7 %. L’inflation ne se chiffrerait qu’à 0,4 % en 2020, ce qui s’explique principalement par la chute des cours énergétiques. D’ici 2023, elle remonterait cependant pour s’établir à 1,9 %. Le déficit public est estimé pour 2020 à 10,6 % du PIB
En ce qui concerne les perspectives de croissance à court terme pour l’économie belge, l’Institut des Comptes Nationaux (ICN) prévoit une décélération de la croissance du PIB revenant à 1,4 % en 2018 et 1,3 % en 2019, après 1,7 % en 2017

Le taux d’endettement s’envole

2020 ne sera pas une bonne année pour les finances publiques belges. La crise sanitaire plombe les comptes de l’Etat.  En 2020, le budget de l’État sera en fort déficit. Le solde de financement, c’est-à-dire le solde budgétaire, du secteur public sera de -10,20% du PIB, le produit intérieur brut, selon les dernières estimations de l’Agence de la Dette. 
Cela, combiné à une récession économique de l’ordre de 7,4% (selon les dernières estimations plus favorables) qui réduira les recettes, augmentera un peu plus la dette publique. Le taux d’endettement de l’Etat belge atteindra ainsi 116% du PIB, ce qui signifie que, si toute la richesse produite en un an en Belgique devait être consacrée à rembourser la dette publique, cela ne suffirait pas. La Belgique s’éloigne ainsi encore plus des fameux critères de Maastricht, adoptés au début des années 90 et qui fixent un objectif de 60% du PIB pour la dette publique.
Par rapport à 2019, le taux d’endettement augmentera de 17,3% en 2020. Cela devrait aller un peu mieux en 2021, année lors de laquelle l’Agence de la Dette espère que le taux d’endettement diminuera à 112,7% du PIB.

Les gestionnaires de la dette belge ont dû s’adapter aux conséquences de la crise sanitaire

La pandémie de Coronavirus et la période de confinement ont eu des conséquences importantes sur les finances publiques. L’Etat a eu des dépenses supplémentaires. L’arrivée du Coronavirus a augmenté les besoins de financement. L’Agence de la Dette a dû s’adapter en avril et en juin et emprunter 60,4 milliards d’euros, bien plus que ce qui avait été envisagé dans les prévisions pour 2020.
L’Agence de la dette constate, toutefois, qu’au cours des derniers mois, les besoins de financement se sont moins vite développés qu’attendu : le solde net à financer de l’Etat fédéral ne se montait ainsi qu’à 14,9 milliards d’euros à la fin août. Ce solde augmentera cependant encore d’une façon importante prochainement, on parle d'une douzaine de milliards, lors du paiement de la dotation d’équilibre à la Sécurité sociale, l’argent que l’Etat verse pour combler le déficit de la sécurité sociale. Ce qui fait dire aux patrons de l’Agence de la dette que sur base des chiffres actuels, le solde à financer pour l’année 2020 tournera autour des 30 milliards d’euros contre 40 milliards estimés précédemment.

Financement idéal de la dette grâce aux taux d'intérêts bas

L’Agence de la dette a lancé des emprunts à long terme, profitant des faibles taux d’intérêt en vigueur depuis quelques années, des taux " proches des plus niveaux historiques ", ont confirmé les dirigeants de l’Agence de la dette. Une OLO, obligation à long terme, à 7 ans a ainsi été lancée pour un montant de 8 milliards d’euros, ont-ils expliqué. 
L’Etat emprunte plus, mais cela ne lui coûte pas plus cher en termes d’intérêts à payer.  "La crise du Coronavirus ne semble pas avoir d’impact sur les principaux paramètres du portefeuille de la dette ", estime-t-on du côté de l’Agence de la dette. La baisse des taux a pour effet que le montant des charges d’intérêts en 2020, 7,92 milliards d’euros, représentera 440 millions d’euros de moins qu’en 2019. Ces charges d’intérêts continueront à baisser en 2021, selon l’Agence de la dette.
Les responsables de l’Agence de la dette estiment toutefois qu’en 2020, " ce serait pas mal de constater une baisse du déficit public ", pour pouvoir idéalement refinancer les dettes qui devront l’être. Rappelons que, de son côté, la Banque Nationale a récemment estimé qu’une dette qui dépasserait les 120% du PIB représenterait un problème de sécurité.

Maintenant pour terminer , quels sont les états des déficits publics du fédéral et des régions en Belgique ?

23/06/2020 · Un déficit public de 47,5 milliards Les finances publiques, déjà fragiles avant la crise, seraient davantage fragilisées, précise le Bureau du Plan. Cette année, le déficit de l’ensemble des administrations publiques atteindrait 47,5 milliards, soit 11 % du PIB. Ce n’est pas un scoop. Donc en 2020 , en pleine pandémie et maintenant en 2021 ?Les prévisions évaluent un déficit public de 2,1% en 2020, 2,6% en 2021 et 2,8% en 2022, soit un montant d'environ 14 milliards d'euros. La Belgique afficherait alors le deuxième déficit le plus élevé de la zone euro dès 2021, seulement dépassée par l'Italie.

Et les régions ?

"La dette directe de la Région de Bruxelles-capitale est évaluée par le gouvernement au 31 décembre 2020 à 5,4 milliards d’euros, soit une augmentation de 60,8 % (2 milliards d’euros

En Wallonie, on parle, pour 2020, de 436 millions. Pleinement assumés par le nouveau gouvernement.

Le solde budgétaire de la Fédération Wallonie-Bruxelles sera dans le rouge de 1,9 milliard d'euros cette année, et de près de 820 millions l'an prochain, a annoncé vendredi le gouvernement

Le déficit du budget flamand devrait atteindre cette année 6,5 milliards d'euros, selon les derniers calculs du cabinet du ministre des Finances Matthias Diependaele

In fine , qui de tous ces multiples gouvernements et régions fait-il le plus de pib ?
Cette croissance du PIB sur la période 2014-2020 différera légèrement dans les trois régions: elle atteindra 1,6% sur base annuelle en Flandre, contre 1,4% en Wallonie et 1,3% à Bruxelles.

La pandémie de Covid-19 représente, pour l'économie mondiale et celle de l'UE, un choc d'une très grande ampleur, aux conséquences économiques et sociales très graves. Après avoir subi un grave choc au premier semestre de cette année, l'activité économique en Europe a rebondi vigoureusement au troisième trimestre, avec la levée progressive des mesures de confinement. La résurgence de la pandémie ces dernières semaines entraîne toutefois des perturbations, tandis que les autorités nationales adoptent de nouvelles mesures de santé publique pour en limiter la propagation. La situation épidémiologique implique que les projections de croissance sur la période de prévision sont sujettes à un degré d'incertitude et de risque extrêmement élevé.
Selon les prévisions économiques de l'automne 2020, l'économie de la zone euro devrait enregistrer une contraction de 7,8 % en 2020, avant de croître pour s'établir à 4,2 % en 2021 et à 3 % en 2022. Les prévisions annoncent que l'économie européenne va se contracter de 7,4 % en 2020 avant de renouer avec la croissance qui atteindra 4,1 % en 2021 et 3 % en 2022. Par rapport aux prévisions économiques de l'été 2020, les projections de croissance pour la zone euro et l'UE sont légèrement supérieures pour 2020 et inférieures pour 2021. La production dans la zone euro et dans l'UE ne devrait pas retrouver son niveau d'avant la pandémie en 2022.
Les répercussions économiques de la pandémie varient sensiblement d'un État membre à l'autre de l'UE et il en va de même pour les perspectives de reprise. Cet état de fait tient à la propagation du virus, à la rigueur des
mesures de santé publique prises pour le contenir, à la composition sectorielle des économies nationales et à la vigueur de la réaction des pouvoirs publics nationaux.
La croissance économique en Belgique cette année devrait être durement touchée par la pandémie de COVID-19, car la demande intérieure souffre de mesures de lockdown, de perturbations de la chaîne d'approvisionnement et d'une forte baisse de confiance. Dans un contexte d'incertitude persistante et de chômage en hausse, le PIB ne devrait rebondir que progressivement en 2021 et 2022, le commerce international devant réduire la croissance. L'inflation devrait diminuer sensiblement en 2020 et augmenter modérément par la suite. Le déficit des administrations publiques devrait se détériorer considérablement, entraînant une forte hausse de la dette publique.
Suivant ma pensée personnelle ,nous sommes partis pour une austérité généralisée et pour au moins 4 ans !

Bon weekend à toutes et tous et courage , et particulièrement aux indépendants , les vrais ,ceux qui ont un commerce ,pas ceux qui ont le status d’indépendant mais n’ont pas de commerces mais profitent des autres indépendants dépouillés pour s’enrichir (notaires ,comptables ,experts comptables ,huissiers de justice et tutti quanti) ceux -là ne doivent pas courir après les clients ,je les appelle les vautours !

Erwin vandendaele de ledeberg
Professeur universitaire honoraire
Ere -universiteitsprofessor
Sciences politiques et économiques
Polietike en economische wetenschap
Mouvement progressiste politico-économique du cercle des lumières (héritier du siécle des lumières)
Progressieve politiek-economische beweging cirkel van lichten
Chroniqueur attitré et analyste politico-économique pointu
Columnist en analist van economisch en polietiek
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